Que Puis Je Dire Mien

furieusement. » Exemple 4 : « Le mien est plus calme. » Exemple 5 : « Il neige. » Exemple 6 : « Les fantômes effraient le bureau.» 2. Commentez et critiquez les six définitions en vous appuyant de tous les exemples. a) La première définition, celle de DENIS D. et SANCIER-CHATEAU, présente la phrase comme un « ensemble structuré d’éléments». En effet, la phrase obéit à des règles grammaticales qui relient les mots entre eux, dans un ordre logique. On ne peut pas dire par exemple : « Mangé j’ai aujourd’hui

Pairing : Reita – Tora ~ POV ??? ~ Je suis fatigué, tellement fatigué. Faut dire que ça fait un bon bout de temps que je n’ai pas dormi, tout du moins réellement dormi, sans cauchemars, sans me réveiller en pleurs tout le temps… On est en pleine répétition et pourtant je sens mes yeux se fermer alors que je suis entrain de jouer sur ma basse. Je sais pas pourquoi mais là où je dors le mieux c’est sur le sofa de la salle de repos, surement parce qu’il y a son odeur… On partage le local avec

fait pas partie de moi, possède une conscience semblable à la mienne, et donc influence ma propre conscience. Le problème est donc le suivant : La conscience de soi implique t-elle une confrontation avec l'altérité ? Dans une première partie, nous allons voir s'il est possible d'avoir conscience de ma propre existence dans la solitude. Dans une seconde partie, nous verrons que la présence d'autrui est nécessaire pour être moi-même. Puis dans une dernière partie, nous nous demanderons se que je suis

de nous est luimême l’autre des autres : s’il faut se méfier des autres parce qu’ils peuvent se tromper, c’est alors que je suis moimême capable d’erreur. Ainsi, lorsque je prétends n’écouter que ma raison, lorsque je prétends que j’ai raison de dire ce que je dis, seraisje le seul et fûtce contre la terre entière, ne feraisje pas mieux de m’ouvrir aux raisons d’autrui, et d’accepter qu’on 100 Sujet 13 m’apporte la contradiction ? Ne faudraitil pas mieux, en d’autres termes, me méfier

l’après-midi ce jour-là c'est-à-dire de 13h50 à 21h15, il est aux alentours de 15h. Je porte une tenue professionnelle médicale composée d'une tunique à manches courtes et d’un pantalon (lavés individuellement en machine à la fin de chaque quart ) également des chaussures propres et fermées et d’un masque chirurgical . Je n'ai pas de bijoux, j’ai les ongles courts sans vernis et j’ai les cheveux attachés. Les soignants présents dans le service portent une tenue semblable à la mienne et sont dans les mêmes

bien falloir. Puis je partis m'allonger sur le sofa la laissant planter debout. Elle (stupéfaite): mais ? Moi(les bras sous ma tête et les yeux fermés): ….. Je sentis sa présence juste devant mon visage, j’ouvris un oeil pour voir ce qu’elle faisait. Apparement rien… elle me fixait simplement. Puis je l’ai refermé aussitôt et c’est à cet instant qu’elle dit : Lucienne: Khadir ? Moi: hum ? ( oui) Lucienne(s’asseyant lourdement sur le fauteuil en face du mien): pourquoi tu nous

la rambarde de mon balcon , je contemple passivement la vie nocturne de la mégalopole. Les inconnus passent et se ressemblent , se perdant dans la foule. Leurs visages éphémères ne me rendent plus que pensif. A vrai dire, je n'aime pas cette ville , ni ces gens, ni cette vie. La mienne est à l'opposé de la leur ; je la vis au jour le jour. Mon quotidien est loin du métro-boulot-dodo de la plupart d'entre eux. Je passe mon temps enfermé dans mon appartement ; loin de cette population si sociable et

long ? Et elle qui comprend que sa chatte parce qu'elle s'est faite sauter trop de fois sans qu'on la rappelle. Et nous qu'on se branle H24 puis qu'on se flagelle parce qu'on se branle. Puis on dit qu'on fait et en fait on fait pas. Alors on dit pas et puis on fait puis on se fatigue. Puis on s'excuse d'être malheureux puis d'être heureux, puis de s'excuser. Puis c'est le merdier ça y est c'est l'merdier. Continue à creuser copain continue à creuser. Et les coeurs qui s'envolent. Et l'courage et l'espoir

Gérard de Nerval, " Une allée du Luxembourg " Odelettes, 1832 Elle a passé, la jeune fille, Vive et preste comme un oiseau ; A la main une fleur qui brille, A la bouche un refrain nouveau. C’est peut-être la seule au monde Dont le cœur au mien répondrait ; Qui, venant dans ma nuit profonde, D’un seul regard l’éclairerait !... Mais non, - ma jeunesse est finie... Adieu, doux rayon qui m’a lui, - Parfum, jeune fille, harmonie... Le bonheur passait, - il a fui ! I) le moment du regret

EAF14 - reprise - Peut-être plus qu'un motOBJET D’ETUDE 3 : « Le théâtre du XVIIème ou XXIème siècle » SEQUENCE III : JUSTE LA FIN DU MONDE, : « SEULEMENT DIRE ? » REPRISE TEXTE BAC n°14 Parcours : Crise personnelle, crise familiale YASMINA REZA, Conversations après un enterrement, scène 9 Yasmina Reza, romancière et dramaturge à succès, publie en 1987 sa première pièce intitulée Conversations après un enterrement. Dans cette œuvre, dont le titre, comme Juste la fin du monde, met l'accent