Questionnaire De Hofstede

néerlandais Geert Hofstede. En effet il a mené une étude au sein de la multinationale américaine IBM implantée dans 64 pays. Il a choisi de recueillir les attitudes et valeurs des employés au moyen de questionnaires –1000 au total -. 2 conférence NGP du 6 mai 1999 "interculturalité et Ressources Humaines" 6 mai 1999 57 Il a ainsi pu dégager de cette étude 4 variables qui permettent de comparer les spécificités nationales. Et à partir de ces quatre variables, Hofstede débouche sur le positionnement

essentiellement Intranet mais aussi le fax et le téléphone. FORME PONCTUELLE RECAPITULATIF DES ACTIVITES PONCTUELLES ET DES MISSIONS CONFIEES DANS LE CADRE DES RELATIONS AVEC LA CLIENTELE STAGIAIRE Nom : HOFSTEDE Prénom : Marten UNITÉ COMMERCIALE Raison sociale : Crédit Agricole Adresse : 18-20 Rue Henri Barbusse 18150 La Guerche sur l‘Aubois FICHES BILAN N° de fiche Intitulé de la mission C21 C41 C42

langage corporel. Au cours des années 70, toujours dans la même logique Geert Hofstede et Dominique Bollinger ont fait une vaste enquête visant à comparer systématiquement les attitudes et les valeurs de manageurs et d’employés de différents pays. La question posée se trouve même dans le titre  du livre, « Comment chaque pays gère-t-il ses hommes ? ».Cette enquête repose sur l’administration de 100.000 questionnaires auprès des personnels des filiales d’IBM implantes dans plus de 50pays. Les résultats

NOTIONS DE MANAGEMENT INTERCULTUREL Qu’est-ce que la culture ? Les travaux de Geert Hofstede Les dimensions d’Hofstede Tableau de résultats par pays Analyse des résultats Remarque Qu’est-ce que la culture ? La culture est « un ensemble de croyances et de valeurs transmises et partagées dans une société donnée ». Elle inclut les normes de la vie, l’histoire, les habitudes, les coutumes, le mode de vie et de pensée… . Chaque société a sa propre culture, car il s’agit de son héritage social. La

INTERCULTUREL Classification des cultures selon HOFSTEDE (années 70) Repose sur une analyse statistique (IBM) 116000 questionnaires, à plus de 140 pays permettant d’identifier des paradigmes sur des comportements permettant une anticipation. Intéressant : réfléchir sur les résultats obtenus par l’analyse de notre propre culture (pourquoi, influence dans des situations professionnelles, malentendus possibles) LE MANAGEMENT INTERCULTUREL HOFSTEDE La distance hiérarchique Le contrôle de l’incertitude

I. Les approches sur la culture nationale : Hofstede et d’Iribarne Référence dans le domaine de la gestion, les travaux d’Hofstede sont le résultat d’enquêtes menées dans 64 filiales du groupe IBM. En effet, à partir de questionnaires administrés aux membres de l’organisation, il a pu relever les différences culturelles qu’il y a dans la manière de gérer d’un pays à l’autre. Ces différences, il les a regroupées en 4 dimensions : la distance hiérarchique (degré d’acceptation de l’autorité), le contrôle

partenariat entre individus et pays engagés dans la coopération internationale ne peut et ne doit sous estimer l’importance de la variable culturelle. En effet, les méthodes d’expansion internationale des entreprises comportent un risque culturel (Hofstede, 2001). De même, les négociations internationales sont par nature interculturelles et intersubjectives (Pluchart, 1996). Toutefois, qu’on s’interroge sur l’impact de la culture dans la façon de gérer les fusions ou les entreprises conjointes

expérience enrichissante : M. Philippe d’IRIBARNE, Chercheur, Directeur de recherche au CNRS, auteur de plusieurs ouvrages, notamment La logique de l'honneur et de L'étrangeté française, qui m’a donné des conseils personnels pour l’analyse de mon questionnaire. Ses ouvrages ont été un outil précieux d’inspiration pour mes écrits. M. Roberto RUAS, Professeur, Chercheur, Consultant, Coordinateur en Gestion de Ressources Humaines à l’Ecole de Gestion Université Fédérale Rio Grande Do Sul au Brésil, pour

présentant la culture d’entreprise comme un ensemble de références et d’hypothèses fondamentales, partagées au sein de l’organisation et construites tout au long de l’histoire en réaction à des problèmes d’environnement et de cohésion interne. Enfin, HOFSTEDE (1994) définit la culture d’une organisation comme la programmation mentale collective qui distingue les membres d’une organisation.  En résumé, nous pouvons, donc, retenir que la culture d’entreprise est un processus dynamique qui a principalement

évaluer l'impact de la culture nationale esur deux dimensions clés de l'orientation entrepreneuriale (OE): prise de risques et pro-activité. Huit hypothèses ont été développées en précisant les liens attendus entre les quatre dimensions culturelles Hofstede (1980) et le niveau de prise de risque et pro-activité dans les PME. Les résultats de cette étude indiquent que la culture nationale a une impact important et identifiable sur la volonté des organisations entrepreneuriales a s’engager dans la prise