Principauté ecclésiastique

tour, encouragé par les carolingiens, créent aussi à l’intérieur de leur domaine des liens de vassalité. Il y a un capitulaire, en 847, qui oblige chaque homme libre du royaume à se choisir un seigneur parmi les gds du royaume. L’apparition de principauté et de Comté autonomes Cette apparition date de l’époque des fils de Louis le Pieux (Charles le chauve, Louis le Germanique et Lothaire). Sous Charles le chauve la possibilité de révoquer le titulaire d’une charge publique, comtale ntm, existe

frapper monnaie et est aidé par le gouv central. ! §2 - Le palais du roi ! ⁃ Organisation simple sous influence romaine. Les officiers et domestiques personnels se déplacent avec le roi (palais ambulant). Composition : ⁃ Conseillers du roi (ecclésiastiques ou grands seigneurs) convoqués sur demande royale. ⁃ Ministériels, officiers palatins : ministres ou domestiques. ⁃ Le MAIRE DU PALAIS (major domus) surveille tous les serviteurs grâce à des pouvoirs très étendus, de plus en plus politiques. Chef

universalité romaine et chrétienne (intervention du pape). Pour ainsi instaurer l’ancien ordre royal et un ordre nouveau. Cette unité impériale ne durera pas. Elle se désagrège pour laisser la place à toute une série de principauté territoriale dont des princes sont à la tête. Principauté < princeps (prince). 1§ la réforme des tribunaux. Dans la continuité de la nouvelle idéologie royale, Charlemagnes prend en main la justice comme l’ont fait avant lui les rois hébreux. En effet, la nouvelle dynastie

l’Eglise ou le pouvoir des comtes. C’est un cadre politique où le pouvoir civil domine le pouvoir religieux. Au sein du palais carolingien, on retrouve une grande présence ecclésiastique ; le rôle de l’évêque reste très important. Lorsque les Carolingiens organisent les missi dominici, ils créent des binômes (un laïc et un ecclésiastique) lesquels parcourent le royaume et inspectent les institutions locales. On poursuit un certain nombre de traditions franques : les capitulaires sont adoptés dans des

Europe, le mouvement des idées et son rationalisme se sont battus contre la domination politique de l’Eglise. En Espagne à cette même période, les ilustrados vont brandir la raison et la quête du bonheur personnel des Hommes face à l’autorité ecclésiastique. Ils réclament alors à l’Eglise de jouer un rôle plus austère et plus intime. Tout en rendant responsable l’Eglise catholique de l’échec du développement des nations, ils ne parviennent pas à s’en détacher et à rompre avec elle. Dans cette Espagne

L’Eglise va essayer de prendre le pas sur l’empereur et inversement : lutte d’influence. Les autorités ecclésiastiques tentent d’imposer leurs idées a l’empereur qui s’est lui même entourer de conseillers ecclésiastiques. L’évêque devient le juge de l’autorité impériale. Saint Ambroise, évêque de Milan condamne Théodose qui avait réprimé violemment un soulèvement populaire. Les autorités ecclésiastiques essaient aussi de s’imposer d’un point de vue local. Elles vont défendent les cités ou parlementer

règles pour tout le monde. Cependant, les coutumes propres à chaque peuple existent toujours. 3) Il veut une administration qui contrôle tout =&gt; les « missi dominici », les envoyés du seigneur : deux personnes, l’un est laïque et l’autre ecclésiastique, qui parcourent le Royaume et lui font des rapports. 4) Il développe les « ministerium ». Charlemagne se considère comme le serviteur de Dieu et de l’Etat. Il ne considère plus que l’Empire soit à lui : l’Empire est public. Il est à la

argument de l’appel à la Croisade. 2) L’appel d’Urbain II à Clermont et la prédication de la Ière Croisade 6 mois après concile de Plaisance, Urbain convoque à Clermont un concile avec les évêques français pr parler des pbs de discipline ecclésiastique. Seuls 2 canons (= décret des conciles en matière de foi et de discipline) se rapprochent de la Croisade (les autres reprennent les sujets antérieurs). Le 1er étend la Paix de Dieu au domaine de tte l’Eglise (plus seulement sur le plan régional)

Cette conception est alors discutée par les ecclésiastiques : car ils défendent au théorie dans laquelle la royauté serait soumise à l’Eglise (le roi soumis à l’autorité des évêques). Sous Louis le Pieux, les évêques estiment être les seul à pouvoir appliquer les commandements de Dieu. Cela supposerait que si le roi ne gouverne pas conformément à la loi divine ils peuvent s’opposé a lui jusqu’à le chasser du trône. Dans ce débat, la conception ecclésiastique échoue, ne parvient pas à s’imposer. Ce 1er

impossible « sans l’aide des évêques et des grands du royaume » (l.27). En effet, le roi veut renouer contact avec eux, il a besoin de leur soutien pour étendre sa politique sur tout le royaume. « Craignez Dieu, honorez le roi » (l.28), à la fois les ecclésiastiques et les princes doivent respecter les ordres du roi qui proviennent de la divinité, l’auteur utilise la Bible pour justifier cela puisqu’on retranscrit des paroles de l’Apôtre Saint Pierre. Les fonctions des grands sont définies par « aide