Pourquoi Agir Moralement

cela signifie que nous n’avons pas de libre-arbitre, c’est-à-dire que nous n’avons pas la capacité de faire des choix. Or nous avons tous le sentiment d’en faire, ne serait ce que lorsqu’il s’agit de choisir ce que nous allons manger à midi. C’est pourquoi tous les philosophes de la nécessité (stoïcisme, spinozisme, marxisme, freudisme) tentent d’établir qu’il est possible d’articuler l’idée de liberté et celle de nécessité. Ils proposent donc une définition paradoxale de la liberté comme étant la

volonté peut choisir, cela veut-dire qu'elle n'est pas absolument déterminée au départ de notre existence, puisqu'une plante par exemple ne peut choisir sa conduite ou que la volonté d'un animal ne peut suivre que ce que dicte l'instinct. C''est pourquoi, l'homme doit prendre une véritable conscience de lui même pour parler de volonté. Ainsi prendre conscience de lui même signifie avoir conscience de son existence. Or dès lors où «l' on pense » on est conscient que l'on existe. Comme dit Descartes

la science pour affirmer l'inexistence de Dieu est, elle aussi, renvoyée du côté de la simple croyance: toutes ces questions, qui concernent les Idées transcendantales (Dieu, l'âme et le monde), sont hors de portée de l'entendement humain. C'est pourquoi Kant écrit, dans sa préface à la Critique de la raison pure: « Je dus donc abolir le savoir afin d'obtenir une place pour la croyance ». Limiter les prétentions de la raison : telle est dans le fond la solution que veut apporter Kant à la crise

: suivre sa nature est ce libre => oui il y a une cause interne ( provient des propriétés de ma nature) et externe Bref cause auxiliaire est une nécessité quelle est la conception de ma nature ? (Il vient de l’intérieur ou extérieur ?) Pourquoi prendre un ex mouvement physique ( avec les solides) pour comprendre le comportement humain Est ce qu’on peut comprendre une action vertueuse comme un mouvement physique Comment l’idiv peut il réagir lors de la perte d’un être cher (le deuil)

choisit, il ne répond pas à la question. III La liberté de penser => En quoi la philosophie nous apprend-t-elle à penser, à réfléchir ? A_ La philosophie opère une rupture à l'égard de l'opinion Comment peut on définir l'opinion ? Et pourquoi la philosophie doit nécessairement rompre avec ? L'opinion est le symbole du préjugé. Dans un premier temps, on peut considérer l'opinion comme un genre de connaissance peu fiable reposant sur des impréssions, des croyances, des sentiments,...

La politique économique peut-elle agir efficacement sur les fluctuations cycliques de la croissance? Pour revenir au sommaire des SES, c'est ici. Tous droits réservés. Introduction – Pendant des durées de plusieurs décennies, le rythme moyen de la croissance économique en France a été plus élevé qu’à d’autres périodes. Très rapide (environ 5% par an) pendant les Trente Glorieuses par rapport à l’entre-deux-guerres

Philosophie : Peut-on accorder un droit de mentir ? Qu’est ce qu’un droit ? → “Autorisation, permission, liberté”. → “Qu’on peut faire en toute légalité” = Protégé, garantie par la loi. 2 types de lois : - Morale : Ma conduite est légitime. - Sociale : Agir en toute légalité. Autre signification, nuance : Parfois on dira “être dans son droit”. Souvent, ça donne une autre connotation, on est plutôt dans la revendication. Qu’est-ce qu’un mensonge, qu’est-ce que “mentir” ? → Contraire = Sincérité, véracité

justement parce que ce monde est divin. Il est en effet, le moteur de son contraire, autrement dit, le moteur du bien. La présence du mal devient évidente quand on observe le comportement de l'humanité. La majorité humaine désire avant tout « bien agir ». Elle veut fournir le meilleur d'elle-même. Cette simple attitude donne tout son sens à la présence du « mal ». Il est là avant tout pour stimuler l'émergence des belles conduites. Étant insupportable à l'être humain, il devient un des plus puissants

convention et est commun à chacun : le désir, qui forme une certaine attirance pour les actes procurant du plaisir, quelque soit la nature de celui-ci, est un désir universel, qui vient guider nos actes dès notre enfance : ainsi, l’homme est, par nature, moralement guidé par le plaisir, de même qu’il repousse par nature les actes provoquant une douleur répulsive. Il semble donc logique de dire que la morale prend en compte le plaisir, tout autant que la douleur. Historiquement parlant, il semblerait qu’il

bibliothécaire en chef ne serait pas du tout content s'il s'en apercevait et il y a des chances pour que, parmi ceux qui viennent à la bibliothèque, certains soient malheureux en voyant que le livre a disparu, mais quelle importance? Je veux ce livre; pourquoi devrais-je m'en faire pour eux? » L'argument disant que ce serait un mal est supposé lui donner une raison de ne pas le faire. Mais si quelqu'un ne se soucie tout simplement pas d'autrui, quelle raison aurait-il de s'interdire de faire l'une quelconque