Redistribution Intérêt Et Limites

– l'allocation des ressources (leur affectation entre différents usages, selon les objectifs poursuivis ou à cause de défaillances de marché). la stabilisation économique (pour corriger des écarts par rapport à l'évolution souhaitée). la redistribution (entre régions, entre acteurs) qui vise à modifier la répartition des revenus. L'intervention de l'État entend favoriser l'émergence des marchés, pallier les défaillances du marché, corriger la rationalité limitée des agents économiques et

exactement), a élaboré la “loi des avantages comparatifs” pour tenter de convaincre – sans succès – le Parlement britannique de libéraliser les importations de blé, alors fortement taxées. Il avance que, du point de vue de l'efficacité, chaque Nation a intérêt à se spécialiser dans les domaines où elle dispose du plus d'avantges, quitte à abandonner à d'autres des domaines où son avantage relatif est moindre. Le gain d'efficacité lié à la spécialisation et à la division du travail entre les nations

supérieur a 50% de son prix de revient. Sociétés financières : financer, transformer et assurer/dépôt des autres secteurs institutionnels Les administrations publiques (APU) : produit des services non-marchand (prix< a 50% du prix de revient)/ la redistribution *3 types d’APU : -L’Etat -Organismes sociaux -Collectivités locales (communes, départements, régions) Les ISBLSM : (institutions sans but lucratif au service des ménages) -> associations, syndicats : Leurs fonctions principales : production

------------------------------------------------------ 9 Chapitre 1 : L’approche systémique et ses limites-------------------------------------------------- 11 Introduction -------------------------------------------------------------------------------------------------- 11 I. II. L’ambiguïté de l’approche structurelle ------------------------------------------------------------------------- 11 Origine et intérêt de l’approche systémique -------------------------------------------------------------------

Bénéfices distribués | Bénéfices non distribués | | | | | Intérêts | Dividendes | Autofinancement | salariés | Organismes sociaux | Administrations publiques centrales et locales | Entrepreneurs individuels | Apporteurs de capitaux Prêteurs | Actionnaires | Entreprises | | Entrepreneurs individuels : peuvent être salariés de leur propre entreprise et en percevoir les bénéfices * Revenus primaires : revenus avant redistribution * Pour les ménages : revenus de leur contribution à l’activité

au contraire, à un État interventionniste, fortement impliqué dans les sphères économique et sociale. L'interventionnisme est une politique par laquelle l'Etat participe à l'économie du pays quand cela lui paraît nécessaire pour protéger les intérêts des citoyens ou y développer des aspects de l'économie ou du social. On parle également d'interventionnisme lorsqu'un État s'ingère dans un conflit armé, de manière à y remédier. En premier lieu, le rôle de "gendarme des marchés" de l’État s’est

l’Economie : Rôle moteur dans le developpement de la prospérité : 1/ Manne importante de flux financiers sans risque 2/ Financement de la politique structurelle 3/ Financement de la politique conjoncturelle 4/ Le fonctionnariat 2nd partie : Les limites de l’accroissement de la dette publique : Frein à la prospérité : 1/ Impact négatif directe sur la génération présente 2/ Impact négatif sur les générations futures 3/ Le respect des indicateurs nationaux / mondialisation des normes comptables

l’inflation et le chômage.Pour Friedman, il existe un taux de chômage naturel. Sur le long terme, la courbe inflation-chômage est verticale, et le chômage est égal à ce taux « naturel ». Les relances budgétaires de l’Etat ont en outre plusieurs limites. En ce qui concerne l’imposition Laffer monter que le taux d’imposition ne doit pas être très élevé afin de ne pas freiner l’économie. Zone de rendement croissant de l’impôt Niveau de prélèvement Zone de rendement décroissant de l’impôt Niveau

réduite, l’Etat demeure un acteur central : selon sa taille et sa puissance, il assure la défense de ses intérêts, les besoins collectifs de sa population et de ses entreprises. Il rend l’espace national plus ou moins attractif par ses choix budgétaires, ses lois, sa politique d’aménagement du territoire. • Les Etats font face cependant à des réseaux dont le champ d’action n’est pas limité par des frontières : les ONG mobilisent l’opinion sur des causes transnationales (humanitaire, environnement

s’est réduite, l’Etat demeure un acteur central : selon sa taille et sa puissance, il assure la défense de ses intérêts, les besoins collectifs de sa population et de ses entreprises. Il rend l’espace national plus ou moins attractif par ses choix budgétaires, ses lois, sa politique d’aménagement du territoire. • Les Etats font face cependant à des réseaux dont le champ d’action n’est pas limité par des frontières : les ONG mobilisent l’opinion sur des causes transnationales (humanitaire, environnement