Potestas

magistratures ne nécessitent pas de connaissances spécifiques en raison de la simplicité du système. Carrières des magistrats : 1ère : questeur (magistrature inférieure = n’ont que la potestas) 2ème : édiles (magistrature inférieure) 3ème : le préteur (magistrature supérieure = titulaires de l’imperium et de la potestas) 4ème : les 2 consuls (magistrature sup) 5ème : les censeurs (magistrature sup) Intervalle de 5 ans avt chaque magistrature, on ne peut pas accéder au Consulat avt 45 ans. Hiérarchie

les choses ne sont pas si simples : le Code civil a lui-même représenté un coup d'arrêt dans un mouvement de long terme. Par définition, l'histoire des pères est marquée du sceau de l'autorité. Le rôle du père coïncide initialement avec la patria potestas antique, un pouvoir quasi illimité. Une autorité progressivement écornée au Moyen Age par de nouvelles représentations et de nouveaux etc. - :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- : Jeudi 2 septembre 2010 Brainstorming

nature ou argent), soit en métayage (paysan verse une part de la récolte au seigneur). On distingue des paysans libres et des non libres, appelés serfs. Tous les individus résidant dans le territoire, quels que soient leur statut, sont soumis à la potestas (pouvoir) du seigneur. Abusant de leur autorité et de leur force (Pierre Bonnassie parle de « terrorisme seigneurial), les seigneurs imposent des redevances comme la taille (impôt levé aléatoirement et arbitrairement). Dans le cas de la location

conditions d’intelligence, de fidélité, etc, il accède aux fonctions comtales. L’administration locale est liée au roi par un lien de confiance personnel. Ses rapports avec les sujets : il est judex publicus (juge publique) et exerce la judiciaria potestas. Dans le cadre de l’exercice de la puissance publique, le comte peut contraindre et réquisitionner les personnes et les biens (exactio). Sur délégation du roi, le comte exerce le mundium et le banum. Mundium : le comte devait protéger le peuple

réinterprétation du droit latin, cet émergence annonce en fait les logiques étatiques modernes1. Il ne recouvre en effet aucune notion de la législation romaine : ni l'imperium, qui désigne une simple « puissance de commandement militaire »2, ni la summa potestas, qui se rapporte à un « pouvoir de vie et de mort »3 ne synthétisent ce vaste ensemble conceptuel. Cette absence de précédent notionnel est d'ailleurs mise en évidence par Jean Bodin : « Il est ici besoin de former la définition de la souveraineté

est de la cité. Ils sont toujours plusieurs pour exercer. Cela évoque donc une idée de supériorité. Les magistrats romains, bien qu’élus (et non tirés au sort) ont un statut actif : ils sont véritablement des délégataires de la République. La potestas n’est valable que durant la durée du magistrat (un an) mais son successeur peut le reprendre. Il a un pouvoir de contrainte (donner des amendes ou saisir un gage). Elle autorise le magistrat qui en est titulaire et plus tard, l’empereur, à édicter

comporte des promesses d'action : énumération par le magistrat d'un certains nombres de situations précise qui pourront donné lieux à des interventions en justice. Cette proclamation est une source du droit si elle émane de magistrat titulaire de la potestas et chargé d'une juridiction : préteurs, des édiles et des gouverneurs de provinces. Dans ce cas, l'édit se présente comme un programme annoncé parle magistrat lorsqu'il rentre en charge. Le plus connus : l'édit du préteur : depuis une loi de 67 av

restauration d'une autorité ne sont en fait qu'une manière de réparer les fondations de la tradition. Elle remarque que ce dernier reposait tout entier sur cette notion centrale de fondation dans la mesure où « l’autorité, au contraire du pouvoir (potestas) avait ses racines dans le passé. » (p. 161) Elle ajoute page 182 que « la fondation était l'action politique centrale, le grand acte unique qui établissait le domaine publico-politique et rendait la politique possible. » Or, Arendt estime que les

La conception est liée à la Patria Potestas. On se fonde sur la volonté présumée du Pater Familias. La succession revenait en premier lieu aux Sui Heredes (=sien héritier), ce sont des héritiers d’eux- mêmes, car ils possèdent déjà les biens en copropriété de famille, mais comme ils vivent sous la Patria Potestas du Pater Familias, cette dernière efface tout. En faisant un peu de réflexion, on se rend compte que la Patria potestas s’établit par la volonté du Pater Familias, en

l'Eglise. Au contraire les pontifs sont subordonés au prince. Il faut une collaboration dans ces deux pouvoir pour permettre l'accomplissement de dieu. Les 2 pvr ont une obligation : guider les hommes vers le salut. Les roi administre avec une Potestas = pvr. Les papes ont une autoritas. paragraphe 2 : nature, raison et contrat ( la loi dans la pensée grecque, et les prolongements de cette pensée; le positivisme juridique). Les dieux transmettent la loi par l'intermédiaire du roi ou du pretre