Psychose Infantile

être orienté dans une approche thérapeutique. 2/ Deuxième idée: utiliser le concept du transfert, en l'adaptant à la psychose. Le transfert a été élaboré par Sigmund Freud comme "processus par lequel les désirs inconscients s’actualisent sur certains Objets dans le cadre d’un certain type de relation établi avec eux (...) sous la forme de répétition de prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué". Le concept sera à la base de toute approche en psychothérapie institutionnelle

l’ambivalence .projection : localiser à l’extérieur ce qui se situe en fait à l’intérieur. Attribuer à autrui ses propres affects. Présente ds la névrose aussi, mais moins massive et reconnaissance pré-consciente Ds la psychose elle est systématique, cf elle est le mécanisme la paranoïa (psychose), utilisée de façon délirante. Le sujet nie un désir intolérable et le projette sur un autre. .introjection : mécanisme psychotique permettant de localiser à l’intérieur ce qui se situe en fait à l’extérieur. Cf

médecin pédopsychiatre) et moi étions présentes et acteurs. Melle L, patiente dans le service, est hospitalisée pour troubles du comportement avec des périodes d’hétéro agressivité. Melle L présente une psychose infantile avec un retard mental associé. Le terme de psychose infantile englobe les psychoses précoces dans l’enfance. Elle présente un affaiblissement des capacités cognitives d’une façon assez disharmonique associées à des troubles de la personnalité d’ordre psychotique, s’extériorisant par

l'épilepsie appelée également comitialité ou syndrome convulsif. Apragmatisme : incapacité physique de maintenir une activité et un comportement adapté à la réalité du travail et aux besoins pratique de la vie quotidienne. Autisme : Grave trouble infantile de la communication et du comportement qui se développe toujours avant l'âge de trois ans. Il se caractérise notamment par une attitude de repli sur soi, où l'individu n'entretient plus de relations avec le monde extérieur. Bipolaire (trouble) :

Marine LARDINOIS Interne DES psychiatrie 22 mars 2012 1 Nosographie  Psychose chronique « dissociative »  Décrite par Emil Kraeplin en 1896  Bleuler 1911  Du grec schizo « séparé »  Phrên « esprit »  Ne correspond pas à un dédoublement de la personnalité 2 Epidémiologie  Prévalence : 0,5 à 1% de la population      générale Incidence 1/10 000 par an SR: 2 femmes / 3 hommes Âge de début entre 15 et 25 ans En France: environ 600 000 patients schizophrènes dont 300 000 pris en charge

Bien que n'appartenant pas strictement au registre psychotique, on y fera figurer également des troubles thymiques de l'adolescent, dont la sévérité et la massivité obèrent temporairement le rapport au réél. 1.0 Psychoses Précoces (Troubles envahissants du développement)1.00 Autisme infantile précoce - type Kanner1° Début généralement au cours de la première année avec présence des manifestations caractéristiques avant l'âge de 3 ans.2° Association de :- troubles majeurs de l'établissement des relations

AUTISME ET PSYCHOSE Dans l’institution Pierrick est désigné comme sorti de l'autisme, car sorti de son mutisme. Mais quels sont les éléments cliniques permettant de définir une structure autistique ou psychotique. Depuis les trente dernières années, de nombreux travaux font percevoir des traits structuraux spécifiques de la position autistique. Rosine et Robert Lefort posent les bases d'une clinique différentielle autisme/psychose, mais avec la forclusion pour mécanisme commun. «L'éjection par

importants (autisme, psychose, débilité). Je pratique par ailleurs en libérale la psychothérapie auprès d’adolescents et d’adultes souffrant de pathologies diverses. L’exercice de mon métier de psychothérapeute a été et est toujours fortement influencé par le fait que partager la vie au quotidien avec des patients extrêmes questionne en permanence mon positionnement face à l’autre et a sa pathologie. En tant que soignant en psychiatrie et psychothérapeute j’évolue entre psychose et névrose, entre

traumatique dans le sommeil. I. Traumatisme et névrose de guerre A. Points de vue sur la névrose de guerre La symptomatologie des névroses de guerre montre que les malades empruntent des symptômes aux diverses névroses ou à la psychose. C’est avec la réalité que le patient se trouve confronté et c’est le plus souvent par l’extérieur qu’il a le sentiment que reviennent, sous forme hallucinatoire, les images traumatiques dans les flash-back et les rêves traumatiques. (Castarède M-F

sorte de cicatrisation des angoisses orales de la position paranoïde. Il s’agirait donc d’une guérison de la psychose qu’elle recouvre. Dans le mouvement contemporain, les obsessions peuvent être analysées comme ayant une valeur positive qui renvoie à la relation d’objets fantastiques, sadomazochiques par rapport au destin mortifère et destructeur que l’on retrouve dans les psychoses. Certains auteurs contemporains parlent de « névrose compulsive » (JUIGNET, 2001). b. Approche psychanalytique