Productivité marginale

et du travail, en résultent les hypothèses de la constance des rendements d’échelle et de la décroissance de la productivité marginale des facteurs ainsi que celles de convergence conditionnelle du PIB par tête et de convergence des économies mondiales. Robert Solow construit l’estimation du progrès technique suivant le principe que chaque facteur est rémunéré à sa productivité marginale. Les effets du progrès technique sont mesurés par le résidu2 c'est-à-dire ce qui reste de la croissance et que

flexible, le chômage ne peut exister. Le plein emploi est assuré au salaire d'équilibre. Les entreprises embauchent tant que la productivité marginale du travail est supérieure à son coût marginal. Dans ce cas ce qui amène du chômage, si l salaire pour des raisons sociales ou institutionnelle est bloqué à un niveau élevé la partie de la main d'œuvres dont la productivité marginale est inférieure à ce niveau ne pourra pas être embauché. Réduire le salaire le permettrait.  Depuis les années 70 la concurrence

fonctions de production car elles sont difficilement dérivables (courbes "en coin »). 2) Fonction de production à facteurs substituables Y = F(K, L) On suppose que F(.) est continue et dérivable deux fois. On fait l’hypothèse que les productivités marginales sont positives et décroissantes. ′ FK(K, L) > 0 F′ (K, L) > 0 L F′′ (K, L) ≤ 0 K² FL² ′′(K, L) ≤ 0 On utilise également les conditions d’Inada. K→∞ lim F′ = lim FL = 0 ⇒ La courbe devient plate/horizontale en l’infini. ′ K L→∞

l’entreprise et donner des indicateurs sur la performance des outils de l’entreprise. Le concept de productivité Productivité = X°/Quantité des FX°  : Mesure l’efficacité des FX° et de la combinaison productive. Les gains de productivité sont un moyen pour les entreprises de réaliser leurs objectifs, c'est-à-dire maximiser leurs profits. Productivité moyenne : Produit total/Nb de Leurs Productivité marginale = Variation produit/Variation de la quantité de L  : Supplément de X° apporté par un travailleur

aux possibilities de consommation d’un individu ou ménage. -Utilité: L’utilité est la satisfaction qu’un agent économique retire de la consommation d’un bien. Elle depend d’un contexte, mais aussi des goûts subjectifs des individus. -Utilité marginale: Utilité de la dernière unitée consommée. -Production marchande: production écoulée sur le marché qui comprend les produits vendus à des prix économiquements significatifs. -Production non-marchande: elle inclue les services non-marchands fournis

(néo-classique) Première sous-partie : Le modèle de base néo-classique Le propre du modèle néo-classique est de privilégier l'analyse microéconomique et d'admettre le principe de la rémunération des facteurs de production à la hauteur de leur productivité marginale. § 1 - L'analyse néo-classique de l'équilibre A) L'analyse en concurrence parfaite -1- Les offre et demande de travail a) L'offre de travail • L'arbitrage travail / loisir : à l'équilibre, le TMS travail - loisir pour l'individu est

autre bien (Ex:1 semaine au ski = 2 semaines à la mer Utilité marginale décroissante : C'est l'utilité de la dernière unité consommée qui baisse, lorsque la quantité consommé augmente (Ex:10e verre d'eau) L’échange marchand : Échange s’effectuant par le biais d’une vente sur un marché. Spécialisation : Elle permet de produire plus, plus vite, et mieux. La spécialisation du travail, et la division du travail améliore ainsi la productivité du travail. Avantage absolu : Selon A.Smith, les pays doivent

de la France en matière d’inégalités salariales. Dans une deuxième partie nous nous tournerons vers les raisons économiques pouvant expliquer ces écarts de salaires et enfin nous étudierons l’explication du lien théorique existant entre la productivité marginale du travail et le niveau de salaire nominal. Les inégalités salariales sont un des problèmes majeurs dans l’économie française. En effet, ces inégalités en France sont supérieures à la moyenne de la zone euro. Nous pouvons voir cela grâce

d’égaliser l’investissement dépend essentiellement de investissement et épargne l’efficacité marginale du capital . II. La rupture keynésienne face à l’analyse néoclassique: Chômage involontaire et demande effective A. La vision « classique » du marché du travail 1. La détermination de l’offre et de la demande • La demande de travail dépend de la comparaison entre la productivité marginale de travail et son coût marginal - Autrement dit l’entreprise avant d’embaucher un nouveau salarié confronte la supplémentaire

crise. Problématique : Le plein emploi en France est il possible ? I) Le plein emploi possible en France oui car ? a) Accroître la productivité tout en réduisant son coût. Au regard de la faible productivité des actifs inemployés, une première action devrait porter sur le coût de travail afin de revenir au calcul entre productivité marginal et coût marginal. Les axes privilégiés tournent aujourd'hui autour de la déréglementation du marché du travail : réductions des cotisations sociales, individualisation