Questionnaire Métrologie

surveillance et la maintenance d'un réseau local |C25 | |Maintenance, surveillance, télé-diagnostic, télémaintenance |Installer le système d'exploitation d’un réseau |C26 | |Métrologie et sécurité, intégrité des données, sauvegardes | |C27 | | |

figure 1) dont le service Réseaux et Techniques Urbaines, RTU. DIRECTION OUVRAGES D’ART / BATIMENT Bétons Acier Inspection et pathologie des OA SOLS SPORTIFS Géotechnique Fondations - Soutènements Ouvrages en terre Sites et Traces MESURES PHYSIQUES Métrologie Réseaux et Techniques Urbaines Gestion et mécanique des chaussées Étude et travaux routiers Contrôle des terrassements ROUTES Figure 1 : Organigramme des différents services au sein du LRPCB. - 13 - 3. La section RTU Cette section traite

comportement : a pour mission de fixer des valeurs communes, des règles déontologiques afin d’éviter tout décalage. ⇨ Collecte des données et diagnostic par le consultant : cette étape est basée sur des techniques telles qu’interviews, observations, questionnaires classiques, performances de l’organisation (par l’examen de l’indicateur de climat social). ⇨ Feed-back des données recueillies et analysées aux groupes cibles : des conclusions sont tirées à partir du traitement de l’information collectée

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spécifiques du contrôle interne sont identifiés en suivant ces quatre étapes : • Découper l’activité ou le processus en tâches élémentaires : c’est la démarche que l’auditeur interne utilise pour identifier les zones à risques pour construire son questionnaire de contrôle interne. • Identifier le ou les risques attachés à chaque tâche et les évaluer : en d’autres termes se poser la question : que se passerait-il si cette tâche était ma l faite ou n’était pas faite du tout ? Cette identification

performances de nos entités grâce à des questionnaires qualitatifs et quantitatifs. Pour nous assurer de la fiabilité de nos indicateurs et contrôler la bonne application de nos engagements dans les entités, nous faisons réaliser depuis plusieurs années un audit externe par l’un de nos commissaires aux comptes. Fin 2009, afin d’aider les entités auditées à se préparer aux travaux de vérification prévus en 2010 et d’améliorer la fiabilité du reporting, un questionnaire d’auto-évaluation a été élaboré et

.................................. ........... 181 Établir son program m e d ’a u d i t ................................................................ 182 Les activités de l’audit : trois étapes clés com m e pour tout audit 183 Exemple de questionnaire d’audit processus................................. ........... 184 5. Pour que vive le système intégré ................................................................ 192 Manager autrement .....................................................

et l’infrastructure commerciales nécessaires pour mettre en œuvre les accords de l’omc et en tirer profit, et pour accroître leur commerce. Dans le cadre de l’exercice d’évaluation, il a été demandé aux pays en développement de répondre à des questionnaires d’autoévaluation et d’aider à la préparation de cas d’expérience décrivant ce qui fonctionne et ce qui doit être amélioré. L’exercice d’évaluation servira de base au troisième Examen global de l’Aide pour le commerce, qui aura lieu à l’OMC les

succès. Des études récentes démontrent la meilleure compétititivité des entreprises ayant mis en place cette gouvernance des SI dont les clés sont bien évidemment : • Maîtrise et mise sous contrôle des processus internes de l’informatique • Métrologie et tableaux de bord, contrôle des coûts et des risques • Projets informatiques choisis sur la base de leur contribution aux processus majeurs de l’entreprise Quelque pièges du pilotage... Les organisateurs, les informaticiens sont souvent

aux problématiques émergentes. En somme d’adopter une posture d’ingénierie avec comme cadre de référence celui de sciences humaines. Nous avons scrupuleusement veillé à donner une dimension métrologique aux concepts que nous passerons en revue. La métrologie est la science de la mesure. Cette discipline constitue la ligne de démarcation qui sépare les disciplines empiriques (issues de l’inspiration) et les disciplines scientifiques transmissibles, reproductibles, intelligibles (issues de la transpiration