Pronom

foule, troupe, La majorité, la minorité, La plupart, Nombre de Sujet qui est une expression de quantité Beaucoup de, Dizaine, douzaine et centaine, Fraction et pourcentage, Moins de deux, Peu, Plus d'un, Somme d'argent, Tant de Sujet qui est un pronom relatif Qui, précédé d'un attribut, Un des… qui, un de ceux qui… Page 2 sur 26 Sujet qui comporte un indéfini Aucun, Chacun, Tout le monde Sujets joints par une conjonction De même que, En collaboration avec, L'un et l'autre, L'un ou

chérirait »... >lyrisme dans le 4ème paragraphe avec amplification du rythme et sonorités nasales (= langueur) >la sacralisation de l'époux, malgré une rencontre rapide (négation restrictive), pronoms flous, car il est tellement idéalisé qu'il est confondu avec l'amour, on ne sait pas ce que le pronom désigne: "elle n'avait plus qu'à le rencontrer, lui!" + "adorerait" : vénération aveugle, quasi religieuse. Mise en relief de l'homme attendu par les italique « il serait lui »: il sera la parfait

pieds nus, lèvres balbutiantes, aime moi !, avide’’ b.) registre de langue : ‘‘N’importe ! elle n’était pas heureuse, ne l’avait pas jamais.’’ C’est une opposition a sa destinée.  c.) structure grammaticale :  Choix des pronoms : Pronoms personnel sujets; ‘‘Il et elle’’. Le pronom personnel sujet ‘‘elle’’ est plus dominant au cour d’extrait.  Déterminants : les plus utilisés sont article définis. Cela nous montre que le narrateur a but de définir les personnes et sentiments précisément.  Phrases:

fin de vers ou de phrase; elle porte donc sur la localisation phrastique de ces mots répétés. Il ne faut pas confondre l'anaphore en rhétorique avec l'anaphore grammaticale qui est un procédé de la langue consistant à utiliser un élément discursif (pronom, adverbe, adjectif...) renvoyant à un constituant qui précède et qui est nécessaire à son identification et à son interprétation. Il s'agit avant tout d'un constituant contextuel comme dans: « J'ai vu mon professeur, il avait l'air distrait » (il

discréditer l’adversaire analyser les indices d’énonciation : ● le locuteur manifeste sa présence par l’emploi récurrent (répété) de pronoms de la première personne sujets (“je”) ou objets (“me”, “moi”), d’adjectifs possessifs (“mon”, “ma”, “mes”...) ● le locuteur se retranche derrière le pronom ... ● la présence du locuteur est rendue sensible à travers ... ● le pronom “on” se réfère à ... / désigne ... / comprend plusieurs personnes : ... / a une valeur élargie / restreinte / a une valeur de substitut

chaque nouvelle phrase s’ouvre par l’anaphore de l’expression « Je suis ». Les marques personnelles de la présence du locuteur sont donc nombreuses, à commencer par les pronoms de la première personne du singulier (« je » et « me » sous sa forme élidée), auquel on peut ajouter les adjectifs possessifs « mon » et « ma » ainsi que le pronom de la première personne du pluriel « nous ». On trouve aussi quelques termes évaluatifs, en particulier le substantif « passion », dont la connotation est évidemment

changement de temps verbal de la ligne 11 « Or, une nuit, on lui vola une douzaine d'oignons. ». (1 point) 5) a) Mettez la phrase « Or, une nuit, on lui vola une douzaine d’oignons » à la voix passive. (1 point) b) Qui le pronom « on » désigne-t-il ? Quel effet produit l’emploi de ce pronom ? (1 point) 6) Lignes 12 à 18 de « Dès que Rose s'aperçut du larcin... » à « Comment dormir tranquilles maintenant ! » : a) Quel type de phrase est utilisé à deux reprises pour montrer l’indignation des deux femmes

un "je" qui est le poète. Le personnage féminin est assez mystérieux. Il n'est pas nommé, simplement désigné par le pronom personnel. Elle est à peine décrite : deux traits la caractérisent : la beauté et la nudité. ( elle est déchaussée et pieds nus ). Le poème insiste sur ses pieds nus qui permettent d'érotiser la scène. Le personnage masculin est d'abord évoqué par le pronom personnel tonique de la prmeière personne : "moi". Il s'agit du poète. Il est, comme souvent dans les poèmes de V.

peut être remplacé par ainsi ou alors. dont est un pronom relatif. Il s’emploie en tête d’une proposition subordonnée. Il a la valeur de de qui, duquel, de laquelle, desquels, desquelles. Il peut aussi avoir la valeur de d’où. Ex : Le village dont il vient est enclavé. La voleuse dont nous parlions arrive Corrigé 5 : les, l’ai, les, l’est, l’ait, les, l’es, l’aies, l’ai, l’aie, les, les. Remarques : -les : est un article défini ou un pronom personnel pluriel. Pour le reconnaître, il peut être

L’adjectif : un compagnon de (haute) qualité Une nature, et quelle nature ! L’adjectif sera qualificatif ou ne sera pas… Le pronom, un porte-voix du nom aux mille facettes Les personnels, toujours tournés vers leur (petite) personne Mais alors, quand emploie-t-on « on » ? Une fonction qui lui colle à la peau ! En et y, de drôles de zigotos Un mot des pronoms… qui réfléchissent ! Les démonstratifs : ils montrent du doigt… Les possessifs, de vrais rapiats, non ? Les relatifs, comme quoi