Rawls Nozick

Introduction générale : 3 A. Eléments biographiques 4 B. La Théorie de la justice de JOHN RAWLS : Analyses et discutions 5 C. La théorie des capacités développée par A.SEN : 7 D. Synthèse et discutions 9 Conclusion générale : 11 Introduction générale : Depuis les années 1970, une remise en question des principes et des modalités des politiques sociales se produit dans le contexte d’une transformation des phénomènes de pauvreté et d’exclusion, et d’un point de vue

sociale... 1ère conception : les inégalités sont justes à condition que la liberté et l'égalité des droits des individus soient respectées. C’est ce que pense un certain nombre d’auteurs privilégiant la liberté à l’égalité (Friedrich Hayek, Robert Nozick...). Pour eux, la poursuite de l’idéal égalitaire est illusoire. Supposons une société dans laquelle tous les individus auraient exactement les mêmes moyens d’existence au départ. Très vite, des inégalités vont apparaître car l’usage des ressources

(documents pages 298-299) Document 2: La théorie des libertariens ( R. Nozick, F. Hayek) revendique l'idée d'égalité des droits fondamentaux, tout comme les libéraux-égalitaires . Celle des utilitaristes (J. Bentham), l'égalité de bonheur subjectif. La théorie égalitariste (K. Marx) prône l'égalité réelle des ressources. Et enfin, la théorie des libéraux-égalitaires (J. Rawls) qui prône l'idée l'égalité des chances. John Rawls revendique l'égalité des chances en instaurant un ordre de priorité dans

En faisant le tour des références incontournables structurant les pans de la réflexion économique et sociale actuelle, nos deux auteurs font œuvre utile avec une concision et une précision aussi utile au néophyte qu’au spécialiste (1). Depuis John Rawls et sa Théorie de la Justice (1971), une littérature conséquente s’est développée autour des fondements des institutions sociales et de l’organisation collective des sociétés. Indexées sur la question centrale de la justice sociale, différentes postures

L’Etat de nature* Robert Nozick Selon l'état de nature décrit par Locke, les individus se trouvent dans un « état où ils sont parfaitement libres d'ordonner leurs actions, de disposer de leurs biens et de leurs personnes comme ils l'entendent, dans les limites du droit naturel, sans demander l'autorisation d'aucun autre homme ni dépendre de sa volonté »[1] (sect. 4).. Les limites du droit naturel stipulent que « nul ne doit léser autrui dans sa vie, sa santé, sa liberté, ni ses biens » (sect.

Commentaire du texte de Robert Nozick Réfléchir en épistémologie, et plus particulièrement réfléchir sur les liens entre croyances et connaissances, amène immanquablement à se pencher sur l’article d’Edmund L. Gettier « Is Justified True Belief Knowledge? » publié en 1963. Dans cet article, Gettier partant du fait que connaissance implique croyance vraie et justifiée démontre à l’aide du célèbre exemple des deux hommes Smith et Jones postulant pour un même poste, que la réciproque n’est pas suffisante

l’équité 1) Assurer une juste égalité des chances La principale critique de l’utilitarisme est celle formulée par John Rawls. Dans la Théorie de la Justice publiée en 1971, John Rawls reproche aux utilitaristes de négliger les droits et la liberté des individus, et d’accepter que le bonheur de la majorité se fasse au détriment de celui d’une minorité : les plus pauvres. Rawls défend un libéralisme égalitaire selon lequel les libertés dont jouit un individu ne peuvent être limitées que par la nécessité

Théorie de la justice, de John RAWLS                      Ce livre de philosophie politique et morale est considéré dans le monde anglo-saxon comme un des plus importants dans ce domaine. John RAWLS (1921-2002) y renouvelle le débat sur la justice, mais pas seulement et en tout cas pas dans un sens étroit car aux Etats-unis, le pouvoir judiciaire existe réellement ; il discute ni plus ni moins des fondements de la vie politique, de la nature de la démocratie. Intellectuel engagé, le professeur de

John Rawls’ Theory of Justice ‘Each person possesses an inviolability founded on justice that even the welfare of society as a whole cannot override. For this reason justice denies that the loss of freedom for some is made right by a greater good shared by others. It does not allow that the sacrifices imposed on a few are outweighed by the larger sum of advantages enjoyed by many. Therefore in a just society the liberties of equal citizenship are taken as settled; the rights secured by justice

permettent de mettre en lumière les enjeux présentés dans votre étude de cas. Il vous faudra faire appel à au moins deux (2) théories morales parmi celles présentées en classe : l’éthique de Kant et la déontologie, l’utilitarisme, Nozick, la théorie de la justice de John Rawls ou l’éthique de la responsabilité de Jonas. Comme il s’agit de l’étape clé de votre présentation, il faudra allouer plus de temps à cette démarche qu’aux autres étapes lors de l’exposé. Objectif d’étape : Utiliser les théories