Quand Le Train Entra En Gare

le téléphone qui sonne. C'est Norman qui appelle. Il lui dit qu'il n'a pas beaucoup de temps et 'qu'elle' (Sa femme Catherine) est dans la pièce à côté. C'est la crise, et il veut que Louise attends qu'il rappelle plus tard, quand la situation se calme. Et il raccroche. Quand le téléphone sonne plus tard, elle le prend dehors, pour que personne (Stephen) ne peut écouter leur conversation. Il a raconté tout à sa femme, et elle a pleuré. Il dit qu'il ne viendra pas. Mais veut bien venir un autre jour

usine. Le passe-temps favori des ingénieurs français étaient de s'en servir de bouc émissaire, mais la brousse ignorait , car tout le monde savait que nul être au Monde ne connaissait mieux la centrale que lui, son père l'ayant bâtie sous ses yeux. Quand il était fâché, Ousmane avait plaisir à emmener sa fille aînée, Marguerite, sur les rochers du fleuve Sénégal. Là il lui racontait l'histoire des Soninkés, partis de Palestine pour le Mali, ceux ci ayant la maladie du voyage. C'est alors que souvent

Chapitre 4: Blessure de frontièreLes deux frères sont en train de quitter le pays. A l'aube, ils rejoignirent leur guide qui va leur faire passer la frontière. Cependant, au moment de passer en Libye et de prendre la voiture qui les conduira à l'endroit où ils monteront à bord d'un bateau, Jamal annonça à son frère qu'il ne fera pas ce voyage avec lui, car il est atteint d'une grave maladie. Soleiman est effondré par cette nouvelle, mais décide de quand même partir, car son frère qui ne voulait que son

Gatsby le Magnifique Table des matières I. Présentation et biographie de l’auteur II. Situation de l’œuvre : - Quand a-t-elle été écrite ? - A quel genre littéraire appartient-elle ? - Y a-t-il des raisons particulières qui ont poussé l’auteur à écrire son œuvre ? - A quelle époque se passe l’histoire ? - Autres informations concernant l’oeuvre III. Résumé de l’œuvre  IV. Présentation des personnages V. Les thèmes principaux de l’œuvre VI. Passage analysé

la chose est faite », pensa-t-il. Peu après, un bruit se fit entendre. C'était un train qui arrivait sur eux à toute allure. « De l'air pressé qu'il a, pensa-t-il, il arrivera sûrement avant nous» et il se rendormit. Ensuite, le froid le réveilla. Il était tout trempé de sang. Quelques morceaux de sa femme gisaient près de lui. « Avec le sang, pensa-t-il, surgissent toujours quantité de désagréments; si ce train pouvait n'être pas passé, j'en serais fort heureux. Mais puisqu'il est déjà passé

PENDANT LEQUEL S'ACCOMPLIT LA TRAVERSÉE DE L'OCÉAN PACIFIQUE...................................171 XXV - OÙ L'ON DONNE UN LÉGER APERÇU DE SAN FRANCISCO, UN JOUR DE MEETING......................................178 XXVI - DANS LEQUEL ON PREND LE TRAIN EXPRESS DU CHEMIN DE FER DU PACIFIQUE......................................186 XXVII - DANS LEQUEL PASSEPARTOUT SUIT, AVEC ii Table des matières LE TOUR DU MONDE EN QUATRE-VINGTS JOURS UNE VITESSE DE VINGT MILLES A L'HEURE, UN COURS D'HISTOIRE

document La vieille qui oint la paume au chevalier Je vais vous conter l’histoire d’une vieille pour vous réjouir. Elle avait deux vaches, ai-je lu. Un jour, ces vaches s’échappèrent ; le prévôt, les ayant trouvées, les fait mener dans sa maison. Quand la bonne femme l’apprend, elle s’en va sans plus attendre pour le prier de les lui rendre. « Par ma foi, dit-il, belle vieille, payez-moi d’abord votre écot de beaux deniers moisis en pot. » La bonne femme s’en retourne, triste et marrie, la tête basse

humoristes ? Observations Premier document |Une chanson des Inconnus : Rap tout |On est là partout | | |Même quand tu joues | |Salut mec, ça va, tu vas bien |Pauvre idiot, on est là partout | |On se présente, mais non tu connais déjà |Le

dans son col de fourrure ; et sa résolution fut prise brusquement. Un fiacre passait ; il l'appela, se fit conduire chez lui ; et quand son valet de chambre, réveillé, eut ouvert la porte :      - Louis, dit-il, nous partons demain soir pour Marseille. Nous y resterons peut-être une quinzaine de jours. Vous allez faire, tous les préparatifs nécessaires.      Le train roulait, longeant le Rhône sablonneux, qui traversait des plaines jaunes, des villages clairs, un grand pays fermé au loin par des

gâtaient et ne me grondaient jamais, je rentrai en classe. A peine mes camarades à leurs pupitres – moi en haut de la classe, accroupi pour prendre dans un placard, en ma qualité de premier, les volumes de la lecture à haute voix –, le directeur entra. Les élèves se levèrent. Il tenait une lettre à la main. Mes jambes fléchirent, les volumes tombèrent, et je les ramassai, tandis que le directeur s'entretenait avec le maître. Déjà, les élèves des premiers bancs se tournaient vers moi, écarlate