Potlatch

cela qu’il n’est pas très efficient au niveau du lien social Dans la Kula on est dans une logique de don et de contre-don. Plus on est puissant, et plus on à de partenaires. * Le potlatch est un échange symbolique : F. BOAS a travaillé chez les indiens d’Amérique du Nord. Il a étudié là-bas une pratique : Le potlatch. Il s’inspire aussi de d’autres anthropologues qui ont travaillé chez les indiens, dans les tribus indiennes. Dans une tribu d’indien un jeune blanc Bec défi le grand chef de prendre

Prêtre. Une pratique appelée le « Potlatch » consiste en une fête à caractère religieux au cours de laquelle le chef fait des grandes distributions de nourritures et d’autres biens. Le chef montrera sa générosité tout en défiant ses rivaux d’en faire plus. Avec l’expansion des cités, le chef ne peut plus tout gérer seul, il nomme certains auxiliaires qui vont l’aider dans sa tâche. « Le conseil des anciens » existe toujours mais a de moins en moins de pouvoir. Le potlatch ainsi que la renommée du chef

forme plutôt volontaire par des présents, des cadeaux, bien qu’ils soient au fond rigoureusement obligatoires, sous peine de guerre privée ou publique. » III°/ Une forme de don : le potlatch Le potlatch caractérise les dons à signification religieuse et magique des Indiens d’Amérique du Nord. Le terme potlatch signifie nourir et consommer. Ce type d’échange est étonnant, car c’est certes un don, mais il s’agit toujours de donner plus pour surpasser son rival. Par un don excessif on met l’autre

SOURCE INTERNET"Le premier chapitre de cette thèse étudie la notion de don établie en anthropologie et en sociologie par l’Essai sur le don de Marcel Mauss 1. Il a semblé utile d’examiner en détail les faits sociaux et culturels dont parle Mauss : le potlatch, cette fameuse « guerre des cadeaux » des Amérindiens de la côte nord-ouest du Canada, le kula des archipels Trobriand, à l’est de la Nouvelle-Guinée, le hau des Maoris de Nouvelle-Zélande. La thèse centrale de l’anthropologie de Mauss est que dons

pas confondre « échange et « échange marchand ». Un certain nombre de sociétés réalisent des échanges « non marchands » de biens et de services, symboliques plus qu’utilitaires, sous la forme de « dons et de contre-dons » (la kula mélanésienne, le potlatch des Kwakiutl...). Les sociétés archaïques, par exemple, ne reposent pas sur l'échange marchand, mais sur quelque chose de beaucoup plus complexe, qu'il appelle la triple obligation : donner, recevoir, rendre. Parce que tout don oblige, le don est

s'engage à travailler toute sa vie pour fournir les 20 vaches. Ne pourra être indépendant => on est dépendant de tout le monde : guerre ou autre : on est liés par des liens sociaux : aussi dans un système d'entre aide et coopération. - Système du potlatch : théorisé à partir des études de Morgan et Boas. Perçu comme un comportement économique irrationnel pendant longtemps => faux. Ni économique ni rationnel : Consommation ostentatoire de biens. Dans populations de la Colombie Britannique (au nord

source de valeur. G. Batailles, après Marcel Mauss, revient sur le Potlatch). Le propre des périodes de festivités est d’avoir une fin programmée. L’organisation de la transgression permet de faire à la soif d’excès la part de feu. Le potlatch, l’économie paradoxale de la dépense Marcel Mauss avait déjà été fasciné par cette destruction purement somptuaire des richesses lorsqu’un chef " Peau- Rouge " en rencontre un autre. Le potlatch est une forme de rivalité par le don... Dans La part maudite, G

américain et dans toute cette région apparaît une forme typique certes, mais évoluée et relativement rare, de ces prestations totales. Nous avons proposé de l'appeler potlatch, comme font d'ailleurs les auteurs américains se servant du nom chinook devenu partie du langage courant des Blancs et des Indiens de Vancouver à l'Alaska. « Potlatch » veut dire essentiellement « nourrir », « consommer ». Ces tribus, fort riches, qui vivent dans les îles ou sur la côte ou entre les Rocheuses et la côte, passent

donateur acquiert du prestige. La kula assure le maintien des relations entre les groupes. La compétition est moindre que dans l’échange maori, mais le conflit est toujours latent. On acquiert donc autorité et pouvoir dans le fait de donner. ✓ Le potlatch : échange agonistique (comportant compétition/combat) où deux chefs de groupes vont s’échanger des objets. Un don est immédiatement suivi d’un contre don qui doit être supérieur au don, etc. sera déclaré vaincu celui qui ne peut plus donner. Les

aussi des circulations où le but est d’entretenir une relation avec l’autre. Les trois formes d’échange : - le don - le marché - la distribution La première forme sociale d’échange : le don A) Les dons rituels : potlatch et kula Marcel Mauss parle d’une observation : dans beaucoup de sociétés, les échanges se font sous la forme de cadeaux. Il observe sous la civilisation scandinave, à travers les textes des anthropologues, que les échanges se font sous