Racine Et La Litote

vie est attachée aux lieux dans lesquels les hommes les emploient :« les galères » (v.6), « les halles » (v.8), « le bagne » (v.12). Ces mots qui sont utilisés dans les lieux demauvaise vie sont confrontés ensuite aux auteurs classiques (Molière, Racine, Corneille) qui les jugentdifféremment. 2°/ Après lui Cette seconde partie du poème débute avec fracas : c'est l'arrivée tonitruante du poète : « Alors,brigand, je viens » au vers 20. On peut établir un parallèle avec un des poèmes de Boileau

« Qu'est-il besoin de parler ici de la Très Chrétienne maison de France, qui par sa noble constitution (...). »  (Jacques Bossuet, « Oraison funèbre de Marie-Thérèse d'Autriche », Oraisons funèbres, 1656-1691.) 3. Les figures d'atténuation a. La litote La litote consiste à exprimer une idée ou un sentiment fort sous une forme atténuée : elle fait comprendre plus en disant moins. Souvent elle fonctionne en utilisant la négation de l'idée contraire (il n'est pas laid pour dire « il est beau »). Ex. : « Va

détournés pour atténuer une |métaphore spontanément admise par l’opinion commune et donc banale | |réalité cruelle ou déplaisante (« Il nous a quitté » = il est mort) |(« un teint de rose » / « une taille de guêpe ») | |Litote (nf) : emploi de termes atténués ou opposés afin de renforcer|Métonymie (nf) : Formule qui consiste à utiliser un terme logique en| |l’information donnée (« Va, je ne te hais point » Corneille) |remplacement du terme normal (« Je viens de

Devoir français / Julien Balloué 2B1 Bérénice est une tragédie classique écrite par Racine en 1671 relatant un amour impossible entre deux êtres séparés par un cruel dilemme vécu par Titus, le héros. Racine, dramaturge et historiographe du roi est considéré comme l’un des plus grand auteurs de tragédies de la période classique de la France de Louis XIV. Cette discussion entre les deux personnages du cinquième acte montre admirablement les deux personnages faisant face à leur devoir ; Bérénice

chat n’est plus : litote • L’âme du petit chat s’en est allée vers des Cieux plus cléments : personnification métaphorique Un message peut donc être formulé de différentes manières, à l’aide d’une grande variété de procédés d’écriture. Dans l’exemple, toutes les façons d’écrire utilisés portent le même sens général : le locuteur transmet l’information selon laquelle l’animal est décédé. Mais chacune des formules utilisées se distingue par des nuances de sens : avec la litote, le locuteur atténue

celle d’un pronom sujet différent de celui qui est entendu dans une subordonnée participiale. C’est un procédé qui traduit une forte émotion, la plupart du temps. Ex : « Vous voulez que ce Dieu vous comble de bienfaits Et ne l’aimer jamais ? [...] » Racine, Athalie ( n.f.)  : Répétition d’un même mot ou d’un groupe de mots au début de plusieurs propositions, phrases ou vers successifs. C’est une figure d’insistance courante dans la poésie et l’argumentation. ( n.f.) : Figure argumentative qui consiste

dans un mot. Ex : « Mman » est la syncope du mot « maman ». 2) Les figures de continuité phonique : On a : * L’allitération : c’est la répétition des phénomènes consonantiques. Ex : Quels sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes. Racine * L’assonance : c’est la répétition des phénomènes vocaliques. Ex : Le près est vénéneux mais joli en automne. Guillaume Apollinaire. * Paronomase : figure de rhétorique qui consiste à rapprocher dans une phrase des mots ayant des sonorités

qui reçoit plus qu’il ne consume ; celui-là est pauvre, dont la dépense excède la recette. La Bruyère • La gradation : succession de mots ou de groupes de mots d’intensité croissante ou décroissante. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Racine, Phèdre • L ’accumulation : figure qui consiste à accumuler les mots pour rendre l’idée plus frappante. « ils ont des pointes, des épines, des lames, des griffes, des ongles ». • La répétition : un même mot est repris plusieurs fois

procès, de romances | Une allégorie | Personnification d'une idée abstraite | l’Amour, la Mort | Une allitération | Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots | « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine, Andromaque) | Une amplification ou gradation | Ascendante ou descendante dans une accumulation | « C'en est fait ; je n'en puis plus ; je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré. » (L'Avare, Molière) | Une analepse | Dans un récit, c’est un

D'abord, nous allons analyser chaque personnage des œuvres tragiques de Corneille, Sénèque et Racine pour ensuite pouvoir comparer leur dimension tragique. Tout d'abord, intéressons nous à Camille, un personnage tirée de l’œuvre de Corneille, Horace. Camille est une romaine fiancée à un Albains, ennemis de la cité romaine. On peut dire qu'il s'agit ici d'une situation tragique pour la jeune femme car en effet, elle voit sont futur époux tuer par son frère et en souffre, on le voit par le registre