Pouvoir Traditionnel Et Religions Dans Les Empires Soudanais

le Zambèze. 2) le cadre humain : L’Afrique est le berceau de l’humanité. Cette thèse témoigne de l’ancienneté du peuplement africain. La population est essentiellement composée de noirs ou mélano-africains, divisés en plusieurs groupes comme les soudanais, les bantous, les nilotiques, les bantous, les khoisans (bushmen et hottentots), les pygmées. On recense aussi quelques 5 millions de blancs d’origine européenne, principalement dans le sud, ainsi que de nombreux expatriés temporaires. Un million

également considéré que le culte du serpent, existant dans beaucoup de civilisations africaines, pouvait avoir une origine égyptienne. On pourrait encore citer une quantité impressionnante de traits culturels rapprochant l’Egypte ancienne de l’Afrique traditionnelle, (voir à ce sujet les travaux de Cheikh Anta Diop, Théophile Obenga ...) mais le but de ce travail n’est pas là. Faut-il considérer ces traits culturels communs comme le fruit d’une relation entre l’Egypte ancienne et le reste de l’Afrique ou

le contexte historique et le cadre humain à la naissance de Ali Kotoko et de Ahmed Kotoko. A- CONTEXTE HISTORIQUE ET LE CADRE HUMAIN A LA NAISSANCE DE ALI KOTOKO ET DE AHMED KOTOKO Entre l’année 1900 qui marque l’avènement du sultan Djagara au pouvoir à Goulfey et les années 1918, 1926 et 1927 qui marquent respectivement la naissance de Ahmed Kotoko, Ali kotoko et le décès du Sultan Djagara, le Logone et Chari, en ce temps là est en majorité peuplé de groupes ethniques Kotoko et Arabe-Choa. a-

Pygmées disposent d'immenses territoires. Les Bantous se sont installés aux frontières méridionales du Sahara avant de gagner, en un siècle, le Sud du continent. Quant au type racial on distingue, en Afrique noire, cinq groupes ethniques principaux: Soudanais, à la peau relativement claire; Nilotiques (de l'ancien bassin du Nil) d'un noir intense; Cafres, reconnaissables à une pilosité plus abondante et a leur carnation d'un brun sombre. Tous ont en commun une haute stature, au contraire des Congolais

de pêche situés sur le cours inférieur du Niger. Le Mali est divisé en huit régions administratives, auxquelles s’ajoute le district de Bamako : Gao, Kayes, Kidal, Koulikoro, Mopti, Ségou, Sikasso et Tombouctou. 3.3 Ethnies, langues et religions 40 p. 100 des Maliens sont des Mandingues, majoritairement des Bambara. Ils vivent principalement dans l’ouest du pays (Bamako). Les Songhaï sont établis dans l’Est, les Soninké dans l’Ouest (Kayes) ; les Sénoufo vivent autour de Sikasso, dans

évidence une profonde influence et un solide ancrage dans les sociétés sénégambiennes. Aussi la religion musulmane a-t-elle modifié les conditions de vie des populations sénégambiennes, changé les structures sociales, religieuses économiques et culturelles, de même que les institutions politiques et juridiques. Les succès de l’Islam s’expliquent par sa capacité d’adaptation, ses similitudes avec les religions locales du terroir (animisme) : croyance au surnaturel et au sacré (djinns, esprits), la

THEME : FINALITES ET SIGNIFICATIONS DU POUVOIR PLAN INTRODUCTION I. SENS ET FINS DU POUVOIR POLITIQUE DANS LE MONDE OCCIDENTAL 1. L’absolutisme 2. L’idée d’un gouvernement modéré II. FINALITES ET CONCEPTIONS DU POUVOIR POLITIQUE EN AFRIQUE TRADITIONNELLE 1. Les modes d’organisations politiques traditionnels 2. Le pouvoir politique religieux 3. La sacralité du pouvoir politique en Afrique traditionnelle CONCLUSION Présenté par : Seydina Fall

l’ensemble du processus productif. 1610 : presque 60 milliard de tonnes de sucre exportées . Un egenho = foret, résidences, plantations, siège de l’administration (casa grande), habitations des esclaves (a senzala), … A l’origine d’une aristocratie : pouvoir au-delà des terres, sur les villes environnantes en dominant les chambres municipales. Les esclaves sont « les mains et les pieds du Seigneur » 1580 – 1640 : le Portugal appartient à l’Espagne. Ensuite la colonisation portugaise s’étend, jusque dans

parcourut et par les œuvres de lettrés soudanais : le Tarich el fettach et le tarikh es soudan. Les griots traditionnalistes ont aussi contribué à cette découverte. 2. L’origine de l’empire Plusieurs légendes expliquent l’origine. L’une d’elles rapporte que l’ancêtre Faran Makan Boté né d’un père Sorko et d’une mère génie, se serait allié avec les gow chasseurs et les sorkos pêcheurs dont un ressortissant faisait office de kanta, grand prête ; il établit ainsi son pouvoir sur un peuple de paysans dans

des Etats, mais aussi des ethnies dans lesquels le pouvoir du roi n'est jamais absolu. Je commencerai ce sujet par quelques généralités sur le pouvoir en Afrique puis m'attarderai sur l'étude de cas précis (constitution mossi et du Cayor,  structures politiques dans l'empire du Ghana et du Mali, organisation sociale chez les Ewés et les Yoroubas....). Ce travail permettra aussi de mieux comprendre le mode d'organisation des sociétés traditionnelles. Mon but final en faisant ce sujet est de pousser