Pourquoi Lire Une Autobiographie

Textes et documents complémentaires -FLAUBERT, Madame Bovary, 1857, mort d’Emma -ZOLA, arbre généalogique des Rougon-Macquart Synthèses -Notions de narration : -les caractéristiques du récit ; les genres narratifs : roman, nouvelle, conte, autobiographie, fable. -les points de vue -la description : insertion, organisation, fonctions (informative, esthétique, narrative, symbolique, gratuite) -Histoire littéraire et culturelle : les mouvements du XIXe siècle (romantisme, réalisme, naturalisme) -Les

lui-même) tout ce qui est en vers ou fictif est identifié d'emblée comme relèvement littéraire. Littérature constructive et conditionnelle. Toutes les œuvres qui appartiennent à des genres sans visées esthétiques (discours historique, journal intime, autobiographie) institutionnalisés lais qui dès lors font une attention esthétique sont littéraires. Autres types d'écriture sont conditionnés. → épitexte qui donne matière à ouvrage de Sévigné → élément de poétisé, tributaire existant du genre épistolaire A)

d'écriture qui ont donné naissance au "récit d'enfance". Ce qui explique la nécessité de passer en revue, même brièvement, l'histoire de la naissance et l'évolution des genres littéraires: du Roman et de l'Autobiographie. (1) Elisheva Rosen:"Pourquoi avons-nous inventé le Récit d'enfance? Considérations sociocritiques sur l'étude d'un genre littéraire": dans "La politique du texte", Presse universitaire de Lille, 1992, (p.65-76), p.65. 8 D'après M.L. Terray: "L'Autobiographie sous ses

dispensé des cours d’histoire de la philosophie sur le temps à la Sorbonne, à Nanterre et à Chicago. Il a par la suite écrit des articles (par exemple Narrativité, 1980) sur l’expérience humaine du temps et sa fonction narrative. Il affirme dans son autobiographie intellectuelle que Temps et récit lui a permis de porter à un plus haut niveau de réflexion l’intuition contenue dans ce qu’il appelle « ses galops d’essai » sur le temps et la narrativité (Réflexion faite, Esprit, 1995, p. 63). A juste titre

attention. Elle hochait sa tête en signe d'accord. De temps en temps, elle lui posait quelques petites questions à mon sujet. Il répondait brièvement en ajoutant de l'encens dans le brasero qui était devant lui. Puis, sans que j'arrive à comprendre ni pourquoi ni comment, ma grand-mère lui glissa nerveusement quelque chose dans la main, me porta dans ses bras et sortit vite les yeux en larmes. Ce que le Ch'rif lui dit, je ne l'ai point compris. Mais quelques années plus tard, elle me rappelait tout le

autobiographique, écriture personnelle. 2) La question du genre Le livre de ma mère semble appartenir au genre des biographies: récit qu'un auteur produit sur la vie d'un personnage. Auteur et personnage sont deux entités distinctes. Pourquoi on écrit une biographie? Faire de l'histoire ou perspective hagiographique (volonté de l'éloge), ou troisième perspective: idée d'un « devoir de mémoire » (faire vivre encore la mémoire pour faire passer un personnage à la postérité).

histoire et peut être lu comme un roman classique. Mais en fait le livre a été écrit à l’intention des étudiants américains désireux de se perfectionner en français. D’ailleurs, l’auteur nous en avertit indirectement dans les premières pages, où l’on peut lire ce passage : « En lisant [ce] récit, on a d’abord l’impression d’avoir affaire à un livre scolaire, destiné à l’enseignement du français, comme il doit en exister des centaines. La progression régulière des difficultés grammaticales de notre langue

de cerner le moment même de cette transmission dessaisissant que nous nommons hantise. La notion de fantôme comme défaut au c�œur de la transmission nous amènera à nous interroger sur la place de l�’héritage et du secret dans la lecture. Comment lire un texte hanté par un secret lacunaire ? Le lecteur n�’est- il pas toujours cryptophore ? La lecture ne réveille-t-elle pas toujours la hantise sournoisement inscrite comme potentialité du texte ? Sujet habité et texte hanté renvoient aussi à un

me retrouve donc avec une première certitude : « Je suis, j'existe ». la plus grande facilité de la connaissance des essences[modifier] Dans toutes mes pensées, il y a quelque chose à quoi je pense, ce quelque chose qui peut être trompeur. Pourquoi les perceptions sensibles peuvent nous tromper? Descartes prend l'exemple du morceau de cire. "Lorsqu'il fond, je le juge toujours comme étant de la cire. La permanence n'est pas dans les impressions sensibles que j'ai reçues, elle est dans mon jugement

sommet de la page  L'icône[pic]vous permet d'aller à l'occurrence suivante au sein d'une énumération |1/ CONSEILS GÉNÉRAUX |[pic] | |[pic] | A. Lire le sujet • Le sujet doit être lu avec minutie, de préférence crayon en main, afin de repérer les mots-clés qu'il contient (les entourer, les recopier au brouillon). • À partir des mots-clés, déterminer rapidement la catégorie dans laquelle