Racine Et La Litote

- Utilisation de maximes, -Litotes (pour respecter la Bienséance) - Parallélisme & symétrie Auteurs : Corneille (Le Cid, 1637) Racine (Andromaque, 1667) Molière (L’Avare, 1668) La Fontaine (Fables, 1668-1693) La Bruyère (Les Caractères, 1688) Les Lumières (1715-1789) : Les écrivains

du avec les contraintes jeux sur l’identité sociales, politiques et •les incertitudes du bonheur morales toujours menacé • l’idéal d’équilibre et d’honnêteté -l’antithèse, les effets de - utilisation de maximes, contraste et l’hyperbole -litotes (pour respecter la -le théâtre dans le théâtre & Bienséance) la complexification de - parallélisme & symétrie l’intrigue romanesque Les écrivains des Lumières s’engagent afin de répandre le savoir et de favoriser l’exercice de la raison

condamnée ? »(Racine)   2 Les figures de substitution • La périphrase remplace un mot par une expression complexe. Le compositeur des Noces de Figaro pour Mozart. • La métonymie désigne un élément par un autre élément ayant une relation logique avec le premier. Un Zola, pour un roman écrit par Zola. • La synecdoque est une forme particulière de la métonymie, fondée sur un rapport d’inclusion : on désigne le tout par la partie. « J’ignore le destin d’une tête si chère » (Racine).   3 Les figures

et des sentiments humains. L’individu face aux contraintes sociales, politiques et morales. Idéal d’équilibre et d’honnêteté. Maximes et formules générales. Litote : permet le respect de la bienséance. Effets de parallélisme et symétrie. BOILEAU Art poétique CORNEILLE (le Cid 1637) BOSSUET (Oraisons funèbres 1653) PASCAL (pensées) RACINE (Andromaque 1667) MOLIERE (l’avare 1668) LAFONTAINE (Fables 1678) LA BRUYERE (Les caractères1688) EPOQUE PRINCIPES OBJECTIFS FORMES PRIVILEGIEES THEMES

sociales, politiques et morales  l’idéal d’équilibre et d’honnêteté -l’usage des sentences et des -l’utilisation de l’alexandrin -l’antithèse, les effets de - utilisation de maximes, maximes, -multiplication des métaphores contraste et l’hyperbole -litotes (pour respecter la -la citation de la Bible et des et des allégories, -le théâtre dans le théâtre & Bienséance) textes de l’Antiquité, -création de mots nouveaux la complexification de - parallélisme & symétrie -interpellation du lecteur l’intrigue

marque poétique et qui passe souvent par une périphrase avec également une fonction métaphorique | « La Parque t'a tuée, et cendres tu reposes » — Ronsard, Sur la mort de Marie, V - Comme on voit sur la branche au mois de May la rose | la litote | atténuation qui suggère le plus en disant le moins, souvent à l'aide d'une tournure négative (ex.1). Également procédé d'ironie (ex.2) | ex.1 : « Va, je ne te hais point » (= je t'aime) (Corneille) - « Ce n'est pas drôle » (= c'est dramatique)

long cou. ( La Fontaine) FIGURES D’ATTÉNUATION L'euphémisme consiste à remplacer une réalité désagréable, choquante ou perçue négativement par une expression adoucie. Ex. : Nous nous en allons et tôt serons étendus sous la lame. (Ronsard) La litote consiste à renforcer une idée en la remplaçant par une expression atténuée. Elle a souvent la forme d’une négation. Ex. : C’était difficile de ne pas l’aimer. (Hémon) PROCÉDÉS SYNTAXIQUES Le chiasme consiste à mettre en parallèle deux groupes

par exemple l'hypallage ou métonymie (ex.: l'Afrique pour les Africains), ou encore la synecdoque (ex. : le fer pour le glaive). Les figures correspondent à des tours de discours où la pensée exprimée diffère de sa représentation usuelle (ex. : la litote, l'hyperbole, etc.). La distinction entre les tropes et les figures n'est pas toujours nette, me^me chez les auteurs classiques. (iv)la convenance (decorum) consiste à approprier le style à son objet. Pour ce faire, il faut tenir compte : (a) du sujet

l'appellation ou le titre employé, mais d'une créature particulièrement perverse (elle prend goût aux confidences de son mari, par sadisme)- Les litotes, procédés au service de l'exagération, de l'amplification du propos («le grave magistrat qui a acheté pour quelque argent le droit de faire ces expériences»). Les mots « quelque » et « expériences » sont des litotes car ils en disent moins pour laisser entendre beaucoup plus qu'il n'est dit véritablement. Le lecteur sent bien la faiblesse du sens de l'expression

le plaisir et l’aversion. Ces émotions se changent en passions chez l’homme grâce au travail de la conscience réfléchie et de son attribut essentiel, le langage. Une place à part sera faite à l’amour et à la haine, car si ceux-ci plongent leurs racines dans les émotions animales, ils sont en revanche le propre de l’homme et ne peuvent exister sans une conscience de soi confrontée à celle de l’autre. » P.188-190 Dans cette extrait le point de vue de l’auteur change, il essaye de se mettre du côté