Preciosite Moliere

sa vie à examiné les hommes et à s’amuser de leur réflexions. On voit que ce passage l’a énormément marqué et il explique la vision ambiguë de la femme qu’à Marivaux : à la fois charmante et vaniteuse. Depuis, il met en scène 2. Il montre la préciosité de l’époque. Le style de Marivaux a été beaucoup critiqué à son époque puis à travers les siècles. Voltaire disait qu’il pesait des œufs de mouches dans des toiles d’araignes. On lui reprocha beaucoup de ne pas être naturel. Il se défendit en

dans le cadre de leurs salons appelés préciosités, elles établissaient des codes de conduites, des décors, des manières pour « fabriquer l’honnête homme ». Ces salons finissent par devenir des lieux de pédanteries que Molière a caricaturées dans les « Précieuses ridicules ». A ce moment les femmes de la bonne société paraissent éduquées mais ne sont toujours pas présentes dans les milieux politiques, littéraires ou scientifiques. Au XVIIIe siècle, ces préciosités deviennent des salons de rencontre

et la raison. Les tendances du baroque traduisent une vision tragique du monde, fortement influencée par les guerres de religion, les épidémies et les famines, ainsi que les révoltes populaires, etc. On distingue plusieurs thèmes qui sont la préciosité (1650-1660) (qui s'inspire d'un idéal féminin et d'un art de la conversation) et le burlesque (1640-1652) (qui désigne une farce, une tromperie ; il provoque le rire lié à la moquerie. Le burlesque se distingue en trois nuances : la parodie, la

propos des deux gentilshommes. Elles ne comprennent pas ce qu’ils racontent. Elles acceptent même que Jodelet emporte la lune (entière). Les personnages de la scène étudiée, sans le vouloir, basculent dans cet excès, pour atteindre le ridicule. Molière utilise d'abord les mots courants du langage précieux, qui rendent la caricature plus adaptée. , les précieux se retrouvent par des jeux de mots, les jeunes filles expliquent à Gorgibus, qui est très furieuse de leur conduite envers les deux

Molière, Tartuffe Acte III, scène 3 (v. 933 à 1000) Introduction I. La dualité du langage II. L’hypocrisie de Tartuffe révélée par Molière a. L’auto-victimisation du personnage b. L’absence de sincérité du personnage c. Le personnage se dévoile Conclusion Texte étudié : TARTUFFE L'amour qui nous attache aux beautés éternelles, N'étouffe pas en nous l'amour des temporelles. Nos sens facilement peuvent être charmés Des ouvrages parfaits que le Ciel a formés. Ses attraits

Ayant emprunté le pseudonyme de Molière, le comédien criblé de dettes sera emprisonné. A sa libération, Il quitte Paris pour un long séjour en province mais ne renonce pas a l'aventure théâtrale. La troupe parcourt la France et obtient ses premiers succès en jouant des œuvres de Corneille. A la même époque Molière écrit les premiers textes qui vont élargir le répertoire de la troupe: il choisi le registre comique. La commedia dell'Arte et la Farce. Quand Molière entame sa carrière, la tradition

Dom Juan de Molière Objectifs - éclairer les liens entre théâtre et société à l’époque de Molière, mais aussi à toute époque. - définir le mythe de Dom Juan (insister sur l’actualisation riche et multiple du mythe), l’archétype de Satan, le libertinage, l’esthétique baroque, la comédie. - donner des pistes de lecture d’un spectacle de théâtre par l’entrée du texte, former l’élève en tant que spectateur critique. 1 Introduction A quel genre théâtral appartient Dom Juan ? Ce genre, quelle place hiérarchique

d’Italie, cette forme théâtrale se développe dans toute l’Europe, grâce au prestige de ses comédiens, dès la fin du XVe siècle. Les acteurs improvisent souvent à partir d’un canevas initial où ils incarnent des personnages stéréotypés. - L’héritage de Molière. Il retient de l’héritage italien les lazzi, bouffonneries et prouesses verbales, et fait de ses comédies un spectacle d’agilité physique. Il donne plus d’épaisseur aux personnages stéréotypés et étoffe les intrigues traditionnelles. Le rire devient

Informations sur l'auteur L'auteur du célèbre ouvrage Le Tartuffe est Molière, de son vrai nom Jean Baptiste POQUELIN. Il est le fils d'un tapissier, personne dressant de grand tapis. Molière fit ses études chez les jésuites. Il obtient une licence en droit, mais à l'âge de vingt ans, il se décide à consacrer sa vie au théatre. Cela est, pour l'époque, très mal vu car on dit que c'est le diable qui se glisse dans le personnage ; le clergé n'apprécie guère non plus. En effet, on soupsone les troupes

Il n’est pas amoureux de sa cousine Madeleine Robin dite Roxane. - Il n’aime pas les femmes. - Il ne connaît pas particulièrement Christian. - La préciosité ne s'affirme vraiment que vers 1654, pas en 1640. - Comment Ragueneau serait-il moucheur de chandelles chez Molière en 1655, puisque Molière n'est revenu de province qu'en 1659? - D'accord, Molière a bien emprunté le fameux «Qu'allait-il faire dans cette galère?», mais Les Fourberies de Scapin sont de 1671, donc quinze ans après la mort de Cyrano