Preuve Et Filiation

procureur de la république, est obligatoire pour les mariages de mineurs. Quelles sont les personnes qui ont habileté à donner le consentement ? Il existe des règles spéciales selon qu'il s'agisse d'une filiation biologique ou selon qu'elle est adoptive. Les filiations sont légitimes. Filiation biologique Art.148 à 150 du Code Civil Si les deux parents sont en vie, un seul consentement suffit mais les deux parents doivent être consultés (Art.148) Si un parent ne peut pas s'exprimer ou s'il

française proposent plusieurs définitions plus ou moins large dans une première approche, générale et simple, la famille peut être définit par un groupe de personne uni par un lien de parenté ou d’alliance. La parenté est le lien du sang ou de la filiation reliant entre eux les descendant d’un auteur commun. L’alliance est le lien crée par le mariage unissant un conjoint et la famille de l’autre. La famille se caractérise par sa diversité dans ses fonctions, ses dimensions et ses formes. Ce qui oblige

politique qu’il souhaite mener. Son choix n’est guère facilité puisqu’il doit trancher entre des intérêts radicalement divergents. Exemple : permettre à une personne d’accoucher sous X, c’est interdire à l’enfant qui vient au monde de connaître sa filiation maternelle donc ses origines. La question qui se pose est : faut-il préserver le droit de l’enfant ou la liberté de la mère ? Tantôt le législateur sacrifiera un intérêt au profit de l’autre, tantôt il procèdera à une conciliation des intérêts pour

faire la déclaration de naissance. Dans ce cas l’officier d’état civil se déplace au chevet de la mère. Ceci est important car l’article 311-25 du CC prévoit que si l’acte de naissance porte le nom de la mère, alors le rattachement juridique, la filiation maternelle, entre la mère et l’enfant est présumé. b) L’acte d’enfant sans vie -Premier cas : Si l’enfant meurt entre la naissance et la déclaration (dans les 3 premiers jours), on va établir un acte de naissance et de décès si l’enfant

l’acte de naissance Il constitue une preuve de l’état de la personne, quasiment invincible de la situation de chacun. C’est ce qu’on appelle un « acte authentique ». Art 1317 du code civil, c’est l’acte qui est établit par un officier publique dans l’exercice de ses fonctions, (maire officier de l’état publique). L’article a pour sens que les actes qui sont ainsi rédigé par les officier publique ne peuvent pas être contester, il ‘est pas possible d’apporter la preuve contraire de leur énonciation de

propriété ,du contrat et de la famille. Traditionnelement la famille est def comme un couple de pers unis entre elles par ds liens fondés sur le mariage ou sur la filiation(doctrine juris) Lorsque le lien familial résulte du mariage ce lien est appelé lien d’ alliance,en revanche lorsque le lien familiale repose sur la filiation ce lien est appelé lien de parenté. Est ce que ce gp de pers a la personnalité morale ?Si oui la famille est titulaire d un patrimoine qui lui est propre va benef

belle-sœur). b▪ la définition de la famille en référence au lien de sang et l‘alliance C’est la plus communément admise, famille : un groupe de personne uni par des liens de parenté et d’alliance. Une famille est un groupe fondé sur le mariage et la filiation. Mais cette définition est un peu désuète en 2010 : le mariage n’est plus qu’une forme de couple parmi d’autres. Pourquoi un couple de pacsés ne formerait-il pas une famille ? B▪ la définition renouvelée On peut définir la famille de manière

1) La charge ou fardeau de la preuve: actori incumbit probatio Sauf les présomptions légales. Ces dernières dispensent le demandeur de faire la preuve du droit allégué. Ça n'existe que dans quelques cas, v. 1349 cciv. qui est d'ailleurs assez abscons: ce sont les conséquences que la loi ou le magistrat tire d'un fait connu à un fait inconnu. L'exemple le plus fameux est celu de l'art. 312(1) cciv.: " l'enfant conçu pendant le mariage est présumé avoir été conçu par le mari de sa mère". Ici la question

partie : L’ENFANT Chapitre premier : LA FILIATION PAR PROCREATION CHARNELLE Section I : LES PRINCIPES GENERAUX APPLICABLES A LA FILIATION § 1 : LES PRESOMPTIONS I. La preuve classique par présomptions II. Les présomptions et la preuve moderne par modes médicaux § 2 : LA POSSESSION D’ETAT § 3 : LES ACTIONS RELATIVES A LA FILIATION I. Les règles de procédure II. Les règles de fond Section II : LA FILIATION LEGITIME § 1 : L’ETABLISSEMENT DE LA FILIATION I. A l’égard de la mère 4 II.

sur la filiation Mvt 2 (l.17-26): Questionnement sur la folie et reniement Mvt 3 (l.26-36): Fin tragique Mouvement 1 (l.0-17): Interrogation de la mère sur la filiation-Situation de communication → début de la tirade où une mère s'adresse à son fils-Interrogation sur la filiation: 2 questions rhétoriques qu’aucune mère se pose + Anaphore→ “Est-ce moi” puis “Est-ce de moi” avec la préposition “de” qui crée une insistance. -Doute de la filiation → Rassemble