Principauté ecclésiastique

Napoléon une position d'arbitre puisque c'est lui qui déciderait de la marche à suivre pour parvenir à cette indemnisation. C'est donc deux ans plus tard, suite au recès de la Diète germanique de 1803, par le biais de la sécularisation des principautés ecclésiastiques et de la médiatisation de presque toutes les villes d'Empire, que les princes furent dédommagés. 112 petites souverainetés disparurent, mettant ainsi à disposition une masse de territoires considérable qu'il fallut répartir. Ainsi, suivant

comtes et seigneurs divers, 85 villes libres d’Empire. Les villes libres sont dotées de l’immédiateté d’Empire, c’est-à-dire qu’elles ne dépendent que de l’empereur et non d’une principauté territoriale. Les villes médiates sont, elles, intégrées à une principauté territoriale (villes de résidence = capitales de principautés territoriales). Le statut de ces villes doit être confirmé à toute nouvelle élection impériale dans l’Empire – d’où les conflits qui se nouent à Francfort sur le Main sur la question

de sortes de principautés, et par quels moyens on peut les acquérir II. Des principautés héréditaires III. Des principautés mixtes IV. Pourquoi les États de Darius, conquis par Alexandre, ne se révoltèrent point contre les successeurs du conquérant après sa mort V. Comment on doit gouverner les États ou principautés qui, avant la conquête, vivaient sous leurs propres lois ? VI. Des principautés nouvelles acquises par les armes et par l’habileté de l’acquéreurVII. Des principautés nouvelles qu’on

frayer un chemin face aux égoïsmes prives et aux conflits de classes, bien moins pour les utiliser ou les maitriser, que pour leur résister ou s’en protéger.[2] Principauté civile. « Quand un particulier est devenu prince de sa patrie, non par la scélératesse ou par quelque violence atroce, mais par la faveur de ses concitoyens. Principauté à laquelle on parvient, non par la seule habileté, non par la seule vertu, mais plutôt par une adresse heureuse ».[3] La force. « L’une des manières de combattre

organisent des conciles nationaux pour prendre des canons qui ont même valeur que les décisions prises par les ecclésiastiques). L’Eglise participe à l’administration du royaume (missi dominici). Mais si l’Eglise a réussi à préserver son dogme, elle perd une grande partie de son indépendance. Le pouvoir royal intervient fréquemment dans les élections religieuses et dans la discipline ecclésiastique et son indépendance patrimoniale est compromise par la distribution de terres lui appartenant. CH 2 :

germaniques assimilèrent ou repoussèrent progressivement les Bretons du sud et de l'est vers l'ouest de l'île de Bretagne tandis que les Irlandais effectuaient des raids sur la côte ouest de la Bretagne[1]. Les Irlandais finirent par fonder de véritables principautés sur les côtes galloises et écossaises. Si les premières furent finalement écrasées, les secondes donnèrent naissance à l'Écosse par la fusion du Dal Riada avec les royaumes britanniques du nord. Durant cette période sur laquelle les sources fiables

les clercs qui vivent dans le siecle, il connaissent une tres forte hierarchie : au sommet le pape, en dessous le college des cardinaux (elisant le pape), viennent ensuite les archeveques et les metropolitains qui sont a la tete des provinces ecclesiastiques, en dessou on trouve les eveques qui administrent le diocese. En dessou se placent les archidiacres qui constituent les auxiliaire direct, immediat de l’eveque. Ces archidiacres vont a partir du Ixe siecle etre a la tete de l’archidiaconé. Encore

Luc jean Matthieu). Le dr de l’Eglise était surtt coutumier, mais de plus en plus va s’exprimer par des actes écrits. Deux cat d’actes écrits : les écrits du Pape les « décrétales », les résolutions qui sont votées dans ces gds rassemblements ecclésiastiques, occasionnels, les Conciles. Adoption des textes, des résolutions, les « Canons », lors de ces conciles, le dr canon ou canonique. C – L’empreinte germanique et franque 1. L’apport germanique a) Germains et pouvoir Germain vient de « germanius

investitures (1075-1132) : Des clercs voulaient repousser l'ingérence des laïcs dans la désignation des ecclésiastiques. Cela remet en cause le fondement de la puissance impériale + remet en cause la coopération du pape et de l'empereur. Conflit à partir milieu du XIe siècle avec la querelle des investitures et la querelle du sacerdoce et de l'Empire. Henri III a introduit la reforme ecclésiastique sur le trône de Saint Pierre; il choisi des papes réformateurs. Il libère l'Eglise de Rome de la tutelle

l’église d’accomplir la finalité du pouvoir spirituel qui est de rechercher le salut éternel des membres de l’église dans le royaume de dieu. La conception chrétienne de cette distinction induit une hiérarchisation des pouvoirs pour les auteurs ecclésiastiques, le pouvoir spirituel l’emporte sur le pouvoir temporel, cela non pas à cause de l’origine des pouvoirs car tous les deux viennent de dieu. La vie spirituelle est la conduite de l’homme vers un salut éternel prime sur les considérations bassement