Pouvoir De Décision Dans Les Sociétés Commerciales Pluripersonnel Limites

plus de trois millions et demi de personnes morales : soient plus de trois millions de sociétés et un demi-million d’associations. Elle compte en revanche sept millions d’actionnaires (Le Monde, 12 juillet 2002) ; plus d’un Français sur dix a donc, parfois sans en avoir pleinement conscience, la qualité d’associé. C’est ainsi que cette qualité d’associé est exposée dans le Code civil en son article 1832 : « la société est instituée par deux ou plusieurs personnes qui conviennent par un contrat… ». L’article

Dans les entreprise individuelles, toutes les décisions, quelle qu’en soit la nature, sont prises par l’entrepreneur. Il est seul maitre dans son entreprise et ne partage son pouvoir de décision avec personne. Il en va de même pour l’associé unique dans l’EURL ou la SASU. Par contre, dans les sociétés commerciales pluripersonnelles, le pouvoir de décision est partagé entre différents organes de gestion : assemblée générale, conseil d’administration ou conseil de surveillance, président, gérant. Et

objectif de mieux connaître un marché, dans le but de réduire l’incertitude des décisions ultérieures. Notre Etude consiste à étudier : demande offre fournisseur Réglementation Conditions d’Accord / confirmation : Capacité financière et commerciale importante Local bien positionné Personnel qualifié et spécialisé (gestion….) Pouvoir d’achat du segment ciblé (opportun) Pouvoir de Garder le rythme avec la modernisation Respect des Articles du Contrat (prix ;

I. L’EXERCICE DU POUVOIR DE DECISION ET LA NATURE DES DECISIONS DANS LES SOCIETES COMMERCIALES PLURIPERSONNELLES • Pourquoi n'étudions-nous pas les SNC et SAS ? Les sociétés en nom collectif (SNC) sont peu nombreuses en France (3 % des sociétés commerciales). Dans la société par actions simplifiée (SAS), le président est le seul organe imposé par la loi. Ce sont les statuts de la SAS qui déterminent librement, sauf rares exceptions, les modes de prise de décision et de consultation des actionnaires

activité. Pour certaines sociétés, la loi prévoit un apport lors de leur constitution mais n’en précise pas le montant : Société en nom collectif (SNC), Société à responsabilité Limitée (SARL), entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL). C) Les Entreprises avec un apport minimum obligatoire La loi impose un apport minimum pour la création de certaines sociétés commerciales. Il est destiné à constituer le capital de la société. La société Anonyme (SA) requiert un apport

Première partie: les sociétés à risque limité Seconde partie : les sociétés à risque illimité Rappel : • Les personnes physiques (63 millions) • Les personnes morales (3 millions et demi): • les sociétés avec 1 million d’actionnaires • les associations Les classifications : • Les sociétés civiles ou commerciales • Les sociétés pluripersonnelles ou unipersonnelles • Les sociétés ouvertes ou fermées • Les sociétés à risque limité ou à risque illimité

------------------------------------------------- DROIT 1 – L’entreprise en droit Le choix d’un statut juridique -> Application de règles spécifiques * Commerçant * Artisan * Société * Association * Coopérative * Mutuelle REGLES COMMUNES EN DROIT : du travail, commercial, de la concurrence, comptable et fiscale L’entreprise : (ensemble de moyens concourant à la réalisation d’une activité économique) * Exercice d’une activité : autonome, à répétition et à caractère

entreprise individuelle, entreprise « en nom », entreprise « en nom propre ». On dit personne morale : entreprise sociale (toutes les entreprises exercées par une société), entreprise sociétaire. Chap. 1 – La SARL pluripersonnelle Le législateur a créé la forme la plus populaire des sociétés qui se trouve être la SARL en 1925. Cette société a eu tout de suite du succès puisque les associés ne sont responsables qu’à hauteur de leurs apports. Les lois du 5 janvier 1988 et du 11 février 1994, ils ont

Conclusion…………………………………………………………. 13 INTRODUCTION La SAS est une société hybride, entre la SA (société anonyme) société de capitaux, et la SARL (société à responsabilité limitée) société de personne. La caractéristique de la SAS est qu’elle permet de dissocier le capital du pouvoir. Un associé peut avoir des prérogatives indépendantes de sa part de capital. La SAS créée en 1994 a longtemps été réservé aux coentreprises, constituées entre des sociétés d’un capital de 1.5 million de francs. Puis en 1999

Chapitre 2 : le pouvoir de décision, selon la forme juridique Le porteur d’un projet d’entreprise est confrontée d’emblée au choix d’une structure juridique (EURL, SA…). Celle-ci est principalement conditionnée par le montant et la nature des apports réalisés, par l’étendue du pouvoir de décision, et par le niveau de responsabilité. I. L’exercice du pouvoir de décision quand il y a un seul apporteur de capitaux dans l’entreprise a. L’entreprise individuelle C’est une structure adaptée