R2-D2

forets boréaux. (G2) Période de Samuel de Champlain (1604 – 1632) * Samuel de Champlain commence à explorer en 1604 et fonde le Québec en 1608. (P4) * En 1613, Champlain entreprend des démarches pour envoyer des missionnaires en Amérique. (R2) * En 1627, la Nouvelle-France compte environ 100 personnes, dont 90% des hommes. (D1) * En 1627, Armand-Jean Duplessis forme la Compagnie de la Nouvelle-France. (P5) * En 1629, la Nouvelle-France tombe aux mains des Anglais. Les frères

modalité aléthique devient prépondérante et les autres modalités sont quasiment absentes). Le tableau qui suit rend compte (A) des valeurs modales inscrites dans cet extrait et du type de forme linguistique auquel nous avons affaire. La notation R1, R2, D1, D2 concerne les formes linguistiques à travers lesquelles s’exprime la modalité et reprend les catégories de re et de dicto telles qu’elles ont été décrites par Galatanu. Les valeurs modales sont représentées par des nombres : le nombre devant le point

D1 l’´quation du dioptre : a e ne n n − ne + = . (15) do di1 r1 b) 2`me face / dioptre D2 : changement d’indice n → ne , rayon de courbure r2 . Le point e I1 est consid´r´ comme l’objet pour D2 . On le note O2 , dont l’image par D2 est I. C’est ee l’image finale, l’image de O par le syst`me de deux dioptres constituant la lentille. On e applique ` D2 l’´quation du dioptre : a e n ne ne − n + = . (16) do2 di r2 C. Les lentilles 18 I1 = O2 O I do di1 do2 ε di Figure 26. Lentille

racine carrée de la somme. La différence de deux racines carrées n’est pas égale à la racine carrée de la différence. 18 a. 1 . 41. 2 c. b. 2. • Sciences en construction c. 1 . 3 19 a. 812 – 3. ΂΃ ΂΃ 1 2 1 2 1 a. • d2 = + = donc la longueur de la diagonale 2 2 2 1 1 est d = 2 = . 12 • L’inverse de d est 12. 42 25 35 1 b. • + + 3 ≈ 0,707 1 soit environ . 60 602 60 12 24 51 10 •1+ + + 3 ≈ 1,414 2 soit environ 12. 60 602 60 4 2 d

normes ICTARN (Instruction sur les Conditions Techniques d’Aménagement des Routes Nationales) qui donnent les paramètres fondamentaux caractéristiques de la dite vitesse de référence Les courbes répondant aux nécessités de notre tracé sont : R1= 950m et R2= 950m Ces choix permettrons d’assurer le confort des usagers c’est-à-dire d’aborder les courbes comme s’ils étaient sur des alignements droits. IV. CALCUL DES ELEMENTS DU TRACE EN PLAN Détermination des équations de droite et des gisements Alignement

meilleure réponse de la …rme 2, en procédant de la même manière : q2 R2 (q1 ) = 1 (A 2 q1 c) 2.2.2 Equilibre : Il y a équilibre si les comportements des deux …rmes sont cohérents. La quantité que la …rme 1 […rme 2] anticipe que la …rme 2 […rme 1] va produire doit correspondre à la quantité e¤ectivement produite par la …rme 2 […rme 1]. (q1 ; q2 ) sont, donc, les quantités d’ équilibre si et seulement si : q1 = R1 (q2 ) q2 = R2 (q1 ) L’ équilibre est, donc, déterminé par un système composé des

dans ce chapitre) mais aussi à l’électronique, à la mécanique quantique, etc. 1 1 1.1 Les nombres complexes Définition iR Définition 1. Un nombre complexe est un couple (a, b) ∈ R2 que l’on notera a + ib b i a + ib 0 1 a R Cela revient à identifier 1 avec le vecteur (1, 0) de R2 , et i avec le vecteur (0, 1). On note C l’ensemble des nombres complexes. Si b = 0, alors z = a est situé sur l’axe des abscisses, que l’on identifie à R. Dans ce cas on dira que z est réel

¨ § ¥ ¦Ex-M6.1 Moments des forces et condition d’équilibre [d’après Concours Mines-Ponts] Soit un fil inextensible et sans masse, fixé en A à une socle horizontal AB (de longueur a), et passant en B sur une pou- lie parfaite, de très petites dimensions. En un point M , tel que AM = a, est fixée une masse ponc- tuelle m et, au bout du fil, est aussi accrochée une masse m′ en N . Le dispositif est placé verticalement dans le champs de pe- santeur −→g . g A M (m) N (m’) B a a θ ek 1) Établir

courant et on a : i=N Ri Re = i=1 • Des résistances sont montées en parallèle s’elles sont maintenues par la même tension et on a : 1 = Re i=N i=1 1 Ri Application : Deux résistances R1 et R2 en parallèle alors : Re = 2.2.1.3 P roduit R1 R2 = R1 + R2 Somme Effet Joule Lorsque un courant i traverse une résistance R pendant la durée dt , on a dissipation de l’énergie tf dEJ = dWJ = uR iR dt =⇒ WJ = uR iR dt ti En continue : WJ = RI 2 ∆t =⇒ PJ =

Mécanisme très performant Bonne rigidité, faible jeu Rapport jusqu’à 320 ω0 ws Réducteurs épicycloïdaux Rapport de réduction assez grand VA1 1 we.R1 = VA0 VK 02 = 0 = ws ( R1 + R 2) 2 R1 ⇒ ws = we 2( R1 + R 2) 41 ω1 ω2 we R1 A K R2 R3 42 Arbre rapide sur roulement elliptique Satellite déformable Planétaire rigide Philippe.grare@univ-reims.fr 7 Poly SY12 CM 2010 2011 12/09/2010 Transmission par pignon crémaillère Autres transmissions Transmission par chaîne