Pourquoi Raconte T On

Pourquoi ai-je choisi ce livre? J’ai choisi ce livre parce que j’ai vu le film au cinéma et j’étais intéressé de lire le livre parce que je trouvais le film si intéressant. Je l’ai même lis en anglais et en français, mais en français c’est mieux. En plus j’étais intéressé pour quoi le livre s’appelle „Passage“ (en anglais „Holes“=les trous tout à fait différent) , et j’ai découvert que c’est le passage d’une famille malchanceux à une famille qui a de la chance. Résumé sans raconter la fin :

éventuellement après ?)Analysenarrateur et point de vue : qui raconte : 1ère ou 3ème personnepoint de vue : focalisation interne sur un personnage (si oui, lequel), focalisation externe ou focalisation zéro (narrateur omniscient)Ordre et vitesse de narration : chronologique ou non (flashback ou anticipation) accélération ou ralentissement du récit (scène, ellipse, pause,

Chapitre 1 1- Que fait Lauren comme travail? 2- Pourquoi n’a-t-elle pas beaucoup dormi? 3- À qui parle-elle à la page 10? 4- Où s’en va-t-elle? Chapitre 2 1- Fais-moi une description de la conduite de Lauren. 2- Quel est l’élément déclencheur de ce roman? 3- Qu’arrive-t-il à Lauren? 4- Qu’est-ce qu’un réfectoire? 5- Qui sont Frank et Philip? 6- Quelles sont les blessures de Lauren? 7- Pourquoi Frank dit-il à son compagnon d’arrêter? 8- Trouve un

l’admirons » ; il faut y rajouter l’élément, que nous ne pouvons absolument pas connaître « ce pour quoi les siècles prochains l’admireront autrement, et qui n’a rien à voir avec les raisons pour lesquelles nous l’admirons –ou , au contraire, ce pourquoi les siècles prochains l’abandonneront à un oubli total » : on ne peut prévoir la vie posthume des œuvres d’art. Si nous-mêmes ne lisons pas Baudelaire comme le lisaient ses contemporains, c’est qu’entretemps nous avons lu Rimbaud et bien d’autres

SÉQUENCE 5e : RACONTER POUR SE MOQUER : LES FABLIAUX 7 séances – 3 évaluations (dictée, éval lecture / langue, expression écrite) Objectifs : - Découvrir les caractéristiques du fabliau à travers l’analyse de sa structure narrative - Découvrir l’ancien français, étudier l’évolution de la langue - Le dialogue dans le récit : insérer des dialogues dans un récit o les marques du dialogue dans le récit o les verbes de parole o les paroles rapportées

Les discours rapportés p. 7 Dominante : langue Séance 6 › Un roman polyphonique p. 8 Dominante : lecture analytique Fiche élève › Écoutez lire p. 9 Séance 7 › La modalisation p. 10 Dominante : langue Séance 8 › Raconter les horreurs de la guerre p. 11 Dominante : expression écrite Séance 9 › Les révélations de Cet Homme p. 12 Dominante : lecture analytique Fiche élève › Écoutez lire p. 13 Séance 10 › Du livre au film p. 14 Dominante :

affirme qu'il aurait rêvé d'une phrase, la première de l'histoire « Je m'appelle Brodeck est je n'y suis pour rien », cette phrase l'aurait par la suite inspirée jusqu'à en écrire un livre. Ce livre se démarque par des choix peu commun, les faits son raconté dans un ordre non-chronologique. Ce roman fait en effet des aller et venu entre le passé des camps de concentration, ou Brodeck était traité comme un véritable chien, et le présent de son petit village, que l'arrivée d'un habitant bouleversa. Nous

Le Centenaire C’était la guerre des tranchées, un devoir de mémoire ? Dany Ferreira Collège Saint-Michel Fribourg Janvier 2014TABLE DES MATIÈRES 1. Introduction Vie dans les tranchées gros caca Changer de facon de raconter -> BD Devoir de mémoire… 2. 2.1 Le devoir de mémoire Le devoir de mémoire est premièrement un devoir moral que l’on attribue à des Etats d’entretenir le souvenir de souffrances que certaines catégories de personnes ont subies dans le passé. Il

explique ce qu’il s’est passé avec les nazis, les différents camps ou il a été envoyé, sa rencontre avec la mère d’Artie,… Artie rend visite à son père de temps en temps pour qu’il lui en raconte un peu plus sur son histoire. Seulement Vladek est malade et les interviews de son fils se font donc plus rares. Vladek raconte à son fils, quand les nazis sont venu le cherché, les différents camps ou il à été envoyé, les métiers qu’il a exercé, les gens qu’il a rencontré, la difficulté que les juifs on traversé

doit mourir avec le malade s’ils ne peuvent pas guérir ensemble, comme un commandant périt avec son bateau. Ils en concluent que tous les docteurs sont des charlatans. Ensuite, Mr. Smith, lisant la rubrique de l’état civil de son journal, se demande pourquoi l’on indique toujours l’âge des personnes décédées et jamais celui des nouveau-nés. Pour lui c’est un non-sens. Pour nous, c’est sa réflexion qui n’a aucun sens car un nouveau né ne peut pas avoir d’âge puisqu’il vient à peine de naître. Je ne compte