Ratios Financiers

Flux Financiers E : Estimé EBE : Excédent Brut d’Exploitation EBIT: Earnings Before Interests and Taxes EBITDA: Earnings Before Interests, Taxes, Depreciation, and Amortization IS : Impôt sur les Sociétés K : Mille M : Million MAD: Dirham Marocain MADEX: Moroccan Most Active Shares Index MASI: Moroccan All Shares Index Md : Milliard MN : Marge nette MOP : Marge Opérationnelle ND : Non Disponible NS : Non Significatif P/B : Price to Book Ratio P/E ou PER: Price Earning Ratio P/EBITDA:

Question 33- Quels ratios retenez-vous pour construire une analyse motivée de la qualité d'une entreprise ? Et quel sens leur donnez-vous ? INTRODUCTION Les états comptables d'une entreprise sont notamment constitués du bilan et du compte de résultat. Le bilan constitue une photographie de la situation d'une entreprise à un instant T alors que le compte de résultat présente l'ensemble des mouvements pour une période donnée. On parlera alors par exemple du bilan au 31/12/N et du compte de résultat

Valeur (MPV) pallient certaines limites des indicateurs financiers traditionnels. Ils ne sont pas pour autant la panacée (figure B). - Les risques des indicateurs traditionnels Bénéfice par action et PER reflètent mal la performance opérationnelle de l'entreprise et ne tiennent pas compte du capital investi. Les indicateurs utilisés traditionnellement pour estimer la valeur d’une entreprise sont le bénéfice par action et le PER (Price Earning Ratio, rapport entre le prix de l’action et le bénéfice par

indirectes. Les méthodes directes font intervenir des agrégats après frais financiers. Les méthodes indirectes utilisent des agrégats avant frais financiers. Dans ces appréciations, il convient de s’assurer de la cohérence du calcul de le l’´EBITDA et de l’EBIT entre la société évaluée et les sociétés de l’échantillon comparable, notamment si les référentiels comptables sont différents. Méthodes directes : PER : price earning ratio PER = capitalisation boursière / résultat net P /FP = capitalisation

plus efficient qu’un investissement isolé dans l’un des deux titres, dans le sens où il offre un meilleur rapport « risque/rendement ». On peut en effet considérer que l’on « achète » la possibilité d’une rentabilité élevée par un risque élevé. Le ratio de Sharpe consiste à mettre ces deux mesures en relation. On peut considérer que tous les investissements qui offrent le même rapport entre rentabilité espérée et écart-type se trouvent sur une même « frontière efficiente ». Le tableau ci-dessous montre

la mesure de performance …………………………………………………………3 II. Les mesures classiques de la performance ……....................................................4 1. L'alpha de Jensen…………………………………………………………………………………………….4 2. Le ratio de Sharpe…………………………………………………………………………………………….5 3. Le ratio de Treynor……………………………………………………………………………………………6 4. Les problèmes potentiels liés à l’utilisation des mesures classiques………………….6 5. Mesures basés sur le MEA……………………………………………………………………………….7 III. Les Mesures athéoriques

souscripteur : à une rémunération fixe ou variable périodique (intérêts) ; au remboursement du capital prêté. Trois caractéristiques importantes pour une obligation : sa valeur nominale son prix d'émission son prix de remboursement Comme tout actif financier, la valeur fondamentale d’une obligation est égale à la somme actualisée des flux de revenus et de capital qu’elle procure sur sa durée de vie. Valeur fondamentale = cumul des flux d'intérêt actualisés + remboursement du capital actualisé = valeur

Comparaison des risques et des performances de l’action et de l’indice ------------------------------------------------- Moyenne des rentabilités et Écart type L'écart type mesure la volatilité d'un actif, c’est pour cela qu’appliqué à un actif financier il mesure le risque lié à cet actif. Observations : La volatilité de L’OREAL est plus élevée que celle du CAC40. En effet elle est de 0.057904884 alors que celle du CAC40 est de 0.04878867, on peut donc dire que l’action L’OREAL est plus rentable

des commissions provenant des services dans le produit net bancaire est de plus en plus importante alors que celle des intérêts est en baisse. Les banques interviennent sur le marché monétaire, sur le marché interbancaire et sur le marché financier ainsi que sur d’autres marchés spécialisés pour plusieurs raisons telles que pour ; ➢ Equilibrer la trésorerie : en plaçant les excédents de trésorerie ou en compensant les insuffisances. ➢ Limiter le risque : en transformant les ressources

portefeuille Le CAPM La méthode APT Finance comportementale Le ratio de Sharpe Le ratio de Treynor L'alpha de Jensen La volatilité et l'écart-type La covariance et la variance La corrélation Le Beta La VAR (value at risk) Gestion active et passive Gestion traditionnelle et alternative Exemples de gestion traditionnelle Stratégies de gestion alternative La formule de kelly Le "Capital Asset Pricing Model" (CAPM) ou Modèle d'évaluation des actifs financiers (MEDAF) est le modèle d'évaluation le plus célèbre