Reconnaissance préalable de culpabilité en procédure pénale française

INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE ET D’ADMINISTRATION DES ENTREPRISES CYCLE D’EXPERTISE COMPTABLE (C.E.C) L’EXPERT-COMPTABLE FACE A L’ABUS DE BIENS SOCIAUX : NOTION PENALE – DEVOIR DE CONSEIL – SECRET PROFESSIONNEL – RESPONSABILITES MÉMOIRE PRÉSENTÉ POUR L’OBTENTION DU DIPLÔME NATIONAL D’EXPERT -COMPTABLE PAR M. BA-SIDI M’HAMDI ALAOUI MEMBRES DU JURY Président : M. Mohamed BELHKAYAT ZOUKKARI –Expert -Comptable DPLE Directeur de recherche : M. Larbi EL AOUFIR – Expert-Comptable

malgré la multiplicité apparente des intéressés (= des associés composant la personnalité morale). Elles ont des droits ces personnes morales mais aussi des obligations c’est-à-dire des dettes, elles peuvent encourir une responsabilité civile et même pénal depuis 1994. On reconnaît aujourd’hui à la personne morale des attributs extrapatrimoniaux, un nom, un domicile, un honneur et l’on peut dire aussi qu’elle naît, qu’elle vit, qu’elle meurt un peu à la manière d’une personne physique. Venu des

détournement de la loi au service de l’euthanasie. L’objectif recherché est le respect de la dignité de la personne humaine, et l’atténuation des souffrances en fin de vie. La position du Conseil d’Etat est qu’il ne faut pas modifier la législation française qui consacre l’interdit de donner la mort. L’accent est donc mis sur l’importance des soins palliatifs qui devrait avoir pour effet de rendre de plus en plus rares, voire inexistantes, les situations d’euthanasies. En effet, le Conseil d’Etat rappelle

DROIT PÉNAL INTERNATIONAL | Introduction : * 1st rappel : définitions Le droit pénal international peut se définir d'après LOMBOIS comme : « l'ensemble que forme la discipline juridique ayant pour objet les rapports du droit de punir et de la souveraineté des Etats ». Débat sur la différence DPI/DIP voir article M.MASSE « À la recherche d'un plan, peut être même d'un titre pour une nouvelle discipline juridique » ; Mélange Claude LOMBOI ; Apprendre à douter : question sur le droit

d’engager les poursuites. Leurs décisions peuvent être influencées par le ministère de la justice, ils ont des consignes pour accélérer ou ralentir certaines procédures. Ils interviennent en matière de :             Famille (adoption, filiation)             Droit des sociétés (procédures de redressement judiciaire, faillites)             Droit pénal             Tutelle   Ces acteurs sont « irresponsables », c'est-à-dire qu’on ne peut pas considérer qu’ils fassent des fautes professionnelles

juges sont pourvus de l’autorité de la choses jugées. Le juge d’Etat a en plus l’Imperium : c’est la force exécutoire. Il a l’épée de la justice que n’a pas l’arbitre. Ce dernier n’a que la parole de la justice. L’autorité de chose jugée, c’est la reconnaissance de valeur juridique. Elle a une valeur de vérité en Droit. Ce qui a été jugé ne peut pas être rejugé. Le juge a le pouvoir de jugé, ce qui suppose une investiture, une habilitation d’un ordre juridique ou privée. Un jugement rendu par un personnage

été le Christianisme qui voulait une conception plus juste de l’homme avec le temps et l’école du Droit naturel c’est-à-dire la Révolution et le siècle des Lumières. On tend de plus en plus vers une indistinction. (Cf. article 1 de la Constitution française et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen). En 1789, La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen n’est qu’un texte et n’exprime pas une distinction claire. A - Le droit de la personne. En 1789, il y a encore de l’esclavage

juger 7 II. Les institutions judiciaires 7 A. La séparation des fonctions administratives et judiciaires 7 B. Les juges et les auxiliaires de justice 8 C. Le procès 9 III. La justice 9 A. Notion de justice civile, pénale et administrative 9 B. La fonction de juger 9 C. Le service public de la justice 9 IV. Aperçu historique 10 A. Mise en place des institutions (1790-1810) 10 B. Stabilité des institutions (1810-1958) 10 C. Rénovation

de la res publicae royale au XIIème siècle pour que cette prérogative régalienne soit récupérée par le Capétien. La justice apparaît donc jusqu’au XVème siècle comme l’expression parfaite de la souveraineté du monarque. Par d’habiles moyens de procédures les justices seigneuriales vont être mises au pas par le roi et seront soumises à la justice royale. Les temps modernes sont donc ceux du triomphe de la justice étatique. Les justices municipales sont en effet désormais considérées comme concédées

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