Pour Le Port Du Voile

ou LE VOILE MUSULMAN SERAIT-IL L'ARBRE QUI CACHE LA FORET DU RACISME ORDINAIRE ? Monsieur le Président, Chèr(e)s Ami(e)s, Voilà à nouveau que resurgit le "problème" du voile musulman derrière lequel se masque dans tous les sens du terme le racisme ordinaire ; l'ignorance entretenue institutionnellement étant son corolaire et sa véritable source. Ses déclinaisons sont multiples : discriminations, déconsidérations voire sentiments de haine et de rejets. La problématique du voile dont la

Pourquoi l'interdire aux femmes sans le faire aux hommes ? * On pourrait (à tort) craindre que ces femmes se retrouvent coincées chez elle du fait de l'interdiction de leur sortie voilée : ça n'a pas été le cas des lycéennes voilées qui pour la plupart sont néanmoins restées à l'école publique malgré l'interdiction du voile, contrairement à ce que d'aucuns annonçaient ! * Quelle limite du visage doit être laissée visible ? On imagine assez bien les absurdités de textes décrivant les millimètres

le port du voile intégral dans la sphère publique. Bien que cette loi vise à protéger la dignité des femmes, elle fait l’objet d’un grand nombre de critiques. Pour alimenter le débat, une étude effectuée sur Vénissieux souligne que seulement 0,5% des habitants adopte cette tenue. De ce fait, faut-il polémiquer sur un fait minoritaire ? Débattre sur ce sujet n’est-il pas encore une manière de stigmatiser et de «victimiser » la communauté musulmane ? Apparemment non, puisque le port du voile serait

islamique qui est fortement contesté en 1980 et donc la laïcité se développe puisque elle repose maintenant aussi sur l'interdiction du port d'objet montrant l'appartenance d'un individu . L'école est le secteur le plus touché par cette loi . Toutefois aucune loi est voter pour conforter cela . Ce n'est que le 15 mars 2004 qu'une loi est voter interdisant le port de signe ou de tenu manifestant son appartenance religieuse dans des lieux publique . Ces lois crées résulte d'un long combat qui est toujours

Faits : Une jeune fille de confession musulmane fréquentant un établissement scolaire public a refusé d'enlever son voile, signe religieux au sein de l'établissement. Plutôt que d'avoir la tête nue, elle a proposé de substituer son voile par un bandana ou un bonnet, qui – selon elle – n'ont aucune connotation religieuse ou plus simplement, ne constituent pas de signes ostensibles. Elle a été renvoyée définitivement de l'établissement. Procédure : La requérante dénonce une atteinte à sa vie privée

est ici question d’un atelier scolaire pour laquelle la participation des parents d’élèves est autorisés à condition que soit arboré une tenue neutre. L’accompagnement par les deux mères d’élèves pour cet atelier est alors refusé en raison du port du voile. Un premier courrier est adressé par les deux requérantes à la rectrice d’Académie de Lyon qui, en plus d’un refus de l’établissement suite à une réunion du conseil d’école du 10 novembre 2014, dans sa décision du 2 avril 2015, refusera également

prononcer sur la légalité d’une circulaire tendant à restreindre le port de signes religieux dans les établissements d’enseignement supérieur. En effet, en 1998, le recteur de l’Université d’Istanbul adopta une directive interdisant notamment aux étudiantes portant le foulard islamique d’assister aux cours, stages et travaux pratiques. Inscrite à la faculté de médecine de cette université, Leyla Sahin, une jeune femme turque portant le voile islamique, se vit ainsi refuser l’inscription a des cours et

laïcité à l'école interdit les signes et des tenues dont le port conduit à faire immédiatement reconnaître une appartenance religieuse. C'est le cas, par exemple, du voile islamique, de la kippa ou d'une croix de dimensions manifestement excessives. Les signes religieux discrets sont tolérés : La loi n'interdit pas les signes religieux discrets, comme une petite croix présentée comme un bijou. Les accessoires et les tenues qui sont portés communément par des élèves en dehors de toute signification

est faite aux femmes de porter des lunettes de soleil ou de cacher leurs yeux à l'aide d'un morceau de tissu fin permettant de voir sans être vues. Ce voile intégral accentue ainsi violemment la tradition séculaire du purdah3. Le philosophe Abdennour Bidar juge que le port de la burqa outrepasse largement cette tradition et qu’il ne se fonde sur aucune prescription coranique, y préférant pour sa part le voile laissant à découvert le visage, voire l’absence de tout voile et l’intériorité de la pratique

Note sur l’industrie mondiale de la planche à voile, 1983 : analyse. 1. Présentation générale En plein essor dans les années 80, le marché de la planche à voile a subi quelques sérieux revers ces dix dernières années. Et notamment en 2004 qui fut une « année noire » pour le secteur de la planche à voile. Matériel trop élitiste, trop onéreux, concurrence d'autres disciplines... La tendance s'inverse à nouveau depuis peu et les ventes de matériel continuent à bénéficier d'une croissance soutenue