Pourquoi Agir Moralement

de nature. Cependant, loin d'être disjoints, ces deux états coexistent en politique. La politique est donc toujours un peu inhumaine.; mais comme souvent celle-là ne suffit point, on est obligé de recourir à l'autre: il faut donc qu'un prince sache agir à proposC'est-à-dire conformément à ce que les circonstances (la fortune) exigent., et en bête et en homme. C'est ce que les anciens écrivains ont enseigné allégoriquement, en racontant qu'Achille et plusieurs autres héros de l'Antiquité avaient été

laborieuse, docile et médiocre ». En partant de la philosophie nietzschéenne, cette citation peut paraître parfaitement cohérente et explicable. C’est en effet par Nietzsche que je vais développer mon propos. Je vais d’abord commencer par expliquer pourquoi il considère l’éducation comme une « pédagogie de la décadence ». Puis en quoi consiste la domestication de l’homme et sa transformation en « bête de troupeau » et en quoi ceci est mauvais pour l’homme. Et pour finir, je vais tenter d’expliquer comment

fait, dans ce qu'il est. Peut-il pour autant se justifier en disant qu'il n'est ou n'était pas lui-même ? Peut-on, d'une manière générale, ne pas être soi-même ? On voit bien que cette question n'apporte pas de réponse évidente et immédiate, c'est pourquoi nous verrons d'abord que l'Homme est responsable de ce qu'il est car c'est ce qui le distingue de l'Objet. Pour autant, ne pas se reconnaître dans ses actes peut provenir de sa non-connaissance de lui-même et non du fait de ne pas être lui-même.

d'un groupe, fondée sur le contrat ou la communauté d'intérêt. Or, dans un sens plus général, on peut définir la notion de solidarité comme étant le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d'un groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres de s’entre aider. Ainsi les problèmes rencontrés par l'un ou plusieurs de ses membres concernent l'ensemble du groupe. Alors, la solidarité conduit l'homme à se comporter comme s'il était directement confronté

de tradition protestante. Son enfance, jusqu’en 1728 est marquée par une forte culture religieuse ainsi qu’une forte rigueur morale (Calvinisme). Dès ses 16 ans, il est envoyé en apprentissage chez un horloger, avec lequel ça se passe mal et c’est pourquoi il part (Référence au jeune homme qui part [PFVS]). Il rencontre ainsi Mme. De Vareins et se convertit alors à sa religion, le catholicisme. … Rousseau écrit tous les articles sur la musique dans l’Encyclopédie de Diderot, et rend par ailleurs

Dans cette ouvrage, Rousseau s’intéresse aux origines de notre société et ce demande comment et pourquoi les hommes en sont venus à vivre ensemble en société ? Sa vraie question de départ est la suivante comment se fait-il qu’il y ai autant d’inégalités entre les hommes, les riches et les pauvres et ce qu’il veut savoir c’est si ces inégalités ont toujours existé ou pas et sinon quand et pourquoi sont-elles apparues ? Évidemment le problème est que Rousseau n’était pas la lorsque ces sociétés

l’atteinte d’un but particulier (pour devenir président en France, je dois être élu) alors que l’IC est un impératif nécessaire objectivement sans autre raison (ex : les commandements). 23. Il ne suffit pas d’avoir de bonnes intentions pour agir moralement car une action n’est morale que si elle est universalisable, c’est-à-dire qu’elle est désintéressée, or la bonne intention ne l’est pas. 24. Selon Freud, la conscience ne suffit pas à restaurer une cohérence dans l’ensemble de nos productions

l'obligation nait d'un questionnement éthique comment dois ja agir ou faire pour mener ma vie au mieux. Lignes directrices, de conduite. C) On est arraché à la subjectivité et on bascule alors dans dans l'universel avec la notion d'impératif catégorique donné par Kant. L'obligation est imposé par soi même mais devient dans certains cas un devoir, puisqu'on se l'impose, on est obligé de faire cela, et non pas contraint, mon sens moral m'engage à agir ainsi. C'est là un engagement tacite de l'homme, dans

[fragment 101 de l’édition Le Guern] affirme qu’ils sont connus par le cœur. Toutefois, il est possible qu’en cela la raison se trompe dans sa reconnaissance. Ne faut-il pas alors les nier ne serait-ce que pour les éprouver ? Mais comment ? C’est pourquoi Descartes propose une remise en cause de tous les principes reçus. C’est ce qu’on nomme le doute méthodique qui consiste à considérer comme faux tout ce en quoi on peut trouver un léger doute afin de déterminer s’il y a quelque chose de vrai. C’est

justice. C’est défendre le droit de façon impartiale, neutre. A) L’homme serait naturellement incapable de justice. Il est naturellement bon mais rapidement corrompu par la société dans laquelle il vit, et ce, jusqu’à agir égoïstement en vue de son propre intérêt. C’est pourquoi, il a été indispensable d’établir une justice qui participe à l’ordre de l’univers et de l’homme. Elle est comme une harmonie, comme un principe de concorde et comme une vertu partagée par tous. La justice est la même pour