Quand Le Train Entra En Gare

» et de verbes de perception et de jugement « je jugeai ». Le narrateur « jeune » + narrateur retrospectif entre guillement « pensais-je ». -Temps du récit avec l’utilisation de l’imparfait l.4 « elle donnait » et du passé simple « le train entra en gare » l.1 -Passages descriptifs avec des verbes d’état, usage de l’imparfait + adj qualificatifs : « C’était son frère enfant pâle au cheveux d’albinos » -Paroles rapportées : Discours direct : vb de paroles + guillemets + ponctuation de la

cité dans cette intrigue, où la maison secondaire du patron de Mona est située. Le village de Tourville-les-Ifs «  Le hameau des Ifs se situait à six kilomètres d'Yport » (p.249) où se situe la maison de Denise Joubain qui est dans l'ancienne gare « L'ancienne gare ! Une maison de maître, bleu lin, des murs de crépi jusqu'au toit d'ardoise, surmontée de deux cheminées aux museaux orange et d'une horloge monumentale. » (p.250). Neufchâtel-en-Bray est aussi un village cité dans le livre, « Presque aussitôt

lui rappelle des souvenir. Dans le train en direction du camp de concentration avec Kelmar. Sa rencontre avec Emélia dans un petit théâtre que lui parle Kelmar qui s’arrête et se laisse tuer. Tous les matins, au camp, une personne était pendu. Il devait attendre immobile avant que un soit choisi. La femme du directeur du camp assisté à la mise à mort avec son fils âgé de 18 mois. Il se pose des questions à son sujet. Chapitre 10 Il est dans la resserre en train d’écrire le rapport lorsque il entend

    - Croyez-vous que certaines idées soient aussi dangereuses pour certains esprits que le poison pour le corps ?     - Mais, oui, peut-être.     - Certainement. Il y a des idées qui entrent en nous, nous rongent, nous tuent, nous rendent fou, quand nous ne savons pas leur résister. C'est une sorte de phylloxera des âmes. Si nous avons le malheur de laisser une de ces pensées-là se glisser en nous, si nous ne nous apercevons pas dès le début qu'elle est une envahisseuse, une maîtresse, un tyran

Qu'entendez-vous par là ? ― Croyez-vous que certaines idées soient aussi dangereuses pour certains esprits que le poison pour le corps ? ― Mais, oui, peut-être. ― Certainement. Il y a des idées qui entrent en nous, nous rongent, nous tuent, nous rendent fou, quand nous ne savons pas leur résister. C'est une sorte de phylloxera des âmes. Si nous avons le malheur de laisser une de ces pensées-là se glisser en nous, si nous ne nous apercevons pas dès le début qu'elle est une envahisseuse, une maîtresse, un tyran

aurait fait trouver le sommeil. Puis, allongé sur le dos, Henry ouvrit grands ses yeux. L’univers de sa chambre était si sombre que sa première pensée fût : «Je suis aveugle… !.. ». «C’est ce que doivent ressentir les non-voyants, se dit-il,  quand ils se préparent, chaque jour, derrière le rideau fermé des paupières, au choc de la vision d’un paysage matinal merveilleux. Mais à chaque fois leur déception est totale. Le noir envahi l’espace et à chaque réveil la chute n’en est que plus dure et

réveille-toi, il est presque 6h30" Sa mère restait près de la porte jusqu'à ce qu'elle se lève. "Il est déjà temps de se lever ?"demandait-elle. Sa mère faisait un signe de tête. "Tu peux jeter ta chemise de nuit dans la corbeille de blanc, et quand tu choisis tes vêtements, pense au fait qu'il pleut !" Sans attendre une réponse, elle fermait la porte et descendait. Ensuite, Lenni enfilait sa robe de chambre. Elle se préparait en vitesse. Un jour de la semaine comme aujourd'hui, elle prêtait moins

- t-il. Un jeune homme entra. Il avait l'air trempé, fatigué et inquiet. " Je suis venu pour vous demander de l'aide." dit-il. "J'ai entendu parler de vous Mr. Holmes. Les gens disent que vous savez tout. Je ne sais pas quoi faire." " Bien, assayez - vous, dit Holmes, et parlez-moi de vous" Le jeune homme s'est assis et a mis ses pieds mouillés près du feu. " Je m'appel John Openshaw. Mon père Joseph a un frère, mon oncle Elias qui est allé vivre en Amérique quand j'étais plus jeune. Il gagna

faible murmure, et pénétra dans la ville. Il marcha lentement, à la recherche d'une auberge. Une enseigne grinça alors au-dessus de sa tête : Il recula et lu « Auberge du sanglier égorgé ». On lui avait dit que c'était une auberge miteuse, mais il entra et demanda une chambre pour la nuit. Il dormit paisiblement.  Chapitre 2 :  Au lever du jour, Herobrine était déjà réveillé. Il savait ce qui allait se passer : Aujourd'hui commençait son périple vers TingTown. Il se leva lentement du lit sur lequel

Seuil  Pour Jon C’est en vain que je cherche à faire plier, à entailler ces barreaux à l’implacable rigidité — ils ne ploieront pas, ils ne céderont pas car c’est en moi que ces barreaux sont scellés et ce n’est que quand je me briserai que se briseront les barreaux. EXTRAIT D’UNGHAZAL, DE GUSTAF FrÖding. République dominicaine 1978 Prologue Peu avant l’aube, Pedro Santana fut réveillé par la lampe à pétrole qui fumait. Il ouvrit les yeux avec la sensation