Question De Synthèse Facteur Travail Capital Croissance économique

Classe de Tale ES – Enseignement de spécialité – Thème : Progrès technique et évolution économique chez Joseph Aloïs SCHUMPETER. Bibliographie : lire pages 14 et 15. I – L’analyse de Schumpeter 1 – Les cycles économiques : l’article de J. Adda (document photocopié n° 1) puis : p. 20, n° 9, Questions 1, 2, 3 et 4. 2 – Les 5 types d’innovation selon Schumpeter : p. 17, n° 3, questions 1 et 2. 3 – Inventions et innovations : (document photocopié n°2) texte de Maurice Niveau. 4 – L’entrepreneur

INTRODUCTION GENERALE Depuis les temps, l’intérêt de la science économie se repose sur les comportements des hommes, un souci de résoudre les problèmes auxquels sont confrontés les hommes, ces problèmes sont : la rareté, caractéristique des biens économiques qui n’existe pas à l’état naturel en quantité illimité pour satisfaire les besoins humains. Lutter contre la rareté signifie améliorer les conditions d’existence. Pour le faire l’homme attaque son milieu de vie et accède au bien-être ou a la réduction

CHAPITRE 3 Organisation du travail et croissance Ouverture – En privant les ouvriers d’initiatives et en leur imposant un rythme de travail élevé, le taylorisme et le fordisme ont permis d’augmenter la productivité du travail. – Le travail routinier ne garantit pas la qualité des biens et, surtout, des services fournis. Pour améliorer cette qualité et innover, il faut que les salariés prennent des initiatives. Cela permet de travailler plus vite. On retrouve l’objectif final du taylorisme mais

scolaire : 2010/2011 TRAVAIL SUR LES SUJETS DE L’EXAMEN DU BACCALAUREAT, JUIN 2010 Epreuve : ECONOMIE Section : Economie et Gestion Session principale et session de contrôle Préparé par : Haddad Mohamed Inspecteur Principal d’Economie Sommaire : Présentation. Recommandations et conseils méthodologiques. Travail sur l’épreuve de la session principale de juin 2010. Travail sur l’épreuve de la session de contrôle de juin 2010. I- Présentation : Nous adressons ce travail à nos élèves candidats

Master 1ere année Economie Internationale et Stratégie d’Entreprise Séminaire : INTEGRATION INTERNATIONALES ET REGIONALES Note de synthèse N° 1 Les mouvements d’intégration régionale face aux explications de la théorie de l’économie internationale 3295 mots en sept pages SAIF NAAMANY Alia [205 06371] – Séminaire S1: Intégration Internationales et Régionales – EAD M1 EISA. I- Introduction Aujourd’hui, la mondialisation des échanges est une réalité, mais force est

« Facteurs et déséquilibres de la croissance Chinoise » 1.)Quelles sont les principales décisions économiques qui peuvent expliquer le rapide décollage de l'économie Chinoise à partir de 1979? La Chine fut sous l'influence de Mao Zedong pendant plus de trente ans et ne représentait pas plus de 5% du PIB mondial avant 1979. Le PIB d'un pays mesure la richesse généré par une nation. Sous le régime Maoïste la Chine était dans l'impossibilité de connaître une croissance économique. En effet

sources de la croissance économique ? THEME 1 Croissance, fluctuations et crises Notions Indications complémentaires PIB, IDH, Investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité globale des facteurs, facteur travail,facteur capital. - - - - Comment expliquer l’instabilité de la croissance ? Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, dépression, déflation. - s'interroger sur l'intérêt et les limites du PIB comme mesure de l'activité économique. - Montrer que

Correction bac blanc février 2009 I/ Travail préparatoire : 1 -Taux de marge = (EBE/VA) X 100 Il mesure la part du profit avant paiement des impôts dans la VA. Donc plus le taux de marge est élevé plus l'entreprise bénéficie d'une part importante de la VA. (Aujourd'hui une part importante va aux actionnaires en moyenne 50 % au détriment de l’entreprise et des salariés 2- il existe une relation de causalité entre taux de marge et taux d’investissement : la hausse du taux de marge entraînerait

Éducation et croissance économique Envisagée du point de vue économique, l’éducation est un investissement. Elle représente, aujourd’hui, une dépense qui doit produire, demain, un supplément de richesse et de bienêtre. La dépense est élevée : elle constitue en France 6 à 7% du PIB, à quoi il convient d’ajouter le coût d’opportunité du temps passé à l’école ou à l’université, au cours duquel la société renonce au produit du travail productif des élèves et des étudiants et ceux-ci aux revenus correspondants

d’ensemble de l’économie. Elle se définit par opposition à la microéconomie qui s’interesse davantage aux comportements des agents économiques. Il est toutefois difficile de séparer analyses microéconomiques et analyses macroéconomiques. C’est davantage par les questions qu’elle se pose que se définit le champ de la macroéconomie. La question du chômage est une question typique des problématiques macroéconomiques. Le chômage est en France un phénomène à la fois ancien et relativement récent. Jusqu’au