Psa Gouvernance

Qu’est-ce que la bonne gouvernance? Par Nino 8 janvier 2008 12 commentaires Bonne gouvernanceLa bonne gouvernance, on en parle beaucoup, la société civile afrique presse les dirigeants d’améliorer la gouvernance des affaires du pays, bref, d’adopter la bonne gouvernance. Mais la bonne gouvernance, c’est quoi en fin de de compte? Comment la définir. Le texte ci-dessous, exprimant assez bien ce qu’il faut au Cameroun pour 2008, est tiré du discours de l’ex-ambassadeur américain Niels Marquardt

Yassine Grenoble Ecole de Management Groupe A 12 GOUVERNEMENT D’ENTREPRISE LVMH- Partie juridique BOULARBAH Yassine 1. Explication de la forme de direction choisie par LVMH en précisant si ce choix répond ou non aux critères d’une bonne gouvernance : Le conseil d’administration a décidé de ne pas dissocier les fonctions du Président du Conseil d’Administration et le Directeur Général, sans apporter aucune limitation aux pouvoir du Directeur Général. D’autre part le Conseil d’Administration

Microcredit est traduit par l’extension du secteur qu’a comme locomotif les associations de MC, est spécialement L’Association AlAmana, qui croit que l’intégration et le développement socioéconomique ne peut être produit qu’ a travers la bonne Gouvernance, la bonne organisation est le respect de l’autre ,ainsi que par élaboration d’une stratégie qui généralise l’accès au Microcredit,y compris dans le milieu rural a faible densité d’habitation et aux petites entreprises en création. Nous allons procéder

de régions du monde comme élément d’un système K libéral) est un phénomène récent. Au début du 20ème, le volume d’échanges est déjà bien élevé. Ce qui est récent, en revanche c’est le contrôle de l’E par l’actionnaire, c’est-à-dire la nouvelle gouvernance de l’E ( RUPTURE MAJEURE. La véritable rupture est donc à deux niveaux : Financiarisation de l’économie Les E sont contrôlées par une $ d’actionnaires qui a imposer une certain définition de la politique de l’E (par exemple : politique de licenciement

intensité de R&D. ■ Il se comporte en investisseur socialement responsable. Il sera attentif à ce que les entreprises dans lesquelles il investit se comportent de façon citoyenne (en intégrant notamment les aspects environnementaux et sociaux, de gouvernance, fiscaux et d’investissement …) selon les modalités appropriées à chaque classe d’actif. ■ Le FSI par ses investissements devra chercher à valoriser la R&D, pour attirer et développer les compétences scientifiques, techniques et industrielles

nutrition et apporter des réponses de proximité à cet enjeu majeur de santé publique. Xavier BERTRAND Ministre de la Santé et des Solidarités 2 SOMMAIRE INTRODUCTION Contexte Fondements du Programme national nutrition santé UNE NOUVELLE GOUVERNANCE Objectifs du Programme national nutrition santé 2006-2010 Suivi, évaluation et surveillance de la santé nutritionnelle PLAN D’ACTION 1 : PRÉVENTION NUTRITIONNELLE Fiche : éducation et prévention : promouvoir des repères de consommation PROMOUVOIR

SOCIETE CIVILE ET GOUVERNANCE La bonne gouvernance suppose l’existence d’une société civile qui peut vouloir dire l’ensemble des citoyens d’un Etat qui, pétrit de patriotisme, conscients de leur identité propre, s’unissent, s’organisent sur la base de lois définies et s’emploient à édifier une nation développée. Car sans apport positif des citoyens, la nation ne pourra évoluer d’un iota. Dans le cas de la Côte d’Ivoire, qui est ce citoyen, comment constitue-t-il une entrave au développement 

SOCIETE CIVILE ET GOUVERNANCE La société civile est un rassemblement volontaire de tous les citoyens conscients, véritables forces patriotiques méthodiquement organisées en groupe de pression. Ceux-ci agissant comme porte-voix des sans voix, se déterminent à contenir les dérapages politico-administratifs, à contrer les excentricités idéologiques, à combattre les exactions, à s’opposer enfin à toutes sortes d’excès insensés, susceptibles de menacer l’ordre, la paix et la cohésion sociales

question et de projection programmatique. En effet, la démocratie semble paralysée, incapable de décoller, et même en situation de déliquescence accélérée. L’État de droit apparaît comme une superstructure stérile, exogène et non opérationnelle. Et la gouvernance politique est neutralisée, car plongée dans un creuset propice à la déstabilisation. Tous trois sont chargés de virtualités dangereuses pour le pays frappé d’une espèce d’atonie qui rend une relance incertaine, de sorte que le complément direct

utilisant l’expérience historique sans être pour autant prisonnier du passé. S’interroger sur la question de savoir si la privatisation de la sécurité constitue désormais une norme internationale qui s’inscrirait dans le cadre d’une nouvelle « bonne gouvernance » peut être une voie susceptible de changer notre regard. Cette manière d’aborder le problème permet une plus grande neutralité puisque le recours au mercenariat serait, dans ces conditions, imposé par notre environnement lequel est constitué par