Productivité marginale

introduit le concept de taux de croissance naturel pour exprimer les capacités physiques de croissance du système, une sorte de croissance potentielle. Gn = taux de croissance naturel = ∑ taux de croissance de la population active (n) et de la productivité du travail (μ). => Condition de la croissance équilibrée de plein emploi => G = Gw = Gn => G = s/α = n + μ Selon Harrod il est très difficile d’atteindre cette égalité, du fait que ces taux dépendent de 4 paramètres exogènes et indépendants

importante à productivité et durée du travail égales. La durée annuelle du travail : une baisse de la durée annuelle se traduit, pour un volume de production et un niveau de productivité horaire inchangés, par une hausse de l’emploi. La productivité du travail : pour un volume de production et une durée du travail inchangés, tout gain de productivité du travail se traduit par une baisse de l’emploi. Autrement dit, tant que la croissance de la production est supérieure à celle de la productivité par tête

Améliorer l’efficacité de la combinaison productive de façon à ce qu’avec la même quantité de travail, on produise plus, ce qui revient à changer la forme de la fonction de production. Parfois, cette efficacité de la combinaison productive est appelée productivité globale des facteurs. On estime généralement qu’il y a deux vecteurs de son amélioration : la compétence de la main d’œuvre (capital humain) ou le progrès technique et technologique. Ces hypothèses suggèrent donc qu’il y a quatre facteurs qui

(travail) 13 1.2) La productivité totale, moyenne et marginale Ø  La productivité totale du facteur travail est la quantité maximale qui peut être obtenue en combinant une certaine quantité du facteur variable (L) avec la quantité donnée du facteur fixe (K). _ PTL = Y = f ( K , L) La productivité moyenne est le rapport entre le produit total et le nombre de travailleurs. è Elle exprime la productivité moyenne d’un travailleur. _ Ø 

* L’investissement de capacité qui permet d’accroître les capacités de production. Il ne modifie pas la combinaison productive dans l’entreprise. ( Rapport entre travail et capital )= Investissement + pour l’emploi. * L’investissement de productivité ( = de substitution du capital au travail) qui permet d’incorporer le progrès technique et qui permet aussi d’économiser la main d’œuvre. Il modifie la combinaison productive et qui va, contrairement à l’investissement de capacité, être néfaste

l’autre augmente. →L’effet revenu ou de production : cette variation ne conduit pas seulement à modifier l’intensité avec laquelle les facteurs sont utilisés pour un volume de production donné mais elle modifie également le coût total et le coût marginal et par conséquent le volume de production qui maximise le profit(Rm=Cm)sachons que la courbe de demande du produit reste inchangée . Cela nous permet d’expliquer pourquoi les techniques de production d’une même branche sont différentes d’un pays

coût au delà d’un seuil et la structure n’est pas meilleur parce qu’elle est plus grande. On est dans une situation optimale lorsqu’on produit max de quantité à coût réduit. C’est une approche qui passe par la spécialisation,il y a un gain de productivité par le fait d’une grande P°. On apprend en faisant, c’est l’idée de la division du travail,de l’organisation optiamle fondée par le processus de duplication de l’activité productive. S’il y une firme,c’est parce qu’on produit à meilleur coût que

coût moyen ou le coût unitaire& le coût marginal. Le coût moyen Le coût marginal, c'est le coût de fabrication d'une unité supplémentaire. L'entreprise ne peut pas produire n'importe quelle quantité sinon le coût marginal va réduire son bénéfice. La productivité La productivité mesure l'efficacité de la combinaison productive. Elle permet de connaître la production réalisée par une unité de facteur de production utilisée. La productivité du travail C'est le rapport entre la quantité

( gains de la productivité : accroissement de la productivité. Cette période des 30 glorieuses est une période de gains de productivité. Mais cette logique néoclassique n'explique pas tous. Ce qui est important est de faire croître la production. • Pour les keynésiens : la production augmente mais la demande n'a pas varié. Il y a des hausses de productivité sans hausse de croissance A. La répartition des gains de productivité • Une augmentation de la productivité ⇒ Y/N augmente

dans les pays actuellement développés, Rostow souligne ainsi que le sousdéveloppement n’est rien d’autre qu’un retard de croissance. Le développement prend du temps ! 11 • Etape 1 : société traditionnelle : rurale et agricole. Moyen âge – Productivité très faible et techniques rudimentaires. – Dépenses de survie: épargne et investissement nul – Mentalités n’envisagent pas le changement • Etape 2 : Les préalables au développement : – développement des échanges et des techniques – évolution des