Regalia

faire la loi le droit de nommer les auxiliaires de l'autorité royale (les agents du roi) le droit de rendre justice le droit de lever l'impôt et battre monnaie les prérogatives militaires → ce sont les compétences régaliennes (de « régalia » : pouvoir propre a la souveraineté royale). C'est donc le noyau dur des compétences de l'état (régaliennes). A la liste, il faudrait ajouter le pouvoir réglementaire, celui de police et le droit de conférer la nationalité. La souveraineté s'exprime

appelle le « siècle d'intranquillité », pas moins de 8 528 révoltes de communautés paysannes qui se politisent de plus en plus4. Contestation de la monarchie absolue[modifier | modifier le code] Louis XVI représenté en costume de sacre avec les regalia et la croix de l'ordre du Saint-Esprit par Antoine-François Callet (1781) En 1788, le pouvoir repose sur la monarchie absolue de droit divin. Le roi tient son pouvoir de Dieu comme le montre la cérémonie du sacre à Reims, marquant le début de son

oint le roi avec un mélange constitué par le St Crème avec une huile particulière (balsame) et ce mélange est consacré et bénit avant d’être administré sur le roi (dos, épaule, poitrine, tête, etc.) -          Couronnement, il se voit remettre les REGALIA, insigne de la royauté, les vêtements spécifiques (tunique et dalmatique particulière par ses symboles = bleu jacinthe (couleur que portait le Grand Prêtre d’Israël) parsemé de fleurs de lys). Il se voit remettre l’anneau (alliance matrimoniale entre

fait la loi. * Le droit de nommer les auxiliaires de l’autorité royale (fonctionnaires ojd). * Le droit de rendre justice. * Le droit de lever l’impôt. * Les prérogatives militaires. * Ce sont les compétences régaliennes (de « régalia » : pouvoirs propres à la souveraineté royale) noyau dur des compétences de l’Etat. De nos jours on peut rajouter par exemple : * Pouvoir réglementaire. * Pouvoir de police. * Droit de conférer la nationalité. La souveraineté s’exprime

Dominique INGRES (1780-1867), «Napoléon Ier sur le trône impérial», 1806, Huile sur toile 2,59 ×1,62 m, Paris, musée de l'Armée. L'Empereur est représenté de face, assis sur son trône, vêtu de la tunique et du grand manteau du sacre, portant les regalia : le sceptre de Charles V, dit de Charlemagne, et la main de justice, restaurés pour la circonstance par Martin-Guillaume Biennais (1764-1843, orfèvre au service de l’emprereur), la couronne de lauriers, à feuilles d'or, de Biennais. Il porte également

thaumaturgique du roi qui guérit les écrouelles. Jean le Bon, le premier, se rendit le lendemain de son sacre à Corbeny pour se recueillir sur la châsse de Marcoul, un saint guérisseur, avant de toucher et bénir pour la première fois les malades. Les regalias sont les instruments qui font le roi. On trouve la couronne en fleurs de lys, le sceptre porté dans la main droite portant au sommet une fleur de lys sur laquelle trône Charlemagne avec un sceptre et un globe : il s’agit là d’une discrètte approbation

Thaïlande et du Cambodge. Ainsi purifié, il accède enfin à l’état de roi. Revêtu des parures et de la majesté royales, il monte s’asseoir sur le très haut trône semblable à une montagne ; là, les brahmanes viennent lui présenter les regalia (épée et lances sacrées, parasol, mais aussi plusieurs sortes de récipients et de vases…) ainsi qu’un peu d’eau et de terre tirées des divers fleuves et rivières et de divers endroits du pays. Au terme de cette présentation, et au Cambodge tout au

et à ce titre il doit être regardé comme doté de pouvoirs illimités, il a ainsi la plénitude du pouvoir législatif et peut aussi lever les impôts quand bon lui semble, comme il l'entend. Surtout, il jouit d'un important sensemble de droits, les «  Regalias ». Il a par cela des monopoles ( cour d'eau, ...) La grande question qui préoccupe les auteurs Français est de savoir si cete manière de voir qui s'applique à l'Empereur Germanique peut l'être au Roi de France. Or, à la fin du XIIIè, il est

venue, le roi fait honneur à la ville et la municipalité offre la cérémonie, des cadeaux pour montrer la loyauté au nouveau roi. À travers ces gestes symboliques, on observe un dialogue entre roi et villes urbaines. À Saint-Denis, les regalia sont conservés à la basilique où la plupart des rois sont enterrés. Un des meilleurs exemples est l’entrée d’Henri II à Paris le 16 juin 1549. · Les parlements et la représentation du royaume : la tradition veut

jugé et donc le suzerain va effacer son vassal et par conséquent le vassal du seigneur, sera le vassal du suzerain (c'est-à-dire le seigneur du seigneur du vassal). Le 1er acteur dans l’exercice des fonctions étatiques que l’on appel souvent des Regalia, ce trouve entre les mains du seigneurs. A) La seigneurie territoriale Le mot seigneur qui venait de senior qui voulait dire l’ancien. La seigneurie était le terme qui recouvre la supériorité et nous avons 3 degrés de supériorité :