Prénotions

: celle de “la foule” ou “la multitude”, opposée à celle du sage. Cette opposition prend la forme de l’opposition entre les « opinions » ou « présomptions » de la foule et les « prénotions », qui expriment la nature réelle des dieux. Il s'agit, par une réflexion sur la vraie nature des dieux, de rejoindre la « prénotion » et de dissiper les erreurs, les fantaisies que les hommes ont inventées à leur sujet et dont, paradoxalement, ils sont les victimes.Épicure commence donc par définir les deux caractéristiques

premier acte qu’est la rupture consiste à aller au delà des ses illusion et surtout au delà de sa croyance des choses (nous sommes persuadés que la vision qu’on a de la réalité est la réalité alors que ces perceptions ne sont que des préjugés ou prénotions). Il faut rédiger une question de départ, qui est en sociologie toujours un problème social. Il faut passer du problème social au problème sociologique. Il faut donc conceptualiser les choses (Ex : problème social le racisme ; problème sociologique

dans une société à classes stratifiées. Une fois qu’elle existe, elle a tendance à se perpétuer de génération en génération, en raison de l’effet qu’elle a sur les enfants. »Tandis que pour Durkheim, « La pauvreté n’est qu’au sens durkheimien, une prénotion. IL faut qu’il s’affranchisse de ces fausses évidences qui dominent l’esprit du vulgaire, Qu’il secoue le joug de ces catégories empiriques, qu’une longue accoutumance finit souvent par rendre tyrannique. » Comme pour Simmel qui dit « Le fait que

empreinte dans l’âme. Pour parvenir à la science, c’est-à-dire à une compréhension ferme et assurée, l’esprit doit intervenir activement et dégager la vérité, grâce, en particulier, aux prénotions ou prolepses, principes que contient l’âme dès l’origine et que les objets externes réveillent. L’ensemble des prénotions constitue la raison. 2-La physique selon les stoïciens Le centre de la doctrine stoïcienne est la physique, étude de la Nature ou de Dieu. Le Stoïcisme peut, en effet, être considéré comme

peut ni contraindre, ni empêcher ni forcer, dont les volontés sont sans obstacles, dont les désirs atteignent leur but, dont les aversions ne rencontrent pas l'objet détesté. En ce sens la cause de tous les maux est de ne savoir pas appliquer les prénotions communes aux cas particuliers. Or la solitude ou l'isolement est souvent perçu par l'homme comme une plaie ou une malédiction. Mais ce que montre bien en deux temps Epictète c'est qu'une telle compréhension méconnaît la distinction essentielle et

conducteur à la recherche. Il s’agit de la première étape. Quels sont les critères d’une bonne question de départ ? Il faut tout d’abord que la question soit correctement formulée. La question de départ constitue une rupture avec les préjugés et les prénotions. De plus, une bonne question de départ doit pouvoir être traitée et apporter déjà des éléments de réponse. Pour remplir correctement sa fonction, la question de départ doit présenter des qualités de clarté, de faisabilité et de pertinence. Les

travaille sur sa propre société. I- Tendre vers l’objectivité : Discoure scientifique Discoure commun Discourt prouvé, constaté, vérifié. Pour tenir un discoure scientifique il faut définir ce dont on parle. Part d’apriori, de préjugés, de prénotion (idée que l’on a définit avant de d’avoir définit les notions), de représentation sociale. Ce que l’on sait. Ce que l’on croit savoir. Afin de bien différencier ces deux termes, il faut faire une différence épistémologique. Définition

objectif sur la culture de la population qu’il observe, éviter tout ethnocentrisme et préjugés. De plus, il doit se méfier des évidences, aller au-delà de la construction première de l’objet social qui se présente à lui, autrement dit, passer de la prénotion à la notion. Tout cela dans le but de construire un concept nouveau, sans préjugés ni stéréotypes, qui se base sur la raison et l’observation. Lévi Strauss explique bien cela en affirmant que le décentrement est « […] l’abstraction de ses croyances

Vincent Université Paul Valéry Montpellier 3Fontugne21803374 Année 2021-2022vincent.fontugne34@gmail.com L a Sociologie Visuelle Quel regard l’œuvre visuelle porte-t-elle sur notre société ? SommaireIntroductionI-Le cinéma et séries1-L'hyper-violence 2-La guerre 3-Le futur II-La photographie1-La vision de l'autre2-Le soulèvement des foules Conclusion AnnexeLa sociologie visuelle est réellement apparue à la fin du XIXe siècle peu de temps après le développement

politiques. Cette science de la société traite des objets qui se rapportent directement à son gouvernement. Il existe un large accord sur la démarche sociologique fondée par Durkheim. A la fin du siècle dernier, il s’agit d’écarter dans l’analyse des prénotions, c’est-à-dire les préjugés, d’analyser les faits sociaux comme des choses, d’établir des relations y compris statistiques entre ses faits sociaux et les inscrire dans un contexte global. Mais si chacun s’accorde à ce qu’un phénomène politique ait