Programme De Boulanger 1889

dans l’organisation administrative des institutions publiques et de l’élaboration du programme. Exclu toutes personnes étrangères à l’enseignement. Mars 1880 : loi l’état s’approprie le fait d’attribuer les diplômes universitaires. Monopole de délivrance des grades universitaires. les établissements religieux ne pouvaient plus délivrer de diplômes. Création de nouvelles universités ou restauration (1889 : Sorbonne rénovée) 1880 : Réforme de l’enseignement secondaire : accroît la part des

« opportuniste » est contestée. De l’extrême gauche a la droite nationaliste ou aux monarchistes, les diverses oppositions de la république opportuniste se rassemble de 1886 a 1889 autour du général boulanger, devenu ministre de la guerre en 1886. Surnommé le « général revanche », il remporte une série d’élection partielles sur un programme qui de résume a 3 mots : Dissolution de la Chambre, élection d’une assemblée Constituante et Révision de la constitution pour renforcer le pouvoir exécutif. Le boulangisme

doit disposer de beaucoup de pouvoirs dans le cadre de la République. Notions sociales, égalité sociale mettant fin à l’exploitation du travailleur par le Capital. Législation du travail pensée, reprise du programme de Belleville en matière d’éducation et d’autres droits sociaux (réunion…) Programme électoral de gauche. Elections se déroulant le 26 Mars : 285K inscrits, moins de 130K votants (48% de participation). Faible participation due à la fois au désintérêt et l’exil de certains parisiens depuis

communes ou des tentatives de communes prennent naissance en province à Lyon, Marseille, Nîmes, Saint Etienne, Le Creusot …Elles aussi connaissent l’échec. La répression des communes affermit la confiance de la bourgeoisie dans la République. Le programme de la Commune de Paris Manifeste du Comité central des vingt arrondissements de Paris, 26 mars 18971 Hostiles aux armées allemandes, dont le siège affame Paris, et au gouvernement de Thiers soutenu par une assemblée conservatrice favorable à

l’exil, la prison, le silence. - Les Républicains, une des composantes d’une opposition mettant à profit les difficultés impériales dans les années 1860. - L’émergence d’une nouvelle génération de Républicains et la rédaction d’un programme (Belleville) - Des Républicains vaincus une nouvelle fois par Napoléon III mais héritant du pouvoir grâce à une défaite militaire. 3 Des Républicains de combat - République proclamée en septembre 1870 : les Républicains à la pointe

après. Le général boulanger, ou « général revanche », qui est aussi ministre de la guerre, reproche à tous les français d’oublier l’Alsace et la Lorraine. Il est à la limite de créer une guerre entre la France et la Prusse, mais les français ne sont pas près pour cette guerre. Ils le font donc démissionner en 1888. Il est au bord du coup d’Etat lorsque les républicains l’exil avec de l’argent. Les députés qui ont fait confiance à un homme qui n’avait pas réellement de programme, sauf faire la guerre

Comité central de la garde nationale - Comités de vigilance (police) - Comité central républicain (gouvernement de Paris) composé d’ouvriers. Ce gouvernement se soumet au vote populaire et prend le nom de conseil de la commune. La commune a un programme administratif : elle veut remplacer l’Etat centralisé par une fédération de villes indépendantes. Les acteurs de la commune (les « fédérés ») vont utiliser des symboles : - Tous les actes officiels sont datés de l’an « 79 de la république ». -

l’inquiétude suscitée par ses projets. Mais Jules Ferry, ministre de l’Instruction publique dès 1879, deux fois Président du Conseil, met en œuvre la réforme de l’enseignement afin de mieux diffuser l’instruction publique, conformément aux principes du programme républicain de Belleville de 1869 : gratuité de l’enseignement primaire public, école obligatoire, laïcisation du personnel enseignant. Certaines mesures visent à une sécularisation de la société : fin du repos dominical obligatoire, légalisation

nombre de républicains qui avaient participés aux élections 1869. On a notamment Jules Ferry. Le but de ce gouvernement est de vaincre l’ennemi présent sur le territoire. Ce gouvernement se dénomme gouvernement de la défense nationale et se donne un programme : ramener la paix et organiser des élections libres au suffrage universel comme en 1848 (les anciennes élections sous Napoléon III étaient truquées). Ce gouvernement a très peu d’autorité en province. Il est divisé à l’intérieur : on a une alliance

portes de Paris. En 1871, se produit l’insurrection dans la commune de Paris. Les parisiens considèrent que l’Etat a trop vite baissé les bras face à l’envahisseur allemand et veulent défendre la capitale. Ils s’organisent pour cela et dressent un programme fortement marqué à gauche pour gagner des droits (et non selon Marx). Les communards ont été violemment réprimés par le pouvoir en place. Ils se sont réfugiés dans une ville proche, Versailles. Parmi les gens au pouvoir : Adolphe Tiers qui veut faire