Rapprochement Autre Texte Candide

énoncé (en général un verbe) deux syntagmes de natures incompatibles (concret/abstrait) en jouant sur la polysémie du verbe initial ou de l'élément qu'ils ont en commun. Exemple : "Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques Vêtu de probité candide et de lin blanc." (Victor Hugo, « Booz endormi », La Légende des siècles, 1859, 1877 et 1883.) 2. Les figures d'insistance a. La répétition et l'anaphore On distingue la répétition simple de l'anaphore qui reprend un même mot à la même place, souvent

l’Encyclopédie, projet visant à rassembler toutes les connaissances acquises à l’époque mais également à diffuser une contestation issue des nouvelles idées du siècle des Lumières. Depuis le célèbre épisode des troglodytes jusqu’au chapitre III de « Candide » et de l’article « Guerre » du dictionnaire philosophique de Voltaire, la guerre reste un sujet courrant pour les philosophes des lumières. Il s’agit de faire remarquer ses conséquences sur l’économie et la démographie d’un pays. Damilaville suspend

DEFINITION BUT EXEMPLES   accumulation n.f. RHET Énumération qui crée un effet de profusion. Effet de profusion.   allégorie n.f. RHET Personnification d'une idée abstraite ; mais ce peut être aussi une métaphore continuée tout au long d'un texte d'une certaine longueur. Effet didactique. Métaphore continuée : l'albatros dans le poème du même titre de Baudelaire. Personnification d'une idée abstraite : la Vérité dans le poème Tristesse d'Alfred de Musset allitération n.f. POET Répétition

Montesquieu comme plus tard chez Voltaire dans Candide et dans l’Encyclopédie I. Montesquieu, faux porte-parole des esclavagistes Montesquieu, plutôt que de dénoncer la barbarie des esclavagistes, laisse la parole à l’esclavagiste pour mieux montrer l’absurdité de son raisonnement. Le texte dominé par l’ironie qui invite à une lecture à penser l'opposé de l’argumentaire proposé. => L’introduction d’un double discours * Montesquieu indique dès le début du texte sa stratégie : proposition hypothétique:

littéral du sens symbolique. Le symbole est un système de métaphores suivies. Ex. L'albatros de Baudelaire, le pélican de "La nuit de mai" de Musset II. LES FIGURES DE LA SUBSTITUTION La MÉTONYMIE (échange de noms): elle remplace un terme par un autre qui est lié au premier par un rapport logique. Les deux éléments appartiennent au même ensemble, sont liés par un rapport de contiguïté. . Elle peut substituer : -le contenant au contenu (ex. boire un verre), -l'effet à la cause (ex. Socrate a bu

Texte 13 ORAL Extrait de Dom Juan (1665) Acte 5 Scène 4,5 et 6 par Molière Intro : Jean Baptiste Poquelin dit Molière est un écrivain dramaturge Français du 17e siècle, siècle du Classicisme. Le Classicisme est un mouvement littéraire qui recherche l'idéal esthétique et humain par les auteurs de la seconde moitié du 17e siècle. Il vise à l'imitation des anciens et porte un goût à l'analyse littéraire. Il aborde les thèmes de la séparation des genres et respecte les trois unités au théâtre (lieu

paronymes, c’est-à-dire des mots qui se ressemblent sur le plan des sonorités mais qui n’ont pas le même signifié. « Veni, vidi, vixi », César. 2. Les figures qui jouent avec les mots Anagramme (une): mot composé à partir des lettres d’un autre. Le rapprochement visuel créé entre deux signifiants tend ainsi à rapprocher les deux signifiés. Ex : « Marie, qui voudrait vostre beau nom tourner,/Il trouveroit Aimer …». Ronsard joue ici sur l’anagramme entre Marie et Aimer. Contrepèterie : jeu de mots qui

.................................................................................11 C. Chronologie de la vie de Voltaire........................................................................................................................12 D. Candide ou l’optimisme.......................................................................................................................................13 1. Introduction...............................................................................

Séquence 1 : L’Argumentation Séance 1, texte 1, « Sur Démocrite et Héraclite » Intro Montaigne Montaigne cite ces 2 philosophes présocratiques : 1. Démocrite représente l’optimisme 2. Héraclite représente le pessimisme. Montaigne se présente comme un penseur détaché de l’autorité de l’église qui a été dominante au Moyen-âge pour ce placer sous celle des philosophes de l’antiquité gréco-latine. 3. Du IV siècle au XVI siècle c’est le Théocentrisme 4. A partir

LES FIGURES DE STYLE Les figures de la ressemblance : La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d’un point commun. Le rapprochement s’effectue grâce à un mot-outil de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ... Ex : Il est beau comme un dieu. Elle avait des yeux pareils à des agathes. Ce champ de blé ressemble à un océan. La métaphore : s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre 2 éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. -+- frappante que la comparaison