Quand Galilée Kant

Moyen Age ne le sont plus aujourd’hui, comme la théorie du géocentrisme et de l’héliocentrisme. Durant une période les hommes pensaient que la terre était au centre du système solaire et le tenait pour vrai, mais des scientifiques comme Copernic ou Galilée on mit le doigt sur leur erreur. A ce moment la vérité à alors changé. Donc la théorie du géocentrisme qui était pourtant vraie à l’époque n’était pas une vérité définitive. Et cela s’applique d’une manière générale aux sciences, l’évolution des techniques

scientifique n’attend pas qu’ne pomme lui tombe sur la tête et que la nature se révèle à lui. Si l’on doit parler de découverte, ce n’est pas le réel qui se découvre au sujet mais bien le sujet qui retire le voile qui occultait sa connaissance. Comme le note Kant dans la préface de la Critique de la raison pure , la raison ne s’instruit pas auprès de la nature de la même manière qu’un écolier s’instruit auprès d’un enseignant, mais la raison et la nature entretiennent le même rapport

du sujet. On pourrait penser que le savoir est à l'opposé de l'ignorance et qu'aucun lien ne peut exister entre eux : si on sait, on n'ignore pas et si on ignore, on ne sait pas. On saisit en effet difficilement ce que pourrait être un demi-savoir. Quand dit qu’une personne sait les choses à moitié cela signifie généralement qu’elle ne les sait pas. On dira cela, par exemple, pour une leçon qui devait être apprise. Or, celui qui la sait à moitié est celui qui sait vaguement de quoi cela parle mais

pourra jamais rattraper la tortue ». « Depuis le Ve siècle avant J.-C., écrivent Philippe Boulanger et Alain Cohen dans Le Trésor des Paradoxes (Éd. Belin, 2007), ce paradoxe du mouvement a stimulé les réflexions des mathématiciens, entre autres Galilée, Cauchy, Cantor, Carroll et Russell ». Pour Bergson, « Les philosophes l'ont réfuté de bien des manières et si différentes que chacune de ces réfutations enlève aux autres le droit de se croire définitive ». En analyse moderne, le paradoxe est résolu

reproduction intégrale ou partielle doit faire l'objet d'une demande d'autorisation auprès des éditeurs et des auteurs. Vous pouvez citer librement cet article en en mentionnant l’auteur et la provenance. Introduction L’être humain n’est pas en peine quand il s’agit de se penser comme un être d’exception. Bien au contraire, l’idée qu’il pourrait n’être qu’une chose ou un animal comme les autres se présente d’abord à lui comme une idée farfelue, voire une provocation. Et pour y répondre, il est rarement

Elle permet de mieux vivre à la manière de l’art mais ce n’est pas un critère absolu. Les philosophes n’ont pas toujours eu des vies heureuses. Kant (18ème) simplifie la philosophie en questions : - Qu’est-ce que je peux savoir ? - Qu’est-ce que je peux espérer ? - Comment dois-je vivre ? - Qu’est-ce que l’Homme ? 1.3. OU ET QUAND APPARAIT LA PHILOSOPHIE ? A Milet (Grèce) en -600. THALÈS de Milet crée en -600 la 1ère école philosophique. Comment ? - L’étonnement des Hommes

et matérialisme Les philosophes modernes ont avant tout été soucieux d’établir l’intelligibilité de l’histoire. L’histoire n’est pas une suite d’événements et de décisions aussi incompréhensibles qu’imprévisibles. Pour les philosophies idéalistes (Kant, Hegel, Comte), il existe une rationalité profonde qui gouverne le monde et qui en constitue la trame cachée. Pour Hegel, en particulier, les passions des hommes ne sont que les « matériaux » que la raison utilise pour parvenir à son but. Pour les

lien entre l’histoire et la philosophie de l’éducation. 3 étapes dans le développement historique : 1. La réflexion philosophique à proprement parlé : de l’antiquité jusqu’au 18éme siècle.  Grands penseurs : Platon, Aristote, Montaigne, Rousseau, Kant. Ils sont restés à la pensée spéculative, pensée purement abstraite, théorique. On s’intéresse à l’éducation dans la réflexion pure, il n’y a pas forcément d’application pratique.  On s’intéresse à l’homme, à son rapport au savoir, dimension éthique

qui situe l'homme au centre de la nature sera perpétuée par le christianisme. Dans le deuxième tome de sa Somme théologique, saint Thomas soutient la même position anthropocentrique à travers cette analogie : « Quand l'homme agit de lui-même pour une fin, il connaît cette fin : mais quand il est mis en action ou dirigé par autrui, comme lorsqu'il agit par ordre ou sous une impulsion étrangère, il n'est pas nécessaire qu'il connaisse la fin. C'est le cas des créatures sans raison ». Historien de

partir de res.1 Il fallait trouver un mot qui désigne le monde des choses vraies. Notre extérieur (la matière, les choses) est vrai dans la mesure où il reste plus ou moins "dans le même état". Par extension, la réalité est donc la vérité des choses, quand bien même elle ne serait plus rapportée par une conscience (avant l'humanité et après sa disparition). AVERTISSEMENT 1 / Difficulté de distinction On utilise indifféremment Réalité ou Réel. Nous les avons néanmoins distingués parce que l'intitulé de