Redistribution Intérêt Et Limites

non-marchand des administrations publiques contribuent a la richesse nationale . Le revenu primaire est l’ensemble des revenus que les ménages tirent de leur participation directe ou indirecte à l'activité économique (salaire ou patrimoine) La redistribution correspond a la répartition des revenus après l’intervention de l’état, elle désigne l’ensemble des revenus de transferts qui vont venir modifier le revenu primaire des ménages (prélèvements obligatoires , cotisations sociales, allocations , prestations

loyer, interêt(placement) -revenus mixtes= revenus entreprise individuelle (artisan) rémunéra° son travail et capital investi ds entreprise (proprété+travail) -revenus capital= dividende, interêt Pouvoir d'achat => qtité biens et services qu'individu peut se procurer avec son revenu. Prix augmente + vite que revenus alors perte Pv achat. Sur revenus primaires, prélèvements obligatoires éffectués par Etat (impôt, taxes) ou organi sociaux (cotisa° Sécu S) servent à financer : redistribution. Etat

Les facteurs de croissance ▪ 12 – Les firmes multinationales dans l’économie mondiale ▪ 13 – La formation des salaires ▪ 14 – Les inégalités de revenus et de patrimoine ▪ 15 – Les objectifs et les moyens de la redistribution ▪ 16 – L’efficacité de la redistribution ▪ 17 – L’inégalité des richesses au niveau mondial ▪ 18 – Les modalités de financement des activités économiques ▪ 19 – Le marché financier ▪ 20 – Les institutions financières bancaires ▪ 21 – La globalisation

dans l’espace. C’est un des modèles de l’homme utilisé en sciences sociales. Cinq points le déterminent : 1. Parfaitement informé pour prendre une décision 2. Parfaitement rationnel (calcul, logique) 3. Egoïste (maximiser son utilité = intérêt = profit) 4. Agit seul, hors de l’action sociale 5. Universel Ce modèle n’existe pas, mais il permet de modéliser le comportement humain, afin de comprendre ses choix et ses décisions. Modèle réducteur, il n’explique cependant qu’une partie

7)x100=1641,5 3. Croissance française de 2008 à 2009 a diminué de 2% en valeur car : ((1907,6-1948,5)/ 1948,5) X 100 =-2 En volume elle diminue de 2,5 % en volume car : ( 1599-1641,5) / 1641,5 = -2,5 . On remarque que l’augmentation des prix limites l’augmentation du PIB en valeur. Exercice 2 . 1. Valeurs ajoutée IMPÔTS REVENU DU TRAVAILLE REVENU DU CAPITAL ETAT SALARIES

les ouvriers on prit conscience qu’ils avaient des intérêts communs à défendre et qu’ils doivent tout faire pour les défendre. Institutionnalisation des conflits : désigne toutes les formes de représentations, de participation aux négociations qui sont mises en place pour organiser, canaliser, trouver des solutions aux conflits et élaborer de nouvelles règles. Syndicat : c’est une association ayant pour objet la défense et la gestion des intérêts de ses membres. Il existe différents types de syndicats

richesses, le revenu avant redistribution d’un ménage (c’est-à-dire avant d’acquitter des prélèvements et de percevoir des prestations sociales) est comparé au revenu après redistribution, appelé revenu disponible. Pour comparer des ménages de taille différente, on utilise la notion de niveau de vie, en rapportant le revenu disponible au nombre d’unités de consommation duménage (UC) ou équivalents adultes3. Le niveau de vie correspond au revenu après redistribution par équivalent adulte. Par

chômage, c'est-à -dire des chômeurs de longue durée (plus d'un an, voire plus de deux ans pour certains). Cette prolongation du chômage a sur l'intégration des effets symétriques à ceux du travail ! Tout d'abord la diminution des revenus de la personne limite son accès à la société de consommation. Mais quand il dure, il peut avoir d'autres effets socialement très destructeurs du lien social. L'identité professionnelle, notamment, est remise en cause parce que le chômeur ne s'inscrit plus dans la division

formation des revenus 7 3. Les inégalités de la répartition 8 II. La redistribution des revenus 9 1. Sa légitimité 9 2. Les objectifs économiques 9 3. Les objectifs sociaux 9 4. Les instruments et les budgets 10 Conclusion 10 Chapitre 3 : La consommation et l’épargne 10 I. La fonction de consommation 11 1. La fonction keynésienne 11 2. la fonction d’épargne 11 3. Limites et prolongements 11 4. Le revenu permanent de Friedman 12 II. Analyse

| | | | |- Mettre en évidence les raisons justifiant la coordination des différents acteurs, l’évaluation des dispositifs prévus | | | | | Séquence 6. En quoi consiste l’économie de la santé et quel est son intérêt pour la viabilité et l’efficience du système de santé à long terme ? |- Présenter : production de soins ; consommation médicale totale et dépense courante de santé | | | | | |-Présenter les