Pouvoir Judiciaire Sénégal

existe des juridictions qui relèvent ni de l’ordre judiciaire ni de l’ordre administrative. Le conseil constitutionnel est incontestablement une juridiction, il ne relève d’aucune juridiction. Les juridictions de l’ordre judiciaire constitue une organisation a la tète de laquelle se trouve la cour de Cassation, toute juridiction qui relève directement ou indirectement du contrôle de la cour de cassation est un juridiction de l’ordre judiciaire. A l’inverse toute juridiction qui relève directement

Institutions judiciaires Partie 1 : Les juridictions Chapitre 2 : Les juridictions extérieures aux ordres juridictionnels - Cert sont rattachées à la souveraineté étatique fr, et d'autres ne le sont pas. - Elles n'ont pas créées par la France mais par une instance supranationale Section 1 : Les juridictions nationales - Ces juri se situent soit ↳ au dessus des ordres juri • tribunal des conflits => ni adm, ni judiciaire => conflits entre juri judiciaire et juri adm

seules à pouvoir conférer) ces décision une force exécutoire (une décision rendue par le tribunal pourra au besoin être mise à exécution d’une décision avec le concours de la fonction publique). Rendre justice est la fonction de l’Etat. Les principes fondamentaux régissant dans l’organisation juridictionnelle française sont 3 : - La séparation des pouvoirs - Le double degré de juridiction - La collégialité des juridictions §1 Le principe de la séparation des pouvoirs. Posé

d’instruction : Il s’agit d’un magistrat chargé de diligenter des enquêtes judiciaires. Le juge d'instruction a pour mission de faire « tout acte utile à la manifestation de la vérité ». Concrètement, sa mission est donc de mener une enquête, qui pourra déboucher sur un jugement. La chambre de l’instruction : Elle juge : des demandes de réhabilitation judiciaires des requêtes en rectification des mentions du casier judiciaire des difficultés d'exécution des décisions de cour d'assises sur le

séparation des pouvoirs dans la Constitution des Etats-Unis » « Il n’y a point encore de liberté si la puissance de juger n’est pas séparée de la puissance législative et de l’exécutrice » disait MONTESQUIEU (1689-1755) dans son célèbre ouvrage De l’esprit des Lois (1748). Autrement dit, la liberté implique la séparation des pouvoirs ; MONTESQUIEU définira alors clairement le fait qu’il existe trois pouvoirs, plus connu sous le nom de Trias Politica : le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif

cotisations illégales, ils vont donc devant le juge judiciaire, puisque le littige entre deux personnes privée. Mais l'administration a donner son autorisation, donc le juge judiciaire a amener a apprécier la légalité d'un acte administratif, c'est à dire l'acte qui habilite à recevoir les corisation. De ce fait le juge judiciaire doit demander au juge administratif si cette acte est légale, c'est une question préjudicielle. L'argument du juge judiciaire c'est article 55 de la constitution et principe

législative, la fonction exécutive et la fonction judiciaire. Depuis 1790, ces trois fonctions ne sont plus concentrées entre les mains d’une seule personne, mais sont indépendantes les unes des autres. C’est le principe de la séparation des pouvoirs. Il s’agit de s’interroger sur la signification actuelle de ce principe. A- Justice et pouvoir législatif Dire que la justice est indépendante du pouvoir législatif signifie d’une part que le pouvoir judiciaire ne peut s’immiscer dans la fonction législative

privée. La PCiv est une matière formaliste imprégnée de duels judiciaires. Dans le procès figure une confrontation pour obtenir gain de cause. On a un combat judiciaire devant le juge et il nécessite des règles qui sont l’objet même de la procédure civile. Ces règles constituent une sorte de rituel judiciaire. Il convient d’avoir des règles pour poser une certaine cohérence. Le rôle de ces règles est de permettre le contrôle judiciaire. Le droit processuel est une matière jeune en perpétuelle

médico-sociale à but non lucratif (UNIFED) relatif à la mise à disposition de salariés auprès de six organisations syndicales présumés représentatives à la date de la signature. Mais, même agréé, l'accord conserve sa nature contractuelle, le juge judiciaire est donc en principe seul compétent pour statuer sur la licéité d'une clause. Or, le syndicat requérant, SUD santé sociaux, invoquait l'illégalité de l'accord de branche en raison d'une part de l'absence de représentativité des signataires et

élèves. L’exposition « 10/18 : la loi et moi » s’inscrit dans une politique concrète d’information et de prévention. Elle a pour objectif de permettre aux élèves de mieux repérer les acteurs sociaux, de comprendre le fonctionnement de l’institution judiciaire au civil comme au pénal. Mais également de prendre conscience de leurs droits et de leurs devoirs. Celle-ci leur apporte des informations sur les conséquences possibles d’un acte délictueux à la justice, des connaissances sur les lieux d’information