Racine Et La Litote

cessé d'admirer le génie des anciens. Les écrivains classiques, à leur tour, les imitent car ils pensent que les grands auteurs de l'antiquité avaient atteint la perfection, prouvé selon eux par la durée de leur renommée. Molière a ainsi imité Plaute, Racine Sénèque ou Euripide, La Fontaine le fabuliste grec Ésope, Boileau dans son Art Poétique la Poétique d'Aristote... L'idéal classique • Souci de perfection, d'où l'autorité de la raison, de l'ordre, et des règles qui en découlent : respect de

étudier la méditation de La Fontaine sur la mort puis je vais étudier le dialogue entre la mort et le mourant . I- LA MEDITATION 1 ère partie , valeur générale (1-19) Dernière partie plus personnelle « Je » 1er vers :Conclusion v17; litote sur l'importance de la mort v2; euphémisme . V8; periphrase mort Mort: seul principe « égalitaire » v15 Il parle de suicide , v3 Il était libertin donc on n'a pas besoin de religion , l'intelligence peut tout expliquer v50-55 ;

là, je serais impuissant et malheureux. Mais j'avançais lentement; plus de sentier; j'étais vraiment perdu ... Combien de temps marchai-je ? je l'ignore. Plus j'allais, plus mes forces devenaient incertaines et quelquefois je trébuchais contre une racine. Je n'avais pas atteint le bout e mon courage; mais j'avais épuisé ma vigilance, je mourais de fatigue. J'étais devenu insensible; en moi l'esprit de résistance, réduit à rien, ne me fournissait plus même un sursaut lorsque je butais contre un caillou

véritable déchéance aux yeux de Balzac. La contrainte, si elle est matérielle, réside aussi dans la forme. L’écrivain se plie à un genre et aux règles qui lui sont propres, lesquelles peuvent le mener, à force d’exercices, à la perfection. Ainsi Racine, en dépit d’un très faible corpus de mots, parvient-il, par l’entremise d’une connaissance solide de la métrique et de la prosodie, à susciter des émotions tout aussi fortes que lors d’un représentation du Roi Lear de Shakespeare, où le vocabulaire

farce; Populace du style au fond de l'ombre éparse; Vilains, rustres, croquants, que Vaugelas leur chef Dans le bagne Lexique avait marqué d'une F; N'exprimant que la vie abjecte et familière, Vils, dégradés, flétris, bourgeois, bons pour Molière. Racine regardait ces marauds de travers; Si Corneille en trouvait un blotti dans son vers, Il le gardait, trop grand pour dire: Qu'il s'en aille; Et Voltaire criait: Corneille s'encanaille! Le bonhomme Corneille, humble, se tenait coi. Alors, brigand

confrontés à la violence, à la maladie, à la mort. Ils expriment leurs souffrances verbalement (plainte, prière, larmes, cris) ou par la gestuelle (théâtre). • Il s'agit d'émouvoir le lecteur en le sensibilisant à la souffrance du personnage. • Racine, Phèdre. | Tragique | • C'est un texte qui évoque un être confronté à des forces qui le dépasse, aux drames de la condition humaine (mort, faiblesse...) cet être se comporte avec grandeur face à une situation sans issue à laquelle le destin

politiques et morales  l’idéal d’équilibre et d’honnêteté -l’usage des sentences et des -l’utilisation de l’alexandrin -l’antithèse, les effets de - utilisation de maximes, maximes, -multiplication des métaphores contraste et l’hyperbole -litotes (pour respecter la -la citation de la Bible et des et des allégories, -le théâtre dans le théâtre & Bienséance) textes de l’Antiquité, -création de mots nouveaux la complexification de - parallélisme & symétrie -interpellation du lecteur l’intrigue

Rodrigue », Louis XIII accord au père de Corneille des lettres de noblesse. Le cid fit Pierre Corneille comme le maître incontesté de la dramaturgie. LE THEME ET CONTEXT HISTORIQUE « Corneille peint les hommes tels qu’ils devraient être et Racine tels qu’ils sont. » La Bruyère L’idée de l’amour et honneur joue un rôle crucial auprès de cette pièce. Les personnages dans Le Cid sont mis en face des dilemme impossible à résoudre, le nœud cornélien ：choisir entre l’amour et l’honneur, lutte

exemple comme marque poétique et qui passe souvent par une périphrase avec également une fonction métaphorique « La Parque t'a tuée, et cendres tu reposes » — Ronsard, Sur la mort de Marie, V - Comme on voit sur la branche au mois de May la rose la litote atténuation qui suggère le plus en disant le moins, souvent à l'aide d'une tournure négative (ex.1). Également procédé d'ironie (ex.2) ex.1 : « Va, je ne te hais point » (= je t'aime) (Corneille) - « Ce n'est pas drôle » (= c'est dramatique) ex

Figure de style allégorie :figure de style qui consiste à personnifier une idée. allitération : répétition de plusieurs consonnes identiques. exemple : «Pour qui sont ces serpent qui sifflent sur vos têtes ?» (Racine) amplification : figure de style qui consiste à faire progresser l’idée par une énumération de termes de plus en plus forts et souvent de longueur croissante. anaphore : figure de style qui consiste à commencer une série de phrases ou de vers par le même mot