Redistribution Et Efficacité économique

Nous allons étudié 6 thèmes : Le fondement théorique → Qu'est ce qui justifie les politiques économique ? La politique Budgétaire → L'état prend de l'argent au citoyen et va leur en redonné La politique monétaire → Un des problème aujourd'hui en France, c'est que la monnaie nous a échappé ( Europe qui gère) La politique de change → Beaucoup de gens pense qu'il y a un problème avec l'euro La politique de l'emploi. La politiques de la croissance → Car l'idée de base est

Après la seconde guerre mondiale, et pendant de longues années, les politiques monétaire et budgétaire étaient privilégiées par les économistes. A partir de la fin de la décennie 1970 alors que la crise économique s'installait, les attitudes à l'égard de la fiscalité ont changé, principalement en raison de l'échec des politiques contacycliques de stabilisation et de l'émergence de l'économie de l'offre. L'intérêt pour la politique fiscale s'est accru durant les années 1990 dans les nations européennes

l’économie. ➢ On se pose différentes questions par rapport au rôle de l’Etat dans l’économie : a) Quand doit l’Etat intervenir ? → L’Etat intervient par souci de ● efficacité : son but est d’augmenter l’activité économique du pays → augmenter la taille du gâteau ● équité : le marché à lui seul ne s’occupe pas de la

intérêt dans la vie économique. 2. Cadre du sujet : La croissance et la compétitivité d’un économie sont fonctions de l’I. Thématique : lien avec la croissance, le progrès technique, la compétitivité internationale, l’emploi, le niveau de vie… 3. Problématique : ( Cf précédemment ) 4. Plan : I. La décision d’investir est d’abord fonction du profit escompté et dans ce cas les critères de décision sont d’ordre économique et financier. A. Les critères d’ordre économique. → Le niveau de la demande

Les Inégalités économiques sur longue période, Thomas Piketty In Les grandes questions économiques et sociales (II) La question des inégalités et de la redistribution a toujours été au cœur du conflit politique (surtout dans les sociétés démocratiques). L’inégalité des conditions de vie est due à des facteurs que les individus ne contrôlent pas (dotation initiale, chance) => l’Etat doit améliorer le sort des personnes les plus défavorisées (celles qui doivent faire face aux facteurs non contrôlables

précédent, certaines régions demeurent ancrées dans des états de privations en tous genres. Ce paradoxe a conduit les économistes du développement à accorder à la question des inégalités une place centrale dans l’étude de la relation entre croissance économique et pauvreté. En effet, les échecs répétés des politiques d’ajustement structurel (PAS), puis, plus généralement, les résultats insuffisants produits par une libéralisation des échanges et un recours au marché accrus, ont fait apparaître une nouvelle

8174 Université Paris I-Panthéon Sorbonne Après la seconde guerre mondiale, et pendant de longues années, les politiques monétaire et budgétaire étaient privilégiées par les économistes. A partir de la fin de la décennie 1970 alors que la crise économique s'installait, les attitudes à l'égard de la fiscalité ont changé, principalement en raison de l'échec des politiques contacycliques de stabilisation et de l'émergence de l'économie de l'offre. L'intérêt pour la politique fiscale s'est accru durant

nouvelles perspectives à nos sociétés. Il parle d'un « État-providence qui est malade de la Crise », il traverse une crise financière, perd de son efficacité économique et sociale et son extension est freinée par certaines évolutions culturelles. Pour l'auteur, l'État-providence doit être analysé « en termes de contre-productivité », les redistributions et donc l'imposition augmentent entraînant une hausse des prélèvements obligatoires que refuse la population. Cette crise est due tout d'abord à une

stabilisation macroéconomique), pour palier les défaillances du marché (fonction d’allocation des ressources) ou pour de motifs de justice sociale (fonction de redistribution des richesses). - Consensus semble s’être formé autour de Richard A. Musgrave (1952) qui reconnaît trois fonctions à l’Etat : - du fait de l’existence de cycles économiques : une fonction de stabilisation macroéconomique. - le premier théorème de l’économie du bien-être nous enseigne que, sous certaines conditions, l’équilibre

eco Synthèse de cours chapitre 1 : Le prix et les décisions des agents économiques I – L’influence du prix sur le comportement des agents - Lorsque les prix peuvent varier librement, ils fournissent une information importante, permettant de guider les agents économiques (offreurs et demandeurs) dans leurs décisions de production et de consommation. - Quand le prix d’un bien ou service donné augmente, les demandeurs sont obligés de réaliser des arbitrages entre la satisfaction de leur besoin