Principauté ecclésiastique

l’aristocratie par les bénéfices (bien ou « honneur », le plus généralement une terre et les droits qui s’y exercent, concédé par un seigneur à son vassal contre sa fidélité marquée par la prestation d’un hommage), dispose du fisc royal (Il réintègre des principautés périphériques (Expéditions militaires (Poitiers) (Le soutien aux missions de Willibrord et Boniface (Royaume évangélisé (Willibrord devient archevêque des Frisons (Boniface vient du Wessex, reçoit le pallium (reconnu par la papauté)

Capétiens jouissent d'une autorité politique et morale importante. Ainsi le roi de France se voyait comme l'arbitre suprême de toutes les causes discutées ou compromises. Au milieu du 13ème siècle, l'Allemagne n'est plus qu'une fédération anarchique de principautés et de républiques. On se retrouve donc dans un système ou l'on fait la guerre à la guerre. Les Souverains Pontifes veulent protéger leurs Églises. C'est là qu'apparait le nouveau Pape Boniface VIII. Autrefois Avocat puis Notaire du Pape à Rome

pour administrer de façon efficace, son immense territoire. En effet l’église est à l’époque (à la fin du bas empire, au début du Moyen-âge), la seule force véritablement organisée de par ses structures héritées de l’empire romain. La hiérarchie ecclésiastique s’est inspirée de la hiérarchie politique de l’empire. Devant la carence des rois germains, incapables de répondre aux besoins de la société gallo-romaine, à la demande de la population, les évêques s’étaient de plus en plus immiscés dans les

la noblesse est exemptée puisque l’on considère qu’elle paye déjà l’« impôt du sang »(1). Le roi, souverain incontesté de l’État moderne Dès le xiiie siècle, pour asseoir la souveraineté du roi et la légitimer, des théologiens, juristes et ecclésiastiques s’inspirent de sources variées (la Bible, les philosophes de l’Antiquité, les Pères de l’Église, les clercs du haut Moyen Âge). Les légistes royaux avancent la théorie du souverain « empereur en son royaume ». Le roi est présenté comme l’élu

CHAPITRE IV : L’onde de choc révolutionnaire. A. La genèse des idées politiques libérales B. La généralisation du libéralisme en Europe : trois vagues C. La cas belge 1. Au cours de l’année 1789. a. Joseph II, un despote éclairé, et ses réformes. b. La révolution Brabançonne. c. La révolution liégeois. 2.

discutées par les guerriers réunis en une assemblée appelée le Plaide. Le plaide (réunion de guerrier) se réunit une fois par an au moi s de mars et cette réunion s'appelle le Champ de Mars. tous les guerriers sont réunis mais seuls chefs dignitaires ecclésiastiques (le plus haut représentant) et chef de l'armée participe à la discussion, les dignitaires et les guerriers sont ceux qu'on appelle les grands du royaume et c'est avec eux que le roi mérovingien légifère. 2) Les capitulaires des rois carolingiens

c'est une période de sécurité qui s'ouvre , une période bientôt d'expansion. Une sécurité retrouvée d'autant que le pouvoir protecteur s'est rapproché de l'individu pendant les périodes troubles , car le territoire c'est petit à petit morceler, en principauté , seigneurie de tailles variables. Ce n'est plus chef d'Etat qui s'exerce , le pouvoir est exercé à la base par les seigneurs , ils ont à leur niveau les prérogatives qu'avait l'Etat . Ils ont leurs armées , administration , rendent la justice,

germaniques assimilèrent ou repoussèrent progressivement les Bretons du sud et de l'est vers l'ouest de l'île de Bretagne tandis que les Irlandais effectuaient des raids sur la côte ouest de la Bretagne[1]. Les Irlandais finirent par fonder de véritables principautés sur les côtes galloises et écossaises. Si les premières furent finalement écrasées, les secondes donnèrent naissance à l'Écosse par la fusion du Dal Riada avec les royaumes britanniques du nord. Durant cette période sur laquelle les sources fiables

L’ADMINISTRATION Le conseil du roi, hérité des temps féodaux C’est le premier organe des institutions centrales, le roi le réunit régulièrement. Ses membres sont majoritairement issus de la cour féodale, princes du sang ou seigneurs (laïcs ou ecclésiastiques), mais le roi y fait entrer de plus en plus d’individus non pas reconnus par leurs rangs mais par leurs compétences dans différents domaines : techniques, financier, juridique… Le roi est donc de plus en plus entouré de serviteurs cultivés qui

Ces gardes portaient différents noms selon les royaumes. Chez les Francs, on les appelle les Antrustions, chez les Wisigoths on les appelle les Gardingos. L’autre catégorie était les conseillers personnels du roi, ce sont des laïques et des ecclésiastiques choisis discrétionnairement par le roi, on les nomme les officiers du palais ou les Palatins. À l’origine, ils étaient les domestiques du roi parce qu’ils partageaient sa maison (Domus), ils étaient hébergés et nourris par le roi et ils avaient