Pourquoi Agir Moralement

d'œuvre écrite, sa philosophie s'est transmise par l'intermédiaire de témoignages indirects ( écrits de ses disciples Platon et Xénophon ). Il meurt en mai/juin 399 av J-C condamné à boire la ciguë. Socrate était physiquement laid : chauve. C'était moralement scandaleux, il était considéré comme l'indice de l'intempérance et du vice. La devise de Socrate : « Connait toi, toi-même » Nous connaissons Socrate grâce à Platon ( élève de Socrate ) Socrate traite avec ironie les fondements de la philosophie

conséquences de l’ignorance, est un mal & est moralement condamnable. Nous pouvons néanmoins remarquer que l’Homme reste libre de faire le mal en connaissance de cause, ce qui témoigne de la liberté de l’Homme. Si l’ignorance n’est pas la source de tout maux, est nécessaire de se demander si elle doit être toujours condamnée. Nous pouvons donc examiner dans un second temps l’hypothèse de l’ignorance comme un bien. Bien que l’ignorance soit d’ordinaire moralement condamnée, nous pouvons voir qu’elle

? Existe-t-il des faits moraux universels ? Autrement dit, existe-t-il une morale absolument vraie et universelle qui obligerait tous les êtres humains ? Pourquoi tel type de morale se rencontre ici, tel autre là ? Quels facteurs font que des groupes vivant dans des conditions similaires suivent des règles qui ne se ressemblent pas ? Pourquoi y a-t-il évolution du code moral dans la même communauté ? A / MORALE ET SOCIÉTÉ La morale se présente

les choses, les expliciter ; c’est bien le but d’une dissertation. Se résumer : pronom personnel, résumer soi-même, se rassembler, rapport à soi. Sujet qui sollicite notre propre imagination morale. La pitié serait un petit mot qui signifierait moralement beaucoup et serait révélateur de la complexité et de l’ambivalence tant de la morale que de l’imagination morale. Car il existe en réalité deux valeurs morales de la pitié : une faible et une forte, une viciée et une vicieuse, un sens mélioratif

mais qu’ensuite le remord soit si insupportable qu’elle se convainc elle-même d’avoir agit par légitime défense, ou par pulsion ? Il serait donc possible que cette réaction soit un réflexe d’auto protection permettant à l’individu de supporter moralement une responsabilité trop lourde. Ainsi, n’est-ce pas un peu facile de rejeter la responsabilité d’un acte sur l’inconscient alors que, scientifiquement et juridiquement par exemple, aucune preuve irréfutable ne peut être fournie ? En effet, si le

échappe à la raison humaine. Le désir peut-il être réellement maîtrisé par l’homme ? L’origine d’un désir, qui souvent est indéterminée, correspond certainement à l’inconscient et l’inconscient ne peut être maîtrisé par l’homme. Satisfaire un désir s’est agir de façon à le contenter. Mais tous les désirs éprouvés par une même personne peuvent-ils être réellement satisfaits dans leur intégralité ? A partir de ces propos, on peut se demander comment l’homme pourrait bâtir des règles sur des bases versatiles

son époque par sa condamnation du théâtre , qu'il définie comme une officialisation du mensonge.  En effet chaque acteur prétendra être ce qu' il n est pas pour tenter de transmettre un message ou une critique qui ne lui appartient pas réellement. Pourquoi jouer rôle au lieu de rester authentique et affirmer sa position ? La même question pourrait se poser dans la vie de tous les jours en société avec les notions d' être et paraitre. La vérité suppose l authenticité et l affirmation de soi, le mensonge

nous essaierons de faire ressortir quelques généralités sur le concept même de responsabilité. I. La responsabilité : un concept fluctuant Domenach pense que la responsabilité est un concept fluctuant, c’est-à-dire changeant, variable. C’est pourquoi il se donne pour tâche de « préciser une identité encore floue et dispersée en de nombreuses directions » . Il revisite alors le sens et le contexte d’émergence de cette notion, scrute sa relation d’avec la culpabilité, et la situe entre la fragilité

toute démonstration future. III- ( 2ème paragraphe) A partir de la première vérité, il peut en déduire une deuxième : je suis nécessairement un être de pure pensée, distinct du corps. Sachant qu'il est, mais il ne sait pas encore qu'il est c'est pourquoi il démontre ce qu'il faut distinguer en l'homme l'âme et le corps. On peut considérer qu'il s'agit du doute cartésien, le doute cartésien étant m méthodique, hyperbolique et radical ( pas d'exception, couvre la totalité des connaissances, sorte

Gueux dès son entrée dans la prison jusqu'à son exécution en passant par les motifs de son crime et son procès. Suit ensuite une longue réflexion de Victor Hugo sur les rôles et les devoirs de la société face au criminel. « Mais pourquoi cet homme a-t-il volé ? Pourquoi cet homme a-t-il tué ? » sont les questions que Claude Gueux pose au tribunal. Victor Hugo répond : « Le peuple a faim, le peuple a froid. La misère le pousse au crime ou au vice, selon le sexe. » Selon Victor Hugo, le peuple est