Prosopopée

: "Ton insolent amour qui croit épouvanter" ; ici, Agamemnon s'adresse à Achille alors qu'il n'est pas présent sur scène. Mais aussi dans le texte C ou Ajac fais de nombreuses référence à Korée alors que celle-ci est décédée par le biais d'une prosopopée ligne 32 "Korée comme ton cops est lourd maintenant". Le théâtre permet donc de rendre compte des choix auxquels sont confrontés les personnages tant par son écriture que par sa représentation.

les masques tombaient » (l.13-14) et même les républicain qui partagent la cause de Lorenzo sont présentés comme inutiles : ils n’agissent pas et parlent à l’irréel « j’ai bu dans les banquets patriotiques le vin qui engendre la métaphore et la prosopopée » (l.23-24). Misanthropie et pessimisme atteignent leur apogée à la ligne 25 : « j’attendais toujours que l’humanité me laissât voir sur sa face quelque chose d’honnête ». En conclusion, de par sa tirade, Lorenzo révèle le chaos intérieur qui

un clou dans la fesse gauche ( Pierre Dac) Anacoluthes : le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, la face du monde en eût été changée.(Pascal) Ellipses : C’est une sphère dont le centre est partout, la circonférence nulle part. (Pascal) Prosopopées : La Voix de la Sagesse me dit : Agis comme ceci… Chiasmes : Un film superbe interprété par de grands comédiens. Symétries : Un superbe film interprété par de grands comédiens. 6)Les masses croissantes : Levez-vous vite, //orages désirés,//

Les allégories du temps (« Maintenant », « Autrefois », « le Temps ») et celles de la Vertu, du Hasard, et du Repentir, mettent en scène des éléments abstraits qui se liguent tous ensemble contre l’être humain . L’ensemble du poème est donc une prosopopée : figure par laquelle on fait parler et agir une personne que l’on évoque, un absent, un mort, un animal, une chose personnifiée. II- L’angoisse Le futur (« se planteront », « fuira », « sonnera », « te dira ») n’offre pas une vision d’avenir

romantique de Hugo, Musset ou Vigny et au rejet du naturalisme, dedaigne au nom du reve, des symboles et du mystere. I- Un eloge ambigu La predominance de l'allegorie .Allegorie de la beauté a laquelle on donne la parole, un prosopopée v.1 avec l'apostrophe ≪Je suis belle, ô mortels ≫ , non seulement cette apostrophe montre que la beauté symbolise l'eternite mais participe à marque son narcissisme. ; . .Notamment avec L'anaphore du ≪ je ≫ en debut de vers successifs (v.1,5,6,7)

habitudes de pensée. On cherche à créer une opposition par une formulation illogique. ex: grosse brute pr vendre de la douceur. La personnification : sorte d'anthropomorphisme qui fait prendre un objet les caractéristiques d’un être humain. La prosopopée : prêter la parole à des êtres absents, à des morts, animaux ou objets. La répétition : multiplication du même objet. Procédé appartenant au béhaviorisme. Favorise la mémorisation et le conditionnement. Le symbole : figure de la substitution

« reconnue » v.41 à 43 -> spectaculaire). * Flatte son égo : * Reine sanctifiée (v.47). * Lui-même comme un prophète : interprète entre Dieu et les hommes. * Donne de la crédibilité en faisant parler la Lionne : mise en abîme + prosopopée (v.44). * Le Cerf a un discours épidictique et représente la Lionne au Ciel (lieu parfait). * Cette dernière partie de la fable ménage des oppositions : * Tonalités : début tragique ≠ fin comique. * Espace : début terre ≠ fin au-delà

répétition d’un vers à travers plusieurs strophes 42) Palilogie: répétition d’un mot pour l'accentuer 43) Anacoluthe: Écart par rapport à la syntaxe courante 44) Asyndète: Absence d’outils de liaison entre groupe, propositions ou même phrases. 45) Prosopopée: Faire parler et agir une personne (absent, mort ou encore animal).

abstraite, objet, élément naturel. - allégorie : présentation d’une entité abstraite sous une forme concrète ou sous la forme d’une personne ; en donnant vie aux abstractions. Elle est proche de la personnification, mais ajoute un point symbolique. - prosopopée : écrivain prête la parole à des êtres inanimés, morts, ou absents. - métonymie : se fonde sur une relation logique entre l’objet désigné et le mot employé. Elle permet une désignation imagée. Il existe une variété de la métonymie, l’antonomase

monstres, et de la mythologie , comme "cyclopes monstrueux" (l.3), "queues géantes de deux comètes" (l.6), "colosses" (l.8), "la mer obscure" (l.11), "l'eau sans limites" (l.18) , "du phare énorme et divin" (l.25). De plus, on relève l’emploi de prosopopées (prise de parole par un objet ou une abstraction) à plus endroit de l’extrait, comme «Je suis Trouville, je suis Honfleur, je suis la rivière du Pont-Audemer». «Le pont aérien d’Etourville montrait la route de Rouen». Ici, c'est comme si on avait