Pourquoi Juger Culture

elles sont en quelque sortes des esclaves. Dans mon image je voulais démontrer que une femme peu importe sa religion, son statut etc. est une femme avant tout. Que même sous son niqab elle est une femme qui mérite d’être respectée et désirée. C’est pourquoi je lai mise en sous vêtement avec un voile ne recouvrant que sa tête et sa chevelure. Comme sa il est facile de percevoir qu’elle est une femme, pas seulement une femme voilée. En la mettant dans cette position et dans ces vêtements elle montre aussi

quelques réflexions sur l’humanisme qui convient à notre temps, ce que j’appellerai un humanisme de la finitude, qui accepterait se propres limites, mais aussi celles de la démocratie et du marché. I - Mondialisation et civilisations : toutes les cultures se valent-elles ? 1 – Le choc du 11 septembre 2201 Les attentats du 11 septembre 2001, avec ce qu’ils avaient de tragique et de spectaculaire, n’ont pas seulement semé l’horreur ou l’effroi. Ils ont aussi plongé nombre d’entre nous, en particulier

par là que la personne (ou le groupe de pression) qui a une emprise sur les médias que sont les journaux, la télévision ou l’Internet, exerce un réel pouvoir sur la société et sur les individus. Nous allons nous demander si Bill Gates a raison et pourquoi. Cela nous amènera à nous interroger sur notre rôle de spectateurs, pour déterminer si nous sommes réellement autant influençables que l’auteur de la citation le prétend. Nous serions tenté de dire que non, nous ne sommes pas aussi influençables

Mucchielli L., « Délinquance et immigration : des préjugés à l’analyse », Les Cahiers Français, n°308, 2002, p.59-64 Questions/Réponses 1. quel est le questionnement de départ de Mucchielli ? Pourquoi se pose-t-il cette question ? Dans son article, L. M. se demande si la délinquance est un phénomène culturel, comme certains l’affirment. C’est-à-dire, peut-on lier délinquance et immigration ? C’est le discours de certains experts qui rejoint les prénotions aujourd’hui largement partagées

s’interroge sur les problèmes du racisme dans le monde. Son auteur, Claude Lévi-Strauss, qui avait posé les bases du structuralisme français dans son ouvrage « les structures élémentaires de la parenté » (1947), s’interroge ici sur la diversité des cultures et remet en question la place de la civilisation occidentale dans le déroulement de l’histoire, la notion de progrès ainsi que le rôle du hasard. Cet ouvrage part du constat que même s’il existe des différences entre races, rien ne permet d’affirmer

en sanskrit, est partagé (danse, dance, tanz, danza…), qu’en en t’il de sa signification ? Dans un premier temps, je montrerai que la danse suscite des avis différents, puis, je vous ferai part de mon opinion personnel. Enfin, je vous expliquerai pourquoi la définition de la danse n’existe pas et n’a donc pas sa place dans un dictionnaire. Les opinions de chacun diffèrent que l’on soit en contact ou non avec la danse, mais, il n’est pas question d’un tort ou d’une raison. La réponse est plutôt

La culture Texte introductif : Jean-Jacques ROUSSEAU, Emile * 18ème siècle : siècle des Lumières (idées, raison..) + histoire dégradée dans les inégalités. * Rousseau = philosophe + écrivain romantique de la nature (grands intérêts des sentiments). Il définit les fondements de l’état de droits dans Le contrat social. Dans ce texte, Rousseau veut montrer que l’Homme est formée par l’éducation car elle permet de développer les capacités humaines et ses dimensions humaines. I) L’Homme

ne percevons donc que des choses matérielles extérieure à notre être. En effet, les sens nous permettent de prendre conscience du monde de manière tout à fait personnelle. Nous sommes habitués a une certaine représentation de ce dernier selon la culture dans laquelle nous vivons et selon les sensations qui nous sont permises de ressentir par notre corps. Les sensations sont l'expression dans notre conscience d'une impression faite par nos sens : une personne sourde et muette, n'aura donc pas la même

Inimitiés enfantinesInimitiés enfantines. “L’expression précoce des distances sociales“ Wilfried Lignier et Julie Pagis Lignier Wilfried, et Julie Pagis. « Inimitiés enfantines. L'expression précoce des distances sociales », Genèses, vol. 96, no. 3, 2014, pp. 35-61. Cadinot Claire L3 Socio-Histoire I) Synthèse du texte Le texte présenté est le résultat d’une enquête sociologique sur l’expression des inimitiés et des distances sociales précoces réalisée auprès d'élèves issus de deux écoles élémentaires

pour lui objecter la complexité concrète des situations et des contextes, l’enjeu change de sens. La morale a trait au premier abord aux notions de bien et de mal. Elle relève de la catégorie du normatif, c'est-à-dire de la capacité humaine de juger les actes en leur attribuant une valeur. Elle polarise donc le sens de l’action humaine selon des valeurs, ce qu’indique le terme d’axiologie. Cette capacité renvoie à deux dimensions fondamentales : l’une sociologique, dans la mesure où toutes