Quand Galilée Kant

L’argument d’autorité 12 b. Pas de création sans créateur 12 c. L’ordre du monde 12 d. La preuve par le désir 13 e. L’argument ontologique 13 3. La foi et la raison (Spinoza) 16 4. Les limites de la raison (Pascal, Kant) 17 5. Vivre et connaître (positivisme, Russell, Freud) 20 B. Le problème du mal 22 1. Le mal n’existe pas 23 a. Le mal n’existe pas 23 b. Le mal est la condition du bien 23 2. Dieu n’est pas tout-puissant 24

l’impression première, éprouvée par le sujet de ses propres états psychiques. La conscience peut être réfléchie : C’est le retour volontaire du sujet sur la première impression. L’expression « conscience de soi » désigne le sentiment de sa propre identité. Kant fait remarquer que ce qui fait la grandeur de l’homme, c’est le pouvoir de dire « je ». Cette identité du sujet n’est pas primitive, elle se réalise progressivement au cours de l’âge de l’enfance (bébé). Par champ de la conscience, on désigne l’ensemble

Pourquoi désirer l’impossible ? Désir = besoin Quand on désire on veut l’impossible. La philosophie amene a l’éradication des désirs. Courant stoïque. Descartes «  vaincre ses désirs plutôt que l’ordre du monde ». C’est fantasmatique. Aucune liberté de commander ses désirs. « La terre est une vallée de larmes »Bible. Tuer le désir c’est tuer la vie il faut les classifier et éliminer les désirs non naturels. Le manque naturel > besoin > désir Désir > manque > besoin. Ça pas lié

néanmoins, nous le pourrions. » Descartes, Lettre au père Mesland du 9 février 1645.  En somme nous pouvons donc user à notre guise de notre libre arbitre et agir comme il nous plait de manière indéterminée. Bossuet le souligne très justement quand il écrit que : « Le libre arbitre est la puissance que nous avons de faire ou de ne pas faire quelque chose ». Dans cette perspective et parce que nous disposons de cet espace de contingence, nous pouvons accomplir n’importe quel acte, même immoral

confessions La Philosophie des Lumières Pour les intellectuels européens du XVIIIe siècle, l'homme se caractérise par capacités de réflexion, dont il doit faire bon usage à l'encontre des préjugés et des superstitions. Ils tiennent cela de Galilée, de Descartes puis de Newton (dont les recherches théologiques et alchimiques sont alors inconnues), qui sont les premiers à avoir donné la priorité à la raison et à l'expérience sur la Révélation divine et l'autorité religieuse. Ils critiquent les

a un marquage du temps social. De même dans l'espace : il y a l'espace sacrée + espace profane. Le crime le plus fort dans l'humanité est de PROFANER LE CIMETIERE = c'est un espace sacrée. L’homme est un être de culture qui ne peut s'épanouir quand sortant de son état de nature et se rattacher à une communauté, une société. La religion a été le premier opérateur à l'éducation, formation de l'homme (en lui inculquant des valeurs) ex : grands récits cosmogoniques. 2)La société comme machine

raison est libératrice, au 17eme la raison s’appelle la libre-pensée qui est l’idée que l’on peut par sois même découvrir la vérité. A l’image de Galilée qui dit que la Terre et ronde, même s’il s’oppose à tous le monde. Kant au 18eme siècle dit qu’au fond la modernité c’est ose savoir par toi-même. La modernité c’est le passage de la minorité à la majorité. Quand il est mineur il pense que par les autorités religieuses… alors que majeur il pense par lui-même, ce passage s’appelle le progrès. Si on est

vocation à être universel. Emmanuel Kant part du constat que si toute connaissance s'appuie sur l'expérience, cela ne signifie pas que l'expérience soit tout. En effet, pour avoir une expérience, c'est-à-dire pour avoir et relier des sensations, notre esprit doit disposer préalablement d'un certain nombre d'outils. C'est ce que Kant nomme l'a priori. En langage courant, avoir des a priori, c'est juger avant de connaître, c'est en quelque sorte avoir un préjugé. Pour Kant, il s'agit d'outils qui nous sont

absolue serait une justice pure, sans compromission. L’absolu signifie donc pour une réalité ou pour un idéal sa réalisation complète, son achèvement parfait. La question est alors de savoir si l’absolu renvoie à une simple existence de la raison (Kant) sans pouvoir jamais rencontrer une réalisation concrète (la justice absolue n’est qu’une valeur vers laquelle il faut tendre mais qui ne désignera jamais qu’un idéal), ou si l’histoire des hommes ne constitue pas la réalisation progressive de cet

s’est spécialisée au cours du temps en différents domaines, eux même se spécialisant tant le champ des connaissances est vaste. Au contraire, la philosophie orientale est restée en vase clos, ce qui fait qu’elle est limitée. TEXTE 6 p.393 : Kant est un philosophe du XVIII°siècle, pour qui le but final de la philo est de répondre à quatre questions essentielles, ce qui fait d’elle une épistémologie. 1. Que puis-je savoir ? on trouvera la réponse dans la Métaphysique. En fait, c’est la question