Quand Galilée Kant

révolutionnaires 46 §1. La loi fondement des droits 46 §2. Consécration de l’homme, « sacre du citoyen » (P. Rosanvallon) 46 Introduction On peut partir d’un constat qui a plus de deux cents et que l’on doit à Kant dans sa fameuse édition de la Critique de la Raison Pure en 1787. Kant y écrit : « les juristes cherchent encore une définition pour leur concept de droit ». La question majeure est de savoir si les choses ont changé depuis cette formulation et de savoir ce qu’est le concept de droit

que les individus avaient renoncé à leur jugement. Ils s’en sont remis à d’autres pour penser. Ils ont obéi, quoi qu’on leur ordonnât. Jusqu’au jour où quelqu’un dit, enfin, « Non ! » {Jugement - Pouvoir} « Rien n’est plus dangereux qu’une idée quand on n’a qu’une idée. » ALAIN (Émile CHARTIER, dit) (1868-1951) 625 L’homme d’une seule idée est beaucoup plus sujet qu’un autre à devenir fanatique et intolérant. La pensée unique, comme on l’appellera plus tard, est dangereuse parce qu’elle

qu’ils sont illimités, les désirs non naturels sont source de déplaisir, et ne proviennent que des craintes de l’imagination. Le plaisir est donc le critère de la naturalité du désir : un désir est naturel, quand sa satisfaction procure un plaisir certain ; il est naturel et nécessaire, quand son insatisfaction engendre à coup sûr du déplaisir ou de la souffrance. Ainsi donc, selon Épicure, les désirs non naturels ne le sont pas simplement à cause de l’objet sur lequel ils se portent (la gloire, la

rencontrent que peu d'obstacles sur leur chemin. Il existe une seconde catégorie de simulacres, ceux, par exemple, qui proviennent des dieux, plus subtils encore que les premiers, capables de frapper directement l'esprit, sans solliciter les sens. Quand nous émettons des sons (par la voix), l'expulsion de certaines particules hors de nous qui viennent frapper l'oreille explique que nous entendons. Outre la sensation, il y a d'autres critères de vérité: • Les affections, c'est-à-dire le plaisir

(attente) Descartes => moi de fondation Pascal => un moi qui doit accepter de se détester de se hair Descartes Descartes a décidé un jour de tout arrêté, de s’éloigner des combats s’isole dans une pièce qu’il appèle un poêle Procès de Galilée en 1633, lié à l’inquisition -> le doute méthodique « je pense donc je suis » -> « ego cogito,ergo sum » • Il avait des prédisposition scientifiques ++• Il a imaginé le discours de la méthode (écrit de manière clandestine) • défend l’héliocentrisme

qu’il y a d’amalgames douteux par cette conception de la science, en précisant de quelle science il s’agit par l’ajout d’un qualificatif douteux : sciences de la nature, sciences humaines… Revenons à des conceptions plus traditionnelles, comme Kant, qui distingue la connaissance rationnelle, et la connaissance historique. La connaissance rationnelle se fait à partir de principes : il y a des propositions dont la vérité est indéniable. À la fois leur contraire est impossible, et ils ne peuvent

la dissimule ou qu'on la déforme délibérément. En ce sens la parole mensongère a rapport au pouvoir, puisqu'il s'agit toujours par cette tromperie réfléchie de tirer quelque avantage sur autrui. ° Affirmer sciemment une contrevérité constitue pour Kant "la plus grande transgression du devoir de l'homme envers lui-même comme envers l'humanité en sa personne" (Fondements de la métaphysique des mœurs). Si je peux me tromper, je n'ai jamais le droit (légal/légitime) de tromper, sinon au prix d'une disparition

prétention à parler correctement de la conscience. a) Le nombre est à la fois unité et multiplicité, synthèse de l'un et du multipleLe nombre est un parce que « nous l'appréhendons par une intuition simple de l'esprit et que nous lui donnons un nom ». Quand je dis « quatre », ou à plus forte raison un nombre beaucoup plus élevé, je ne pense pas chacune des unités qui le composent, je pose le nombre en lui-même par un acte unique. Et pourtant cette unité n'est pas une unité simple, c'est l'unité d'un tout

Sens et absurdité dans l’Amour. « Se sentir aimé est ce qui nous justifie d’exister. » Jean-Paul Sartre L’Amour est véritablement à la croisée du sens et de l’absurde dans l’existence. Quand il est sage à l’image de l’amour altruiste, il donne un sens positif à l’existence, mais quand il est fou comme l’amour passion, il peut mener à la destruction la plus absurde ! Il y a incontestablement un mystère et un paradoxe de l’Amour qui veut que la plus belle des choses dans l’univers puisse

d'elles apparut suffisamment près de lui. C'était une petite chose piquante dont jaillissaient des douzaines de bras de couleur verte, poussant d'un centimètre environ toutes les secondes. Très vite Digory fut cerné de dizaines de ces pousses, et quand elles eurent atteint à peu près sa taille il comprit enfin ce que c'était. « Des arbres ! » s'exclama-t-il. Le mythe égyptien de l’œuf cosmique Dans cette cosmogonie, Thot, le démiurge, déposa sur la butte primordiale récemment jaillie du Noun