Protection Royale Mérovingienne

finale en novembre 1807. Du 7 février au 21 mars 1808, l'œuvre est exposée au Salon de peinture annuel ; en 1810, elle est présentée au concours des prix décennaux. Le tableau reste la propriété de David jusqu'en 1819, année où il est cédé aux musées royaux. Ceux-ci l'entreposent dans les réserves jusqu'en 1837. Il est alors installé dans la salle du Sacre du musée historique du château de Versailles sur ordre du roi Louis-Philippe. En 1889, il est expédié au musée du Louvre, et remplacé à Versailles

aujourd'hui. Partie I : Les Sources Antiques et Médiévales du Droit (VIIIe siècle av. JC – 1453) Chapitre I : Le Droit Romain (753 av. JC – VIe siècle ap. JC) Civilisation romaine, 3 périodes politiques : -753 jusqu'en -509 : La Rome royale → 7 rois se succèdent. -509 jusqu'en -27 : La République romaine → SPQR -27 jusqu'en 476 (pour le Rome impériale) et en 1452 (pour la Rome orientale) : commencement de l'Empire romain avec Octave, Auguste et César (le sénat ne vote plus les lois

ses biens, ses intérêts, sa famille et les personnes qui sont placées sous sa protection. Elle traite également les plaintes envers le Malus qui n’aurait pas voulu rendre justice, les plaignants peuvent aussi contester la décision du comte (appel). Dans ces deux cas, c’est les Missi-dominici qui jugent. Sous les Mérovingiens, c’est le maire du palais qui présidait au tribunal tandis que sous les Carolingiens

sanctuaire. L’empereur était sacré car son pouvoir était d’origine divine. Mais on est allé plus loin sous l’époque franque avec pratique du sacre. SECTION 1. LE SACRE DU ROI DE FRANCE §1. L’HERITAGE DE L’ANCIEN TESTAMENT La monarchie mérovingienne n’a pas connu le sacre. Cette pratique n’a été introduite qu’au profit des rois carolingiens. La pratique du sacre n’apparait pas avec la christianisme : Rome n’a jamais connu le sacre. Les germains n’avaient pas non plus recours à cette pratique

citoyenneté romaine à tous les habitants libres de l'empire. Le Ve siècle a montré que l'empire n'est plus capable de contenir les invasions (barbares). De petits royaumes se sont constitués, ne reconnaissant pas l'autorité de l'empereur. L'époque mérovingienne (Section I) - L'époque carolingienne (Section II) Section I) Droit romain et droits germanique Traditionnellement les romains recouraient à un système, celui de l'hospitalitas (hospitalité) qui permettait d'accueillir dans l'empire les étrangers

perception et d’établir un système juridique plus harmonieux puisé dans le droit romain. Repères chronologiques : Rome, c’est la civilisation romaine. Rome a d’abord connu 3 grosses périodes politiques, ces 3 périodes sont : -753/ -509 : la Rome Royale : 7 rois se succèdent, le premier étant Romulus - 509/-27 : La République Romaine (SPQR : « Senatus populus que romanus ») C’est le Sénat et le peuple romain qui vont faire les lois. Parmi les magistrats, le consul, le consul avait l’initiative

avec l'avènement de Clovis en 481 et qui s'arrête traditionnellement jusqu'à l'élection d'Hugues Capet (capétiens). Chute de l'Empire romain en 476 -> élection d'Hugues Capet 987). Cette période connaît des hauts et des bas. La dynastie des mérovingiens puis la dynastie des carolingiens. Cette période commence véritablement en 481 avec l'avènement de Clovis, qui est très jeune au début de son règne (15 ans) mais aussi un excellent guerrier et négociateur. Il est pieux et sait faire éclater son

évoque le caractère divin de la personne. Le nom du roi n’est pas précédé de ce signe, dans le prologue il est présenté comme dévoué aux divinités, à leur temple ; mais la fonction assignée au roi n’est pas la prière, il n’est pas prêtre, la fonction royale est la direction du peuple avec justice. C’est pour cela qu’il doit établir le droit dans le pays ; il répond ainsi à l’impératif divin. La religion va appuyer les prétentions politiques du roi qui vise à la domination du monde. Voilà aussi à quoi

décrire le pouvoir d’origine divine. Sa force provient d’une relation divine. 1) La relation divine Le prologue du Code d’Hammourabi évoque un nombre important de Dieux, qui s’étendent jusqu’au Roi Hammourabi. Il est appelé à une vie royale et non divine, car le Roi n’est pas un Dieu. Le nom de chaque divinité est précédé d’un signe qui ressemble à une étoile, qui indique le caractère divin de celui qui le porte. Or, dans la stèle, à chaque fois que le nom d’Hammourabi figure, le

particulier ses symboles de défense, de justice et de politique. Les châteaux au Moyen Age, lieu d’habitation et de pouvoir de la noblesse et des rois n’ont pas été dès le départ des “ châteaux “ en tant que tel. En effet dès l’époque merovingienne(Vème) qui succéda à l’époque romaine, l’édification d’ouvrages fortifiés avait déjà lieu. Les Ducs et Comtes habitaient dans des bâtiments rectangulaires appelés “ aula“ reproduisant le style gallo romain et entourés de murs hauts et épais