Prosopopée

l’auteur - Prise de position envers le loup. Nous connaissons les pensées du loup, pensées internes. L’utilisation du mot « Sire loup » favorise le loup. - La parole du chien est privilégiée mais le loup aura le dernier mot. - Personnification, prosopopée (faire parler des animaux) ; il éprouve les sentiments des animaux, qui débattent sur le sujet de la liberté. III. L'enseignement moral de cette fable 1. La servitude - Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son affection

essentielles pr R.+ belle carrière pol.l.6-7. Ho qui met son génie au service de sa patrie. Rêve sacre =ment Sc co un sage vers lequel on se tourne pr gérer les affaires de l’Etat cf anaphore « te » l.19-23 Ton prophétique du propos : emploi du futur, prosopopée confère solennité au passage. Laisse entendre que Sc est reconnu par ses ancêtres. + Evocat° d’un lieu divin- Sc être d’except°. Rythme ternaire l.9-10+ énumérat° l.10-27 renforce cet aspect exceptionnel. Opposit° sg/pl l.20-21 participent au grandissement

quelque chose en déclarant qu'on se gardera de la dire. Inutile de vous dire que...Je n'ai pas besoin de vous présenter monsieur Untel. * prolepse n. f. Figure de rhétorique consistant à prévoir une objection et à la réfuter par avance. * prosopopée n. f. Figure qui consiste à faire parler un mort, un animal, une chose personnifiée. * solécisme n. m. Faute de syntaxe (c. f. barbarisme).L'affaire que je m'occupe pour dont je m'occupe. * suspension n. f. Figure consistant à tenir l'auditeur

(vers 2) et « la » (vers 4), l’expression « je viens seul », placée à la césure, marque un moment de rupture. Par conséquent, l’ultime recours offert au narrateur est alors d’imaginer les paroles d4elvire dans les quatre dernières strophes. Cette prosopopée met en valeur la volonté de raviver sa présence, par delà la mort. A cette souffrance ressentie par Lamartine s’oppose la vision d’un passé heureux d’une promenade partagée avec la disparue. Ainsi, la troisième strophe du poème est consacrée à

personnification du décor : “regards” “comme des yeux” “les yeux vivants de la terre hospitalière” “leurs paupières”    -> on se sent espionné, angoisse l’environnement observe en permanence Pierre on part du Réalisme, puis on glisse vers le fantastique => prosopopée les villes parlent “C’est moi. Je suis Trouville, je suis Honfleur, je suis la rivière de Pont-Audemer.” l.17/18 => description entre illusion et réalité “on croyait voir ça et là des étoiles” l.24 + “semblaient” ? => terme “fantastique” l.39 à

du poète: il est l'amant d'une maîtresse insensible et distante Pas d'échange possible, quête sans fin « Muet » Sacrifice du poète « Docile » Travail pour combler la distance qui le sépare de la beauté → Ce sonnet est une prosopopée (=personnification) qui définit la beauté comme statue froide, hautaine et inaccessible Idéalisation de la beauté comme une perfection formelle qui reprend les idées du Parnasse Baudelaire constate impuissance du poète qui est l'esclave

l’auteur - Prise de position envers le loup. Nous connaissons les pensées du loup, pensées internes. L’utilisation du mot « Sire loup » favorise le loup. - La parole du chien est privilégiée mais le loup aura le dernier mot. - Personnification, prosopopée (faire parler des animaux) ; il éprouve les sentiments des animaux, qui débattent sur le sujet de la liberté. III. L'enseignement moral de cette fable 1. La servitude - Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son

qui n’est possible qu’après une mort symbolique, celle du père. 2) Une dimension mystique  On note la dimension mystique de l’exaltation du jeune homme, qui entre en contact avec Dieu : " une voix du ciel semblait me dire "  Il s’agit d’une prosopopée, figure relevant du style sublime et qui consiste à faire parler un objet, un être absent ou un mort.  (3) Allongement du rythme périodique) La période s’allonge de plus en plus à partir du 3e §. Cet allongement est particulièrement sensible dans

Ils sont Hypocrites, dans l’obsession de plaire et n’ont pas de personnalités. * Le Cerf : Il est le seul qui ose s’exprimer, se distinguer. On le caractériserait d’honnête, courageux, rusé et intelligent. Mais, il ment (mise en abyme/prosopopée v.44) et imite les autres courtisans en cherchant à flatter le Roi (« Sire », « Votre digne moitié »), il devient aussi hypocrite que les autres. Cependant, le Cerf est un personnage à suivre car il utilise le mensonge pour rester en vie, pour

Métaphore Rapprochement de 2 éléments sans outil de comparaison Paradoxe Opposer des éléments contraires « Vive les cadences infernales » Antithèse Rapprochement de 2 idées différentes « Canderel, ça ne change rien et ça change tout » Prosopopée Donner la parole à la mort ou à des objets inanimés Disparition d’un monde cruel : Voiture qui parle : «  Adieu monde cruel » Antanaclase On reprend les mots en leur donnant un autre sens Mystère -> miss terre (WWF) Syllepse Utiliser un