Pouvoir Politique Firmes Multinationales

complète la théorie des avantages comparatifs qui analyse le phénomène de la spécialisation internationale en considérant des produits homogènes. Le pouvoir de différenciation des produits, par l'innovation ou par des facteurs subjectifs tels que l'image de marque, est devenu un argument essentiel de pénétration des marchés (surtout dans les pays à haut pouvoir d'achat). La préférence des consommateurs pour la diversité explique la coexistence de différents modèles de B&S. Les échanges intra-branche, portent

….), cependant son système productif ainsi que le contenu de ses échanges extérieurs demeurent typiques d’un pays en développement. Cette ouverture nous paraît fondamentale car elle peut générer une croissance forte et durable à condition qu’une politique de réformes structurelles soit rapidement mise en œuvre. Cette dernière doit être claire et bien séquencée. Elle doit tenter, autant se faire que peu, de remédier aux rigidités au niveau des institutions mais aussi des comportements, tout en veillant

libre-échange a. Les gains à l'échange dans la théorie économique b. Libéralisation des échanges et croissance c. Heurs et malheurs du protectionnisme III- La mondialisation de la production a. La montée des firmes multinationales b. Les stratégies des firmes c. Les effets de la mondialisation des firmes Cours de M. F. DIVIALLE Lycée Vauban / 2013-2014 Page 1 sur 8 Cours de Sciences Economiques et Sociales, Obligatoire Terminale ES Chapitre 3 : Quels sont les fondements de la mondialisation

distances, les coûts, les techniques de transports et de communication, ils ont été un des principaux facteurs de la mondialisation. II- La rôle des multinationales Ce sont ses agents actifs de la mondialisation et il existe plusieurs sortes de firmes. A- Le développement des F.M.N Les firmes multinationales sont, selon la définition de l’O.N.U des entreprises qui contrôlent des actifs (bâtiments, machines, dépôts financiers) dans plus de deux pays. Ce qui la

économique. Mais ce système dépend notamment des firmes multinationales qui participent activement à l’émission de gaz à effet de serre. Bien que les firmes multinationales fassent quelques efforts en matière d’éthique social et environnemental, elles cherchent avant tout à maximiser leur profit. Or aujourd’hui dans une économie de plus en plus mondialisée, elles ont une grande influence dans les négociations mondiales, 77 000 firmes multinationales représentent 20 % du PIB mondial, leurs nombreuses

délocalisation : c’est la fermeture d’une unité de production et la réouverture d’une unité similaire dans un autre pays. La firme multinationale est toute entreprise qui a au moins une unité de production à l’étranger, cette unité de production sera alors sa filiale. Cette définition implique de compter sur au moins 10 % du capital. On compte 60 000 firmes multinationales qui possèdent 800 000 filiales dans le monde. II) Est-ce que les pays développés subissent une désindustrialisation ?

par une faible voire une absence d’action de l’entreprise sur le marché final. Dans l’exportation directe l’entreprise n’utilise pas d’intermédiaire pour vendre son offre à l’étranger. Elle permet a l’entreprise de conserver une maîtrise sur sa politique commerciale. Dans ce cas, l’entreprise fournit un effort d’approche du marché en constituant un réseau de commercialisation. Elle a la possibilité de contrôler de dynamiser son activité sur le marché étranger en fonction de sa stratégie commerciale

plusieurs thèmes liés entre eux : mobilité internationale croissante des B&S&K, organisation globale des firmes, émergence de règles multilatérales ou accords régionaux. M° identifiée à un mécanisme d’intégration des économies à différents niveaux : * Intégration commerciale qui touche à l’ouverture du marché des B&S * Productive : liée à la division du W et a multinationalisation des firmes * Culturelle et productive : internationalisation de ladiffusion des médias, des formations de l’enseignement

protection des employés et des délégués syndicaux contre toute discrimination antisyndicale. Une coopération avec la FIDH concernant des audits sociaux est également en place depuis 20006. Cette responsabilité sociale contraste fortement avec la politique antisyndicale de Wal-Mart mais reste limitée comme le montre par exemple le refus de participer au fond d'indemnisation des travailleurs et de leur familles suite à l'accident meurtrier survenu 11 avril 2005 chez un de ses fournisseur bengali7.

nouvel ordre économique mondial. « L'alter-mondialisme » désigne littéralement une « autre mondialisation ». Apparu dans les années 1990 en réponse au phénomène de mondialisation, il s'oppose a la domination extrême des plus riches, des firmes multinationales et des puissants à qui l'ouverture des échanges a grandement profité. Les alter-mondialistes ne rejettent pas la mondialisation mais en souhaitent une forme plus juste, moins inégalitaire. Ils réclament une meilleure répartition des richesses