Pourquoi Juger Culture

jugements moraux ? Comment en juger sans circularité ? Sur quoi se fondent-ils ? Que visent-ils ? Pourquoi vouloir le bien, plutôt que le mal : pourquoi être moral ? I. Le libre arbitre est une fiction Notre croyance à la liberté est à l'origine de notre sentiment de culpabilité selon Nietzsche. Il remarque que nous n'accusons pas la nature de nous vouloir du mal bien qu'elle nous nuise, lors d'un orage par exemple, alors que nous jugeons immoral l'homme qui le fait. Pourquoi cette différence ? Qu'est-ce

notion. Ainsi est-il utile de m ettre une notion en réseau pour bien voir tous les liens qui l’unissent à des notions voisine s ou opposées. Exemple : la notion d’échange peut être liée à des notions comme la société, le travail, la nature, la culture, la liberté, etc...Par exemple, le rapprochement échanges-société peut consister à montrer que les échanges, y compris les plus simples comme le troc, sont la matrice des liens sociaux. Le rapprochement échange s-liberté peut viser à montrer

Peut-on juger les opinions ? Une opinion est une croyance, c’est à dire une idée que l’on tient pour vraie, juste ou bonne sans que l’on puisse en fournir de preuve suffisante : elle exprime un jugement personnel ou collectif subjectif peu ou pas argumenté ou dont l’argumentation apparaît rationnellement fautive. En cela toute opinion est en droit critiquable ; c’est même un des rôles principaux de la réflexion philosophique de remettre en question la valeur des opinions, particulièrement celles

présentée comme un de nos devoirs essentiels. Il faut être tolérant, nous répète-t-on sans arrêt. L’intolérance mènerait au fanatisme, serait une forme de refus des autres, de tous ceux qui n’ont pas la même peau, pas les mêmes idées, pas la même culture. Certes, tout cela est vrai. Et pourtant, il y a des opinions tellement odieuses qu’il est, semble-t-il, tout autant dans notre devoir de réagir face à elles et de ne pas les tolérer. Dès lors, la question se pose : doit-on tolérer y compris ce

LT U R E L L E « La culture est la manière structurée de penser, de sentir et de réagir d’un groupe humain, surtout, acquise et transmise par des symboles […] Le cœur de la culture est constitué d’idées traditionnelles et des valeurs qui leur sont attachées ». (C. KLUCKHOHN, anthropologue du XX° siècle). Communiquer avec des partenaires de cultures différentes devient une obligation dans le cadre de la globalisation des échanges commerciaux. Cette mondialisation La culture est entraîne-t-elle une

vue, « il faut admette le principe : à chacun son goût ». L'un préfère les instruments à cordes, l'autre les instruments à vent, l'un aime le vin blanc, l'autre le vin rouge : le jugement ne vaut ici que pour celui qui l'énonce. Il est affaire de culture, d'éducation. Il s'agit du plaisir lié à la satisfaction d'un désir, qui varie selon les êtres, les cir¬constances, l'époque, l'âge. En revanche, lorsque j'affirme d'une oeuvre d'art qu'elle est belle, je prononce un jugement de goût qui ne vaut

quelles mesures la nature est dépositaire de droits ... 1)la nature Ordre de l'univers, les lois qui semblent gouverner le monde. L'ensemble du monde considéré indépendamment de l'homme et du rôle que celui-ci joue 2) au sens anthropologique, la culture désigne l'ensemble des comportements acquis et de leurs productions constitutif de la civilisation. *  La nature a des droits. a) La nature est notre mère. b) Notre responsabilité à l'égard de la nature. c) L'idée d'un contrat naturel *

d'individus est l'occasion d'unir certaines personnes dans un but commun et par conséquent, de mettre en place une frontière avec l'extérieur, les autres. Depuis longtemps, l'Homme fonctionne de cette façon et établit des critères qui lui permettent de juger les membres de son groupe ou ceux qui n'en font pas parti. Ces lois qui organisent et structurent les relations entre individus lui ont permis de surmonter des difficultés et d'évoluer. De ce fait, on peut dire que personne ne peut vivre dans la solitude

Une société sans foi est-elle envisageable? Philosophie et rationalité 1ère session 29 octobre 2013 Une société sans foi est-elle envisageable? Toute communauté se démarque par ses différences, sa culture, son langage, sa justice et ses croyances pour ne nommer que ces éléments parmi une multitude de disparités. Pour quelques peuples de par le monde, la base de leur société reste fondée sur des mœurs religieuses établies depuis plusieurs siècles. Pour certains, l’application de ses pratiques

scientia = savoir psychologique, ou savoir moral. Il y a deux types de savoir contenus dans la conscience. Le savoir psychologique. C’est la capacité à se rendre compte de ce qui ce passe en, et en-dehors de soi. Le savoir moral. C’est la capacité à juger par soi-même du bien et du mal. Une chose qui élève infiniment l'homme au-dessus de toute les autres créatures qui vivent sur Terre, c'est d'avoir la notion de luimême, du je Emmanuel Kant (1724 - 1804) : Anthropologie du point de vue pragmatique